Le Talk : Revivez l'émission du vendredi 26 mai 2023

  • l’année dernière
Ce soir dans le Talk : Nou koz danse ce vendredi ! Ce week-end deux festivals ont lieu sur l’île ! D’un côté la danse contemporaine avec le festival “Hors-cadre” à Bras Canot Saint-Paul. De l’autre du breakdance avec l’équipe de France qui vient d’arriver sur l’île pour faire des battles et des ateliers. Johnny Depp ovationné à Cannes malgré ses affaires avec son ex-compagne est-ce que ça passe ou ça casse ? Léna Situations victime de body shaming sur le tapis rouge, Klowdy nous en parle dans sa chronique. Bref, tout ça c’est dans le Talk et c’est maintenant !

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Amusant
Transcription
00:00 ♪ ♪ ♪
00:03 ♪ ♪ ♪
00:05 - 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire
00:08 réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
00:10 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits
00:13 aux matières premières 100% locales.
00:15 Marque authentique, gage de qualité.
00:18 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion
00:21 et ses partenaires.
00:22 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site
00:25 100%réunion.fr.
00:27 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
00:30 Le département aux côtés des réunionnais.
00:34 - Les aviez-vous?
00:35 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les
00:37 commentaires Facebook ni en scrollant sur TikTok?
00:40 ♪ ♪ ♪
00:43 (cris)
00:44 (bip)
00:45 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme
00:48 révolutionnaire, incroyable et boustouflante.
00:51 (tousse)
00:52 On exagère peut-être un peu.
00:54 Retrouver son emploi en un clic?
00:56 Wow! Un clic? Mais c'est super!
00:58 Clic en fin.
01:00 ♪ ♪ ♪
01:06 Avec Clic emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut
01:08 en un et un temps.
01:09 Martine, on dit merci qui?
01:11 (bip)
01:13 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible
01:15 pour la photo.
01:16 Bah ouais, elle bosse.
01:17 Merci Clic emploi!
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01:44 (clics)
01:45 Nouveau!
01:46 Visu devient 100 % digital.
01:48 Retrouvez vos rubriques habituelles.
01:51 Agenda, visu, visu.
01:53 Agenda, interview, zerbage, télévision, jeux, horoscope.
01:58 ♪ ♪ ♪
02:00 Vous retrouverez aussi votre programme télé.
02:02 ♪ ♪ ♪
02:05 Visu, à vos côtés depuis 40 ans.
02:08 ♪ ♪ ♪
02:13 ♪ ♪ ♪
02:16 - Ensemble, suivons le talk et luttons contre
02:19 le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogashi.
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02:25 Leclerc.
02:26 ♪ ♪ ♪
02:33 (cris)
02:36 - Et bonsoir à la Réunion et bienvenue dans le talk.
02:38 L'émission toujours la plus fraîche de Lille, ça y est,
02:41 c'est vendredi, c'est vraiment bientôt le week-end.
02:43 Une émission très dense dans tous les sens du terme aujourd'hui
02:46 puisqu'on va parler du festival hors cadre en dossier du jour.
02:49 Ce sera dans la deuxième partie de l'émission.
02:50 Ça se passe ce week-end de la danse contemporaine.
02:53 On aura donc deux invités sur ce plateau pour en parler.
02:55 Puis d'ici la fin de l'émission, on aura aussi des représentants
02:58 de l'équipe de France de breakdance qui arrivent en ce moment à la Réunion.
03:01 On aura le responsable de la Fédération,
03:02 un représentant de la Fédération française
03:04 et une organisatrice de l'événement Hip Hop Garden
03:07 qui les accueille pareil donc ce week-end.
03:10 Tout ça c'est dans le talk et c'est maintenant.
03:11 Partons.
03:12 [Générique]
03:33 – Allez on est parti pour le tour de table.
03:35 Laurent, comment vas-tu ?
03:36 – Très bien, bonsoir.
03:38 – Bonsoir à vous.
03:39 – Bonsoir à tous.
03:40 – Ça va bien, on est vendredi, c'est le jour du poisson.
03:42 – C'est vrai, ça te rend plus intelligent.
03:44 – Hein ?
03:45 – Ça te rend plus intelligent.
03:45 – Faut croire que non.
03:46 – En tout cas pas aimable.
03:47 – Pas aimable, ça c'est la carotte.
03:49 Clodie, comment vas-tu ?
03:50 – Ça va et toi Thibault ?
03:51 – Oui très bien, prête pour danser, breakdancer ?
03:54 – Breakdancer, oui de ouf, je vais faire une petite démo là tout à l'heure.
03:57 – C'est vrai ?
03:57 – Bah oui, je faisais partie de l'équipe Sydney.
03:59 – Il faut quelqu'un pour aller dans les bras ?
04:01 – Ah oui, il faudra quelqu'un à tête contre tête.
04:03 – Et du coup tu vas tourner sur la tête aussi avec les cheveux.
04:05 – Moins fort que lui.
04:06 – Et toi tu vois, les cheveux ça fait un trou dans le sol.
04:09 – Ah là là !
04:10 Arthur, toi tu n'as rien de l'humour aujourd'hui ?
04:12 – Quoi ?
04:13 – Tu n'as rien de l'humour aujourd'hui ?
04:14 – Non.
04:14 – Non, c'est vrai.
04:15 – Non.
04:16 En fait j'aurais dû être avec l'équipe de breakdancer national mais
04:19 ligaments croisés, tu connais, maintenant tu me retrouves à ta haule.
04:22 – Je vais faire un petit sympa seg sur Johnny Depp aujourd'hui.
04:25 – Ouais, on va parler un peu de lui qui est toujours au cœur de Scandale
04:28 mais que moi personnellement j'aime beaucoup.
04:30 – Allez on va passer du coup pour commencer à la parenthèse du jour
04:33 avant le sapasakal justement sur Johnny Depp.
04:35 Alors je vais vous dire on regarde et on va parler après.
04:37 [Musique]
04:39,
05:07 Est-ce que ça vous fout pas la degue ça ?
05:09 Un enfant de 10 ans qui joue comme ça du maintenant ?
05:11 – J'arrive à faire le même bruit sur mon ordinateur déjà.
05:15 Mais moi là, j'ai presque pitié pour lui parce que je trouve ça extraordinaire
05:18 mais pour arriver à ce niveau, à cet âge-là,
05:20 je prends mon avis dans bouffer du violon matin, midi et soir.
05:23 – C'est vrai que peut-être qu'il y a un don aussi peut-être qu'il est…
05:26 – Ouais mais un don ça se travaille je pense.
05:28 – Après je ne serais pas le seul qui ne sait pas faire du vélo
05:30 ou ne sait peut-être pas le palinger.
05:32 – Je pense qu'il a l'habitude de faire du violon comme ça que de faire du vélo.
05:36 – Et l'autre jour j'ai vu une expérience sociale, j'ai trouvé ça ouf.
05:38 C'est qu'ils avaient pris le M-Papé du violon, tu vois vraiment,
05:42 je n'ai pas son nom mais vraiment un gars qui est un génie du violon
05:45 et ils l'ont mis dans le métro new-yorkais et il a joué comme…
05:49 et lui il fait des concerts à 50, 60 000 euros
05:52 et je crois que ce jour-là, New-York, il avait gagné en une journée 14 dollars, etc.
05:56 – Mais la communauté asiatique, parce qu'il y a une femme asiatique
05:59 qui joue du violon, qui est une véritable virtuose dans ce domaine
06:02 et pareil, toute jeune, il a eu peur des images d'elle étant enfant
06:05 et pareil, prodige, don, tout ce qu'on veut, dieu du violon.
06:08 Et c'est vrai que la communauté asiatique, on les retrouve souvent,
06:11 pas dans des records mais dans des choses où ils sont très avancés.
06:14 – C'est un peu plus carré aussi.
06:15 – Derrière il y a une école qui sert en gymnastique ou tout ça.
06:18 – Peut-être parce qu'ils sont juste plus nombreux aussi.
06:20 – Pas forcément sur un million, il y en a bien 10.
06:22 – Je suppose qu'il y a des gars aussi européens qui sont très bons violons, tu vois.
06:28 On est un peu moins nombreux.
06:30 – On va demander à des analyses sur la population chinoise et donc les succès.
06:36 – Les talents de la population chinoise.
06:38 – On va parler du talent américain peut-être, dans le service à la caisse.
06:41 Tout de suite, c'est Arthur qui s'y colle, l'ingré.
06:43 [Musique]
06:46 Alors, qu'est-ce qui se passe avec Johnny Depp, il est revenu au cinéma,
06:49 on l'a vu au Festival de Cannes.
06:50 – Voilà, avant de parler de Johnny Depp, on va parler du Festival de Cannes.
06:53 Qui sait, c'est la combientième d'édition cette année ?
06:56 – 76 ou 74 ? – 73.
06:58 – 76e, elle a lieu depuis le 16 mai.
07:01 – J'ai fait 76.
07:03 – Excuse-nous.
07:05 Elle a commencé le 16 mai et finit demain, c'est déjà fini.
07:09 Et à l'occasion de cet événement mondialement connu,
07:12 de nombreux films sont présentés et sont en compétition.
07:14 Dont notamment le film de Mai Wen, Jean Dubarry, où on peut retrouver…
07:19 – Non, pas Jean, Jeanne.
07:20 – Jeanne Dubarry, c'est pas Jean.
07:23 – Jeanne.
07:24 – Mais Jeanne.
07:25 – Jeanne, tu l'entends ?
07:27 – Je suis un peu vide, j'ai…
07:29 – C'est vrai qu'avec le costume, on ne sait plus trop si c'est un homme ou une femme.
07:32 – Voilà, c'est ça.
07:33 Du coup, le film Jeanne Dubarry, même les gens français, j'ai du mal.
07:38 – J'ai entendu Mai Wen, du coup, moi je suis la première.
07:41 – On dit Mai Wen.
07:43 – Oui, c'est Mai Wen.
07:44 – Mais il n'y a pas de temps que je lui ai dit, c'est mythique.
07:46 Du coup, ça reste dans le cerveau.
07:47 J'ai déjà parlé de Mai Wen.
07:49 – Donc, un film de Mai Wen, Jeanne Dubarry, où on retrouve Johnny Depp
07:53 dans le rôle de Louis XV.
07:55 Et pour information, même si il est américain, il a joué le rôle en français.
07:59 Il n'a pas été doublé.
08:00 Et Johnny Depp, qui avait fait parler beaucoup de lui après ses deux procès
08:03 très médiatisés, très contre-VAC, voit des effets de violence envers son ex-femme Amber Head.
08:09 Et du coup, suite à ça, il avait… Ah si, c'est Amber Head.
08:12 – C'est bon, c'est bon.
08:13 – Ah, t'es con.
08:14 On rigole, on rigole, mais…
08:17 Et du coup, suite à ces histoires-là, il avait été écarté de beaucoup de projets,
08:21 voire même des plateaux de cinéma en général,
08:23 jusqu'à temps que Mai Wen, réalisatrice française et sa partenaire à l'écran,
08:27 fasse appel à lui pour jouer dans son film.
08:31 Et suite à ça, à la diffusion du film à Louvier Hachure,
08:34 il a reçu une standing ovation de 7 minutes.
08:37 Imaginez-vous rester comme ça pendant 7 minutes,
08:40 pendant que les autres vous applaudissent, alors que vous êtes déjà gêné
08:42 quand ils chantent "Joyeux anniversaire".
08:44 [Rires]
08:46 Mais sa venue à Louvier Hachure du festival a été pointée du doigt,
08:50 notamment par plusieurs associations féministes qui disent, je cite,
08:55 – Ah, c'est marrant.
08:56 – Ben oui, qui disent, je cite,
08:57 "que Cannes accueille les hommes et les femmes qui agressent".
09:00 Et même la ministre de la Culture, et là je vais avoir du mal,
09:03 – Attention.
09:04 – Rima Abdul-Malak.
09:06 – Oh, très bien.
09:07 – C'est parfait.
09:08 – C'est mieux que Jean.
09:09 – C'est mieux que Jean.
09:10 Après qu'un journaliste lui ait demandé "Est-ce que c'est choquant
09:13 de voir Johnny Depp à Cannes ?"
09:14 Elle a répondu "Bien sûr que c'est choquant".
09:17 Le délégué principal du festival, Thierry Frémaux,
09:20 qui a choisi de mettre le film en ouverture, lui a dit
09:23 "Il y avait ce procès, tout le monde s'y intéressait,
09:25 moi je me contrefiche déjà des affaires privées des gens".
09:28 Du coup je me pose la question, après avoir eu tous ces scandales,
09:33 est-ce qu'il mérite une stand-innovation ?
09:35 Ou en soit, "ovation", ou en soit, est-ce qu'il faut séparer l'œuvre de l'artiste ?
09:41 – C'est un peu plus complexe que ça parce qu'en plus là il y a eu un procès qui est passé.
09:45 – Il y a eu deux procès. – Violence conjugale.
09:49 – C'était violence conjugale mais des deux côtés.
09:51 – C'était mutuel. – C'était mutuel.
09:53 – Est-ce qu'elle avait gagné ? Est-ce qu'on aurait dit la même chose d'elle ?
09:56 – Là ce qui se passe en ce moment c'est justement l'inverse.
09:58 Johnny Depp a été boycotté pendant des années,
10:00 il a été viré même de Pirates des Caraïbes, emblématique, il n'a plus envoyé de pull.
10:05 Là tu vois qu'il a re-signé je crois pour Dior.
10:08 – Et pour Pirates des Caraïbes, Disney est revenu le voir.
10:11 – Et à l'inverse Amber Heard maintenant il y avait un appel à ce qu'elle soit boycottée
10:15 dans le nouveau film Aquaman où elle jouait dans le premier.
10:18 Du coup c'est elle maintenant qui est…
10:20 – Avec le procès médiatisé, peu importe le jugement c'est elle qui a piégé.
10:23 Dans l'opinion publique elle a piégé.
10:25 – C'est ça il y a eu le jugement donc elle a perdu et pourquoi on devrait encore regarder Julie Depp ?
10:30 – On a l'impression qu'il y a une double peine.
10:32 Il y a eu un procès, on sait aujourd'hui maintenant, le procès est loin derrière nous,
10:38 c'est une nouvelle page, le gars reprend sa vie, il devient acteur et on va pas…
10:44 – Ce que je vois comme tu disais c'est qu'avec Amber Heard,
10:46 il disait dans des interviews et même…
10:50 je le taxie !
10:52 Vanessa Paradis disait que le gars il n'est pas…
10:56 En tout cas avec elle, ils ont vécu pendant 15 ans avec, il n'a jamais été comme on a pu le voir là.
11:01 Donc c'était vraiment cette relation là qui n'était vraiment pas saine et toxique.
11:05 – Du coup il y a eu des soucis.
11:08 – Il y avait ça et en plus pour ce festival là il a partagé le tapis avec sa fille Lily Rose Depp
11:13 qui était là venue pour représenter sa série The Idol avec The Weeknd.
11:19 – Il y avait les nastituations qui a fait polémique sur le capitalisme.
11:23 – Oui mais elle n'était pas là dedans.
11:25 – Du coup attendez on va juste faire le petit ça passe à casse.
11:27 Donc Johnny Depp, ovationné malgré les procès polémiques, est-ce que ça passe à casse ?
11:31 – Ah bon je ne sais pas, carrément.
11:33 – Pour le coup ça passe aussi.
11:35 – Moi ce que je voulais te dire c'est que par exemple ce débat là on l'avait eu avec Polanski.
11:40 – Bien sûr, c'est possible.
11:42 – On n'a pas besoin d'expliquer.
11:44 – T'as Woody Allen, Polanski.
11:46 – Non mais quand Polanski a été ovationné, il y a une femme qui s'est levée et qui est partie.
11:51 – Ah c'est Adrénaline.
11:52 – Elle a aussi arrêté la Sacarya politique.
11:54 – Elle n'a plus jamais fait de cinéma.
11:56 – Cinéma.
11:57 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
11:58 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
12:00 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
12:02 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
12:04 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
12:06 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
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13:38 – C'est un cinéma qui a été arrêté.
13:40 – Je pensais qu'il y avait sorti au festival.
13:42 – Souvent le problème des films des festivals,
13:44 il y a eu du mal avec "Festival tout".
13:46 – Là c'est un festival d'accord.
13:48 – C'est un festival de...
13:50 – Je pensais avoir dit ça.
13:52 – Le problème c'est que les films sortent
13:54 longtemps après leur diffusion.
13:56 Du coup on entend beaucoup les critiques
13:58 et on les voit seulement...
14:00 – Les critiques elles étaient pas tendres pour Jeanne du Paris.
14:02 – Ah oui j'ai trouvé ça...
14:04 – C'était chiant à en ouvrir,
14:06 le fait qu'il parle pas bien français c'était compliqué.
14:08 – Si il y avait un teaser où il parle français
14:10 j'aurais bien aimé entendre.
14:12 – Ça se voit qu'il parle français mais il y a un petit accent comme ça.
14:14 – Ouais.
14:16 – Bon on ira se faire un autre avis quand il sortira du coup.
14:18 – Arthur il reste pas comme ça.
14:20 – Quoi tu n'as pas envie d'aller voir ?
14:22 – Non pas trop, pour le coup j'ai juste intrigué par le...
14:24 – Attends il y a la petite sirène dégueulasse
14:26 tu voulais y aller ?
14:28 – Non mais la petite sirène il y a rien.
14:30 Je l'ai vue c'est mon enfant, je vais ramener mes petites nièces
14:32 et tout ça va être chouette tu vois mais...
14:34 Jeanne.
14:36 – Jeanne ?
14:38 – Tu veux pas aller voir ton vieux Lolo ?
14:40 – Ah si c'est si bon.
14:42 – On ira manger du popcorn.
14:44 – Bon allez les amis on va enchaîner,
14:46 on va bientôt passer au dossier du jour.
14:48 On en va d'abord à une petite tâche de publicité, pardon j'ai du mal aujourd'hui
14:50 c'est la fin de la semaine là je suis fatigué.
14:52 On va recevoir du coup le Soria
14:54 et un autre invité pour parler du festival
14:56 hors cadre qui a lieu ce week-end
14:58 festival de danse contemporaine, c'est après la pub à tout de suite.
15:00 [Musique]
15:04 Stop au gâchis, Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
15:08 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche zéro gâchis.
15:12 Tous les jours des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70%.
15:17 En rayons ou dans les corners dédiés profitez de bons produits à petit prix
15:21 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
15:25 Leclerc.
15:27 Les aviez-vous ?
15:29 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
15:32 ni en se collant sur TikTok.
15:34 [Musique]
15:39 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire,
15:43 incroyable et peu estoufflante.
15:46 On exagère peut-être un peu.
15:48 Pour trouver son emploi en un clic,
15:50 waouh un clic mais c'est super !
15:52 Clic en plein.
15:54 [Musique]
16:00 Avec Clic emploi vous aussi,
16:02 trouvez le job qu'il vous faut en un rien de temps.
16:04 Martine, on dit merci qui ?
16:06 [Bruit de bébé]
16:07 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
16:10 Bah ouais, elle bosse.
16:11 Merci Clic emploi !
16:13 [Musique]
16:24 100% La Réunion,
16:26 la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais
16:28 pour soutenir nos producteurs pays.
16:30 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits aux matières premières 100% locales.
16:35 Marque authentique, gage de qualité.
16:37 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion et ses partenaires.
16:42 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site 100%réunion.fr.
16:47 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
16:50 Le département aux côtés des réunionnais.
16:53 [Musique]
17:16 Ensemble suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogashi.
17:23 [Musique]
17:25 Leclerc.
17:26 Retour pour la deuxième partie de l'émission.
17:28 Arthur s'est déplacé à laisser sa place et s'est mis à la gauche du seigneur pour laisser nos invités s'installer.
17:34 Bonjour à tous les deux, vous êtes Souraya Thomas et Sergio Tanik Arn.
17:38 J'ai bien dit ?
17:39 Ça c'est l'italien, est-ce que j'ai bien prononcé ?
17:41 Vous venez pour nous présenter le festival hors cadre qui a lieu ce week-end à Bracano, à Saint-Paul.
17:46 Festival de danse contemporaine, qu'est-ce qui nous attend ce week-end ?
17:49 Ah oui, il nous attend plein plein de choses.
17:51 Mais en fait, ça fait déjà un an qu'on est sur le site de Bracano, Saint-Paul, je précise.
17:56 Attention à ne pas confondre avec Bracanote, pas la même chose.
18:00 Donc on est vraiment dans les Hauts de Saint-Paul.
18:02 Et ça fait un an qu'on est sur site et qu'on essaye de démocratiser la danse contemporaine dans les Hauts,
18:08 auprès des habitants de ce quartier.
18:11 Et là, sur deux jours, c'est le temps fort, c'est le point final de cette année de rencontre,
18:19 de cette année de découverte, de cette année de danse.
18:23 Et il va y avoir une programmation complètement éclectique, nationale,
18:28 avec des compagnies métropolitaines, donc la compagnie DADR, la compagnie Ex Nihilo.
18:35 Une des compagnies locales avec la compagnie 3.0, la compagnie Autre Ligne.
18:41 Toujours autour de la danse et internationale aussi avec l'Afrique du Sud,
18:46 qui sera présente avec la compagnie FATC.
18:49 Et tout au long de l'année, on a cherché, la compagnie Morphose et moi-même,
18:54 à chercher la joie à Bracano.
18:58 Et vous l'avez trouvée ?
18:59 Et on l'a trouvée sur le terrain de tennis.
19:01 Et Théo le bonheur alors ?
19:02 Et Théo le bonheur, on l'a trouvé sur le terrain de tennis,
19:06 avec Serge Otanic-Arne et l'association Fête le Mur,
19:09 où on a décidé de faire une création amateur autour du tennis et de la danse.
19:16 Il faut avoir un mélange d'amateur et de professionnel.
19:19 Oui, tout à fait.
19:20 Et on a aussi, on pousse deux jeunes chorégraphes à créer leur première chorégraphie in situ,
19:28 parce que c'est vraiment la spécialité, entre guillemets, de la compagnie,
19:32 où on va créer dans des lieux non dédiés à la culture.
19:36 Et du coup, c'est Salome Curcolovera et Sarah Duneau
19:40 qui vont faire leurs premières armes avec leur chorégraphie,
19:44 là où naissent les fleurs et la messe.
19:47 Et du coup, est-ce que tout le monde peut venir assister ?
19:49 Est-ce qu'on peut même participer à des ateliers ?
19:51 Alors oui, c'est complètement gratuit.
19:53 On a nos partenaires qui nous ont aidés à mettre en place ce beau festival,
19:58 qui sont en effet le leader avec le Targal Ouest et la région Réunion,
20:03 la mairie de Saint-Paul, la commune de Saint-Paul bien sûr,
20:07 et la communauté de communes, le TCO,
20:10 qui nous permettent d'offrir ça à la population et à tout le monde.
20:13 Il y aura aussi des ateliers de krump, de boxe, de twirling bâton,
20:17 il y aura des animations.
20:19 On fait participer aussi les habitants pour des animations musicales
20:24 avec des cabars, des choses comme ça.
20:26 Et ça finira par un grand bal.
20:29 Le samedi, on finit par un bal sauvage avec Kualud,
20:33 qui est connu dans le monde culturel pour faire bien danser toutes les personnes.
20:38 – Et du coup Laurent, Claude, Gertrude, vous allez faire un tour ?
20:40 – Moi j'ai juste une question.
20:42 – Moi j'emmène mon cavalier.
20:44 – T'emmènes Tibo ?
20:45 – Hein ?
20:46 – On va danser ensemble. La danse n'a plus de secret pour nous.
20:48 – Surtout pour toi j'ai l'impression.
20:50 On sent qu'il y a une maîtrise du geste.
20:52 – Si on devait donner une définition de danse contemporaine,
20:55 parce que c'est un mot qu'on entend souvent,
20:57 mais pour bien comprendre par exemple le mouvement ou là ce que vous allez faire,
20:59 si vous devez donner une définition de danse contemporaine, ça serait quoi ?
21:02 – C'est pas bête cette question.
21:04 – C'est pas bête parce qu'en plus on me la pose souvent.
21:07 Et c'est assez difficile d'y répondre parce que je pense que c'est complètement
21:13 personnel au chorégraphe aussi.
21:16 Donc c'est une danse de l'instant je dirais,
21:19 et c'est une danse du moment, c'est contemporain.
21:22 Donc il y a souvent des compositions musicales vraiment dédiées à cette danse.
21:27 Là nous on a fait le choix d'aller dans la rue aussi, de créer dans la rue.
21:32 Donc ça c'est aussi nouveau.
21:34 C'est pas juste on crée à l'intérieur et on va dehors, non, on crée dans la rue.
21:39 – Du coup les danses contemporaines des années 2000
21:41 ne sont plus des danses contemporaines ?
21:42 – Si, parce qu'après il y a des définitions bien catégorifiées.
21:47 Mais les danses contemporaines on parle vraiment aussi,
21:50 on essaye d'exprimer ce qu'on n'arrive pas à exprimer avec le mot, par le corps.
21:54 – Et du coup Sergio, vous voyez vraiment des bénéfices on va dire
21:57 sur la population de Bracano, le fait de les inclure aussi,
22:00 de mettre en avant une forme de culture, du coup la danse,
22:04 de les inclure dans ces ateliers, dans tout ça.
22:06 Vous voyez vraiment un intérêt en tout cas des habitants ?
22:09 – Oui, moi de mon côté ce qu'on constate c'est,
22:13 déjà le tennis nous, avec Faites-le-mieux, c'était déjà démocratisé,
22:16 et la danse, c'est la danse contemporaine,
22:18 mais voilà on est un petit peu tous assez dans la même perspective.
22:24 Voilà, danse contemporaine, on l'amène dans les hauts,
22:27 démocratiser cette danse, et surtout nous, à travers notre sport,
22:32 c'est vrai qu'en discutant, on s'est rendu compte
22:36 qu'il y a des petites choses physiques, même techniques,
22:41 qu'on essaie de ramener dans le tennis.
22:44 – Et vous dansez un peu ou pas du tout ?
22:46 – Ben, de toute façon, on n'y pense pas.
22:49 – C'est le soliste !
22:52 [Rires]
22:53 – De toute façon, il faut dire, on ne peut faire que pour attirer les jeunes,
22:58 en tant qu'éducateur du quartier, voilà, pour prendre l'exemple,
23:02 il faut déjà les adultes, voilà, il faut nous faire,
23:05 et puis les jeunes, quand ils voient, peut-être nous peuvent réveiller
23:08 toujours à quelque chose.
23:09 – C'est d'abord les adultes et après les plus jeunes qui…
23:11 – Oui, c'est plus les jeunes aussi, parce que ça se fait un petit peu
23:14 sur le terrain, le samedi, avec les adultes et les jeunes.
23:16 – Voilà, en boîte après…
23:18 – Intergénérationnelle.
23:19 – Oui, c'est un peu tout, parce qu'on a des 10 ans jusqu'à 60
23:22 et quelques années dans notre petit groupe d'amateurs,
23:26 et c'est vrai que c'est un petit peu aussi le choix des jeunes,
23:29 des jeunes déjà, bon ben, ils nous regardent à l'entraînement,
23:33 ils assistent, mais ils nous disent, par contre, nous on va faire vraiment
23:37 plus du bénévolat, voilà, ils ont une participation, mais bon…
23:42 – Et est-ce que c'est compliqué à organiser tout ça,
23:45 là il y a vraiment un gros événement à Saint-Paul dans les Hauts,
23:49 je ne sais pas, en termes d'infrastructures,
23:51 ou même de combats, peut-être des partenaires à se mettre autour
23:54 pour porter le projet, est-ce que c'est compliqué à mettre en place ?
23:57 – Alors compliqué, en fait, nous on est une petite compagnie,
24:00 une compagnie de danse contemporaine, qui a quand même un petit peu
24:03 son nom sur l'île, on est une petite équipe, c'est surtout ça,
24:09 une petite équipe à 3, 4 personnes, on a une médiatrice,
24:13 on a deux chargées de production et une administratrice,
24:17 et c'est vrai qu'on porte ça à bout de nos petits bras,
24:20 mais on a la foi, on y croit, c'est quelque chose qui est en genèse
24:28 depuis une année, voire un peu plus, on a fait ce pari fou d'amener
24:33 la danse contemporaine dans les Hauts, avec en effet un public,
24:37 qu'on dit éloigné de la culture, et en fait moi je fais le pari
24:41 de me dire qu'ils vont nous voir travailler, ils vont nous voir danser,
24:46 ils vont nous voir transpirer, et du coup il y a une empathie
24:50 qui va se créer, et c'est ce qu'on a trouvé en plus avec Sergio
24:53 et avec Faites le Mur, mais aussi avec l'association Ufolep,
24:57 qui est une association périscolaire, qui s'occupe des enfants,
25:01 et voilà, donc du coup, c'est au fur et à mesure, c'est pour ça
25:05 qu'on a fait vraiment ce pari d'une année, pour pas arriver en mode
25:09 "nous on est là, on sait ce que c'est la culture, et pas vous",
25:12 donc là nous on y va, on s'installe.
25:15 – Mais du coup, on est des travailleurs de foi.
25:17 – Attends Laurent.
25:18 – Oui, une question, enfin un constat, une question en même temps,
25:20 c'est vrai que c'est un mode d'expression corporelle,
25:22 on peut dire que les personnes qui sont bien dans leur peau,
25:25 qui ont envie justement de se lâcher sur ce mode d'expression,
25:29 en général le vivent plutôt bien, est-ce que vous déjà aujourd'hui
25:32 vous avez un retour, un ressenti de ce qu'ils pratiquent,
25:35 et comment ils se sont sentis après ?
25:37 Au départ peut-être un peu de gêne, est-ce que je vais oser le faire
25:40 devant les regards des autres, avec tout ce que ça peut je dirais comporter,
25:44 de la moquerie, un peu de moucatage,
25:46 est-ce que là clairement aujourd'hui, certains disent voilà,
25:49 comment ils l'assument, comment ils le vivent ?
25:51 – Alors, pour avoir fait d'autres projets avec des amateurs,
25:55 tous les débuts de projet c'est en effet ça, la gêne,
25:58 – Les réticences.
25:59 – Les réticences, la timidité, et par le biais des ateliers,
26:05 par le biais de la pratique, tout ça s'enlève petit à petit,
26:10 et en tout cas avec le groupe de TANIC et avec Faites le Mur,
26:15 il y a quelque chose de très familial, et tous les samedis matins,
26:18 il y a eu un vrai échange, moi j'ai appris à faire du tennis,
26:22 eux ils ont appris à faire de la danse, et on a vraiment trouvé nos points communs,
26:27 et plus ça va, plus ils s'ouvrent, et trouvent le bénéfique à cette pratique,
26:38 et surtout à montrer leur travail, parce que c'est un dépassement de soi aussi,
26:45 et comme tout dépassement de soi qu'on retrouve aussi dans le sport,
26:50 on est fiers de nous à la fin.
26:52 – Mais justement par rapport à ce festival-là,
26:54 est-ce que c'est l'aboutissement d'un travail,
26:57 c'est pour vous faire montrer à la Réunion,
27:00 ou sinon il y a aussi une demande d'un public,
27:04 ça plaît au public réunionnais ?
27:07 – Alors, le travail de la compagnie plaît à la Réunion,
27:11 – Vous n'avez pas compris, vous pouvez dire.
27:13 [Rires]
27:15 – C'est l'aboutissement d'un projet que votre groupe a créé,
27:20 ou sinon en plus de l'aboutissement, il y a une demande d'un public local ?
27:24 – Dans tous les cas, nous, le projet Hors-Cadre,
27:27 c'est un projet qu'on va réinventer l'année prochaine,
27:32 dans un autre quartier de la commune de Saint-Paul,
27:34 et qui aboutira aussi sur un temps fort dans deux ans,
27:39 ça sera une biennale.
27:40 Mais on garde ce format d'une année,
27:43 où on est dans le quartier, où on fait des choses avec les habitants,
27:46 parce que ce que j'ai oublié de dire, c'est que ça a commencé par des discussions,
27:49 on ne commence pas directement par la danse,
27:51 on est allé chez l'habitant, on a discuté autour de la joie,
27:54 et on a amené la danse chez eux,
27:56 avant de le mettre vraiment en forme.
28:02 Donc oui, il y a une demande, en tout cas, de se rapprocher de la culture,
28:09 il y a une demande, bien sûr, timidement,
28:12 c'est pareil, c'est un travail de fond,
28:14 ce n'est pas un travail d'animation, c'est un travail de fond, je dirais.
28:20 Et la culture, elle est pour tous,
28:22 et je crois en ce mot, au droit de la culture,
28:25 donc c'est vraiment pour ça qu'il faut sensibiliser,
28:29 il faut en effet parler,
28:31 et la danse contemporaine a souvent une très mauvaise réputation,
28:38 comme quoi c'est intellectuel, ou élitiste,
28:40 - Ah ouais ? - Ouais.
28:42 - Moi j'ai cet image là. - Moi on me dit tout le temps.
28:45 - Parce que les gens ne la comprennent pas, alors bien sûr.
28:47 - On me dit tout le temps "je ne comprends pas".
28:50 Mais je pense que la danse n'a pas besoin d'être comprise,
28:53 elle a besoin d'être ressentie et expérimentée,
28:57 et quand on a 20 danseurs,
29:00 enfin là il va y avoir ce week-end,
29:03 il va y avoir une quarantaine d'artistes sur le site de Bracano,
29:07 qui sont déjà en train de répéter,
29:09 et quand vous les voyez répéter, danser, à même le sol,
29:13 sur le terrain de tennis, ou dans la salle polyvalente,
29:17 ou dans l'école primaire,
29:19 il y a une émulation qui se crée, parce que c'est physique,
29:23 et c'est physique, il y a de l'émotion,
29:28 et surtout on essaye vraiment d'être dans la générosité,
29:32 c'est surtout ça.
29:33 - En tout cas merci beaucoup Soraya et Serge Tanik d'être venus sur le plateau.
29:36 Si on veut se renseigner encore une fois,
29:38 je crois que vous l'avez déjà dit un peu au début de l'interview,
29:40 mais où est-ce qu'on peut se rendre, le site internet,
29:42 est-ce qu'il y a des places à réserver, où est-ce qu'on peut venir l'y prendre ?
29:44 - C'est complètement gratuit, il faut juste privilégier le covoiturage,
29:47 parce que nous on est dans les Hauts,
29:50 et une route !
29:54 Donc covoiturage, un seul côté la route pour carrer,
29:59 et après on a aussi une belle équipe de bénévoles qui sera présente pour vous accueillir,
30:05 vous pouvez aller voir le Facebook de la compagnie Morphose, 974,
30:11 ou l'Instagram, pareil,
30:13 et il y a un Instagram hors cadre, 974,
30:16 vous allez avoir toutes les informations et toute la programmation aussi,
30:20 de tout le week-end.
30:21 - Super, du coup comme ça il n'y a pas d'excuses,
30:23 le rendez-vous est pris ce week-end à Bracado à Saint-Paul
30:25 pour ce festival hors cadre, festival de danse contemporaine.
30:28 On va continuer avec la danse dans un instant,
30:30 après la pub on va recevoir des représentants de l'équipe de France,
30:33 de breakdance, on va faire du breakdance avec Arthur,
30:35 qui va s'échauffer pendant la pub, à tout de suite.
30:37 [Rires]
30:39 [Musique]
30:43 [Bruit de clavier]
30:45 Nouveau, Visu devient 100% digital.
30:50 Retrouvez vos rubriques habituelles,
30:52 agenda, interview, herbage, télévision, jeux, horoscope.
30:59 Vous retrouverez aussi votre programme télé.
31:04 Visu, à vos côtés depuis 40 ans.
31:08 - Stop au gâchis, Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
31:13 Le magasin Leclerc de Lille adopte la démarche zéro gâchis.
31:16 Tous les jours, des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70%.
31:21 En rayons ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
31:25 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
31:30 Leclerc.
31:32 - 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais
31:37 pour soutenir nos producteurs pays.
31:39 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits au maintien premier 100% local.
31:44 Marque authentique, gage de qualité.
31:46 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion et ses partenaires.
31:50 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site 100%réunion.fr.
31:56 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
31:59 Le département aux côtés des réunionnais.
32:03 (musique)
32:17 - Les aviez-vous ?
32:19 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
32:22 ni en scrollant sur TikTok ?
32:24 (musique)
32:29 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire.
32:32 Incroyable et peu stoufflante.
32:35 On exagère peut-être un peu.
32:37 Pour trouver son emploi en un clic ?
32:39 Waouh, un clic ? Mais c'est super !
32:42 Clic emploi.
32:44 (musique)
32:49 Avec clic emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
32:53 Martine, on dit merci qui ?
32:55 (bruit de coq)
32:56 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
32:59 Bah ouais, elle bosse.
33:00 Merci clic emploi.
33:02 (musique)
33:12 (musique)
33:15 (musique)
33:19 (musique)
33:29 Et de retour pour la troisième et dernière partie de l'émission.
33:32 Une émission très dense, je vous l'avais dit en début d'émission.
33:35 Justement, on reçoit deux autres invités, Muriel Baltazar et Hassan
33:39 pour parler du festival Hip Hop Garden qui a lieu en ce moment à La Réunion.
33:43 Bienvenue à tous les deux.
33:45 On va revenir vers vous dans un instant.
33:47 On va d'abord aller voir Claudie pour une chronique sur le body shaming
33:49 et puis après on reviendra parler de breakdance avec vous.
33:51 On envoie le jingle de Claudie et on en parle.
33:54 (musique)
34:00 Du coup, Claudie, le body shaming, qu'est-ce que c'est que ça ?
34:02 On va parler de ça.
34:03 Donc, une influenceuse a été victime de body shaming cette semaine.
34:06 Est-ce que vous avez une petite idée de la situation ?
34:09 Je me demande c'est quelle situation ?
34:11 Est-ce que ce ne serait pas Léna ?
34:12 C'est une forme de démigration ?
34:14 Non, justement, c'est Léna Situation.
34:16 Une influenceuse qui a été victime de body shaming.
34:18 Pour vous donner une petite définition de ce que c'est,
34:20 déjà, c'est de l'harcèlement consistant à dénigrer le corps de la victime.
34:24 Souvent, c'est sous forme de mots cruels,
34:26 "salle grosse", "regard des cuisses", etc.
34:28 Voilà, le but, je ne sais pas si on peut dire le but,
34:32 mais en tout cas, le but de ce type de harcèlement,
34:35 c'est d'humilier, de critiquer le corps d'une personne.
34:37 Et c'est ce dont Léna Situation a été victime cette semaine.
34:41 Car elle a foulé les marches du festival de Cannes lundi
34:44 pour la première de la série "The Idol" de Sam Levinson
34:48 aux côtés de The Weeknd et de Lili Rosedep.
34:50 La star d'internet s'est présentée dans une robe iconique
34:53 de Vivienne Westwood de 1994,
34:56 laissant apparaître ses jambes, comme on peut le voir sur la photo.
34:59 Très vite, des centaines de commentaires dégradants
35:02 sur ses cuisses et sur son poids ont été recensés sur les réseaux sociaux.
35:05 Je cite, "Avec ses jambes, elle ne devrait pas mettre ce genre de tenue,
35:09 "too many burgers, trop grosse cuisse, dommage,
35:12 "je dirais une dinde, etc." Vraiment des trucs répugnants.
35:15 Donc des posts insultants qu'elle n'a pas manqué d'afficher
35:18 dans une story sur son compte Instagram et auxquels elle a répondu.
35:22 Je cite, "Je n'ai pas encore de conclusion à ce chapitre.
35:25 "Ce sentiment de ne pas être dans le bon corps est un sentiment nouveau.
35:28 "J'espère que le futur et le recul nous amèneront que du love."
35:32 Moi, je vous envoie que du love, sachant que ce n'est pas la première fois
35:35 qu'elle est attaquée sur son physique.
35:38 Il y a deux ans, elle a été attaquée sur ses seins
35:41 et on lui a dit, "C'est quoi, tes seins ? Tu as des tout petits seins."
35:44 J'ai envie de dire que toutes les femmes en général,
35:47 et probablement les hommes aussi,
35:50 une fois qu'on est très médiatisé sur les réseaux sociaux,
35:53 on est tout de suite critiqué sur le monde.
35:56 - La pauvre, la jalousie de meufs qui la suivent.
35:59 Comme elle est dans une belle robe, elle va à des festivals de Cannes,
36:02 elle a été aussi beaucoup dans des fashion weeks.
36:05 C'est une meuf qui explose, qui marche très bien.
36:08 - Tu as des femmes et tu as les mecs, les cons, qui vont l'insulter.
36:11 Elle a eu le soutien du ministre ?
36:14 - Elle a même eu le soutien du ministre,
36:17 parce qu'il y a eu plusieurs posts qu'elle a mis dans sa story,
36:20 où elle disait que depuis deux ans, elle affiche une image honnête,
36:23 elle n'utilise pas de filtre.
36:26 Elle essaie vraiment de sensibiliser sa communauté sur le body positive,
36:29 si on peut dire ça comme ça, le fait de s'accepter telle qu'on est.
36:32 Mais tu as quand même des personnes, des cons,
36:35 des petits cons, j'ai envie de dire, qui passent leur temps à critiquer
36:38 et à penser qu'ils sont mieux que tout le monde.
36:41 - Le body shaming, c'est la Diva fait la réunion.
36:44 - Moins pire que la Diva fait la réunion quand même,
36:47 parce que là, c'est vraiment, on t'attaque et on te traite de tous les noms,
36:50 juste parce que tu as pris deux kilos.
36:53 Mais ça existe dans le milieu professionnel,
36:56 ça existe partout le body shaming.
36:59 Sauf que là, imagine, elle a 4 millions de followers,
37:02 le message qu'elle doit recevoir à la seconde, c'est juste...
37:05 - Bien sûr, je ne dis pas qu'il faut faire du body shaming,
37:08 mais on est tous, surtout dans les trucs de défilé,
37:11 quand on voit des costumes bizarres, des trucs qu'on ne veut pas,
37:14 on va critiquer, on va dire des choses comme ça.
37:17 - La toile du web est devenue la fosse au lion,
37:20 on essaie de trouver ce qui pourrait faire mal.
37:23 Un défilé de mode où la robe est excentrée,
37:26 je ne me vois pas porter ça pour aller au boulot,
37:29 ça ne va pas avec personne, et même le travail du styliste
37:32 ne sera pas aussi vulgarisé.
37:35 Par contre, quand on en arrive à presque remettre,
37:38 ça doit faire très mal de subir ce genre de choses.
37:41 Au plus profond de toi, même si tu essaies de garder le smile,
37:44 je t'imagine que tu dois te dire comment on peut s'acharner sur moi,
37:47 je ne fais rien de mal.
37:50 - Surtout que la situation, c'est une meuf, elle a l'air adorable.
37:53 Elle ne fait jamais polémique d'elle-même.
37:56 - Elle fait des petits talk show sur internet.
37:59 - Elle devrait se mettre sur une première page de Playboy.
38:02 - Est-ce que le corps parfait existe encore en 2023 ?
38:05 - Déjà, il a déjà existé.
38:08 - Ça a existé dans les années 2000 où on mettait un corps
38:11 pour dire que c'est la définition du corps d'homme,
38:14 la femme doit être taillée comme ci, comme ça.
38:17 De nos jours, avec la tendance body positive,
38:20 on est plus dans ce truc où tout le monde est différent.
38:23 - Maintenant, il y a beaucoup de body positive,
38:26 mais en même temps, dans les salles de sport,
38:29 c'est que des jeunes, parce qu'ils veulent le corps parfait.
38:32 - C'est leur truc, mais je trouve que c'est moins représenté.
38:35 - C'est le corps parfait.
38:38 - Il y a de la bonne santé aussi.
38:41 On sait ce qui fait qu'on est moins bien.
38:44 - C'est faire attention.
38:47 - Je pense que ça dépend des milieux.
38:50 Je pense parce que je suis.
38:53 C'est la place qu'ils me donnent.
38:56 Comment ? Tu m'as fait plus tard.
38:59 - Je pense qu'il ne sait pas.
39:02 - Il pense qu'il ne pense rien.
39:05 - En effet, je peux redire.
39:08 - Du body shaming de parole.
39:11 - Du Arthur Scheming.
39:14 - Je suis contente.
39:17 - Vous êtes déjà victime de body shaming ?
39:20 - C'est pas supportable.
39:23 Il faut se mettre à la place des gens.
39:26 Les gens qui écrivent, il faut se mettre à la place
39:29 des choses qu'ils disent.
39:32 Personne ne peut supporter qu'on critique sur le physique,
39:35 le psychique, etc.
39:38 Je pense que c'est une minorité.
39:41 - Les gens négatifs sont ceux qui s'expriment le plus
39:44 et qui ne sont pas en mesure de se faire entendre.
39:47 - C'est ça.
39:50 - Je pense que c'est un peu comme ça.
39:53 - Tu as plus de conflicts.
39:56 Tu le penses et tu te dis pourquoi je le ferais.
39:59 - J'adore.
40:02 - T'as plus de facilité à le dire
40:05 et après à le mettre sur Internet.
40:08 - Il marche à écrire.
40:11 - Je pense que...
40:14 - Je pense que c'est un gros problème.
40:17 - Les gens derrière leur écran se sentent à l'abri.
40:20 C'est plus facile que Mano à Mano, les yeux dans les yeux.
40:23 On s'aperçoit ce dédale de venin craché
40:26 parce que c'est une facilité aussi.
40:29 - C'est Mac Tyson qui disait "Internet vous a donné trop le courage
40:32 de dire des choses sans recevoir un bon coup de poing dans la tête".
40:35 - Après, moi je suis forte,
40:38 il y a le regard des gens aussi
40:41 qui te dit que...
40:44 - C'est aussi le rendez-vous des gens.
40:47 - Parce que t'es différente,
40:50 tu n'es pas forcément bien à côté de cette personne.
40:53 Moi je le vis, oui.
40:56 Moi je suis bien avec mon corps,
40:59 je suis bien avec moi,
41:02 mais les gens avec leur regard...
41:05 - Même quand tu vas dans une boutique, tu te dis ta taille,
41:08 même les vendeuses, elles le font.
41:11 - C'est horrible, les vendeuses qui te jugent.
41:14 - Donc ça existe partout.
41:17 - Surtout que tu te dis "ah mais parfait"
41:20 - Surtout qu'elles ont 20 ans et qu'elles ont encore rien fait.
41:23 - Là c'est pas parfait du tout.
41:26 - Dans la danse, est-ce qu'il y a ce regard sur les corps des autres ?
41:29 On imagine qu'il faut être à force de pratiquer, forcément on est un peu plus musclé
41:32 et un peu fit.
41:35 - Non, parce que la danse c'est fait pour tout le monde,
41:38 quelle que soit la danse d'ailleurs, il faut juste avoir l'envie.
41:41 Maintenant le regard des gens qui sont mal,
41:44 c'est le miroir des gens qui en voient quelque chose de négatif.
41:47 La danse c'est fait pour tout le monde, y compris dans la danse hip-hop
41:50 où justement le nouvel art c'est de ne pas juger, juste de juger la danse.
41:53 Tu peux être un peu fort et être ultra bien dansé,
41:56 comme Ultra Esli, ou mal dansé.
41:59 On a le droit de mal danser aussi.
42:02 On a le droit d'avoir tout type de morphologie.
42:05 - Nous aussi on a le droit de très mal danser.
42:08 - Oui, mais c'est un droit. Tant qu'on a l'envie de danser,
42:11 c'est ça qui nous empêche. Après, pour aller aux Jeux Olympiques,
42:14 c'est dommage même au foot, je dis j'ai envie de jouer au PSG.
42:17 - Même j'ai le sens aussi d'être dans le hip-hop.
42:20 - Il y a une hygiène à avoir pour pouvoir justement performer.
42:23 - On va parler avec vous du festival Hip-Hop Garden
42:26 qui se déroule en ce moment à La Réunion
42:29 et jusqu'à la semaine prochaine avec l'équipe de France,
42:32 de Breakdance qui arrive à La Réunion.
42:35 Comment ça va se passer ? Qu'est-ce qu'ils viennent faire
42:38 les futurs champions peut-être olympiques ?
42:41 - Je vais essayer. - Sam, vous êtes représentant de la Fédération Française.
42:44 - A La Réunion ou ? - A La Réunion.
42:47 - A La Réunion. Nous on a été invité par Mireille et son équipe.
42:50 On va essayer d'échanger
42:53 avec les gens d'ici,
42:56 voir comment ça se passe,
42:59 faire du lien entre la métropole et La Réunion
43:02 et voir comment on peut travailler ensemble dans le futur.
43:05 Parce qu'il faut savoir ici, je ne sais pas si vous le savez,
43:08 mais en métropole, il y a énormément de danseurs talentueux
43:11 qui viennent de La Réunion.
43:14 Et ça, je ne sais même pas si vous en avez conscience.
43:17 C'est une pépinière d'artistes de talent.
43:20 Donc on va essayer d'échanger, d'échanger, de développer,
43:23 voir comment on peut continuer à faire du lien, créer des passerelles.
43:26 Et là, je remercie Mireille de nous avoir invité.
43:29 - Vous avez donné des cours un peu ? Montrez quelque chose.
43:32 - Hier, il y a eu un atelier, c'était un Saint-Denis.
43:35 Il y avait une trentaine de jeunes
43:38 et on a partagé la passion commune qu'on a.
43:41 La danse, le breakdance, l'hip-hop.
43:44 Comme je le dis, c'est pour tout le monde.
43:47 - Vous êtes un peu dansé en fonction des régions.
43:50 À La Réunion, on danse un peu différemment.
43:53 Il y a quand même une identité en fonction des régions.
43:56 - Oui, mais chaque territoire a son histoire.
43:59 C'est comme dans tout.
44:02 Moi, je suis originaire de la ville de Bordeaux.
44:05 On a nos tontons.
44:08 Du coup, ça a un flux sur les futures générations.
44:11 Et à La Réunion aussi, c'est pareil.
44:14 On a fait plus de 20 ans où les danseurs de La Réunion
44:17 ont un très grand niveau.
44:20 C'est vraiment costaud.
44:23 Heureusement que vous ne pouvez pas venir souvent.
44:26 Sinon, ça remettrait en question pas mal de choses.
44:29 - La 3, on avait reçu les 2 jumeaux de Sainte-Andrée.
44:32 - Les jumeaux Beat, Bat et Breakdance.
44:35 - Les jumeaux de Paris.
44:38 - Ils sont chauds.
44:41 - Ils sont chauds.
44:44 En plus, le fait qu'ils soient jumeaux, ça ramène quelque chose.
44:47 Ils sont talentueux.
44:50 Les danseurs de La Réunion, c'est vraiment chaud.
44:53 Autant que les anciens crews comme Running.
44:56 Mais la nouvelle génération, avec les Marauners
44:59 qui ont fait des performances aux Etats-Unis.
45:02 Non, non, non, sérieusement, c'est sérieux.
45:05 - C'est dommage qu'on n'en parle pas.
45:08 - Tu parles des Etats-Unis, on n'a pas ce rotoir-là.
45:11 - C'est des gens qui ne viennent pas de France.
45:14 - Par rapport à Sainte-Andrée, j'habite à côté.
45:17 Mais La Réunion est dans tous les milieux artistiques.
45:20 Ils font des grandes choses aux Etats-Unis, en Europe.
45:23 Des fois, on n'a pas le rotoir à La Réunion.
45:26 On ne sait pas que des petits réunionnais comme nous
45:29 vont créer dans le domaine.
45:32 - On ne nous invite pas forcément.
45:35 - Justement, on ne voit pas la grandeur du mouvement.
45:40 Jusqu'où on peut aller.
45:43 Ce n'est pas que des danseurs, là, ce sont vraiment des performeurs.
45:46 Après, on est tous des artistes, ou bénévoles, ou autres.
45:53 On communique, on essaie de communiquer au mieux.
45:57 On informe, mais il faudrait que la presse,
46:02 les télés, comme vous, comme aujourd'hui,
46:05 nous invitent et on puisse le dire à ce moment-là.
46:12 - Edouard, tu peux faire un plan serré sur Muriel ?
46:15 - Merci, le talk.
46:18 - Muriel, vous, en tant qu'organisatrice de l'événement,
46:21 est-ce qu'il y a des lieux où on peut venir voir des démonstrations,
46:25 des ateliers, des choses comme ça ? Où est-ce qu'on peut se rendre ?
46:28 - Ce qu'il faut savoir aussi, c'est que cet événement
46:30 n'est pas que sur du break.
46:32 C'est pour ça qu'il s'appelle Hip Hop Garden.
46:34 C'est un festival de hip hop, Garden dans les jardins.
46:38 On a voulu aussi faire un clin d'œil à nos traditions,
46:41 à notre patrimoine, et le faire dans des lieux inédits.
46:44 Par exemple, on aura une journée dans le Jardin de l'État, samedi,
46:50 le battle dimanche au Barachois,
46:53 et vendredi, les initiations avec l'équipe de France.
46:57 On va faire un gros focus sur l'équipe de France, sur le break.
47:04 Mais on n'oublie pas nos autres danseurs de La Réunion,
47:08 qui aussi performent, qui sont dans ce mouvement,
47:17 et qui ont le droit aussi d'être dans ce festival.
47:20 Donc on est dans des lieux inédits.
47:23 Jeudi, au Cœur Vert, vendredi au Gymnase de Chantlery,
47:30 samedi au Jardin de l'État, et dimanche au Barachois.
47:34 - Et Hassan, pour revenir au breakdance et à l'équipe de France,
47:38 le breakdance qui est entré au JO,
47:40 comment on se prépare à cette prochaine étape ?
47:44 - Ça se passe très bien.
47:46 Nos Français sont bien qualifiés,
47:48 parce que ce n'est pas si simple comme ça d'être le circuit olympique,
47:52 c'est une nouvelle discipline.
47:55 On a des Français comme Laguette, qui viennent tout à l'heure,
47:58 Carlota, qui viennent tout à l'heure aussi,
48:00 qui sont très bien placés au niveau mondial.
48:02 J'espère qu'on aura toutes nos chances, trace des doigts,
48:05 pour qu'ils puissent participer au JO à Paris.
48:08 La fédération et la commission breaking, on essaie de tout faire.
48:12 - Et sur quoi on juge le breaking ?
48:14 C'est sur la technique ? Sur la chorégraphie ?
48:17 - C'est pas obligé de faire comme ça, c'est peut-être technique.
48:20 [Rires]
48:22 - Un jour j'aimerais faire la vague, mais je ne sais pas le faire.
48:25 - Alors, c'est comme toute discipline artistique.
48:28 Vous avez de la chance, je suis coordinateur des juges
48:31 au sein de la commission breaking.
48:34 Pour synthétiser, en fait, ce sont des codes autour du breakdance.
48:38 Alors, on n'a pas attendu les JO olympiques
48:40 pour commencer à réfléchir à un système de jugement.
48:43 Il y a plusieurs systèmes de jugement,
48:45 mais en fait, il faut déjà connaître la discipline,
48:48 il faut connaître ses bases, il faut avoir de la personnalité, du charisme,
48:52 connaître son vocabulaire.
48:55 Alors, il n'y a pas de critères un petit peu sous-jacents
48:58 que même le public ne peut pas comprendre comme ça.
49:01 Ce n'est pas que technique.
49:02 - Qui sont les jurys, alors ?
49:03 - Les jurys, c'est les gens dans ce renommé qui ont fait...
49:06 - Ça va être des grands noms, je suppose.
49:08 - Il n'y aura pas quelqu'un du public,
49:09 il n'y aura pas quelqu'un en sacrament qui va juger.
49:12 [Rires]
49:14 - Sydney sera là.
49:15 - Sydney sera sûrement là, il est invité,
49:17 comme ça on fait partie des gens qui ont percé le...
49:20 - Qui nous l'a amené et on l'a découvert avec lui.
49:23 - Il sera forcément invité et il ne sera pas long, c'est sûr.
49:26 Et d'ailleurs, c'est les 50 ans du hip-hop cette année,
49:28 donc voilà, tout compte.
49:30 - Et dernière question d'actualité cette fois, pour terminer,
49:32 c'est sur les prix justement des billets pour les JO.
49:34 Je ne sais pas si vous avez vu ça.
49:35 Ça fait un peu polémique parce que, effectivement, c'est assez cher.
49:38 Qu'est-ce que ça ?
49:39 - Cher ?
49:40 - C'est plusieurs centaines d'euros, ça dépend des...
49:42 - C'est 600 pour voir les populations,
49:44 800 pour voir la gymnastique, un truc comme ça.
49:46 - Et il y avait une famille, je crois qu'ils ont pris...
49:48 - Il y a eu le marché noir, ça coûte très cher.
49:50 - Ils ont pris 40 places et ils ont dépensé...
49:51 En plus, c'est sur concours, tu dois gagner des places et tout,
49:54 c'est compliqué de l'ouvrir.
49:55 Du coup, ce moment peut-être d'ouverture, on va dire, au grand public,
49:59 qu'est-ce que vous en pensez du coup ?
50:01 - Moi, je n'en pense pas grand-chose.
50:03 - Parce que c'est les JO.
50:04 - Et qu'il faut gagner la médaille, ils sont fous du public.
50:06 - Non, mais ce n'est pas normal d'avoir un truc
50:08 où les valeurs du sport sont censées être universelles pour tout le monde.
50:13 Vous avez entendu mon discours, et que ce soit des prix orbitants
50:18 qui dépassent l'entendement, ça fait déjà des castes naturelles.
50:23 - Oui, c'est ça.
50:24 - Et ça, ce n'est pas normal.
50:26 C'est fait pour tout le monde, le sport, y compris pour ceux qui n'ont pas d'argent.
50:31 Les licences sont faites pour être empruntables,
50:34 comme ça se fait avec des places pour des JO.
50:37 Je ne suis pas au courant, il y a peut-être des choses
50:40 qui sont mises en place pour que ça soit accessible à d'autres.
50:43 Mais en tout cas, pour les personnes lambda,
50:45 c'est sûr que quand on regarde sur Internet, j'ai failli.
50:48 Mais moi, j'ai eu là.
50:50 - Compliqué.
50:51 - Ce n'est pas simple, il faut avoir un bon Quantum Bank, un bon PEL.
50:54 - En tout cas, si vous n'avez pas la chance d'aller aux JO en 2024,
50:58 vous pourrez aller voir l'équipe de France de breakdance ce week-end.
51:01 Ce week-end, il y a au Barachois dimanche soir,
51:04 donc n'hésitez pas à y aller.
51:05 Merci encore, Muriel Baltazar et Hassan d'être venus sur notre plateau.
51:09 On vous souhaite une bonne continuation, bon événement.
51:11 Merci à toute l'équipe d'avoir été là aujourd'hui et toute la semaine.
51:14 Merci à vous d'avoir regardé le tall.
51:16 On se retrouve la semaine prochaine, lundi.
51:18 Et oui, ce ne sera pas un jour férié pour nous.
51:20 On se retrouve comme tous les jours à 18h35 sur Télé Créole.
51:23 Et moi, je vous dis salut la réunion.
51:24 Ciao.
51:25 - Merci. - Au revoir.
51:26 - Au revoir.
51:27 [Musique]
51:51 Stop au gâchis.
51:53 Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
51:56 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche zéro gâchis.
52:00 Tous les jours, des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70%.
52:05 En rayons ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
52:09 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
52:12 Leclerc.
52:15 Les aviez-vous ?
52:16 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
52:19 ni en se collant sur TikTok.
52:20 [Musique]
52:26 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire, incroyable et peu estofflante.
52:32 On exagère peut-être un peu.
52:34 Pour trouver son emploi en un clic.
52:36 Un clic ? Mais c'est super.
52:39 Clique en toi.
52:40 [Musique]
52:46 Avec Clique emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
52:50 Martine, on dit merci qui ?
52:52 [Rire]
52:53 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
52:56 Bah ouais, elle bosse.
52:57 Merci Clique emploi.
52:59 [Musique]
53:25 100% La Réunion.
53:27 La nouvelle marque du savoir-faire réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
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53:54 [Musique]
53:58 Merci.
53:59 Merci.

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