L'émission Zoom Extra de ce jeudi 4 mai sera consacré à la Covid 19. Vivre avec le virus. Le vaccin, les effets secondaires, qui dit vrai ? Pour en débattre, Linley Appadoo reçoit comme invités : Alexandra Henrion-Caude, généticienne, Gino Cangy, Thérapeute musculaire et l'honorable Dr Farhad Aumeer, député du parti travailliste A suivre également dans l’émission, les témoignages des victimes ou proches des victimes d’effets secondaires. Vos appels et témoignages sur le 21377 77.
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00:00:00 Zoom Extra.
00:00:03 Chers auditeurs, bienvenue dans l'édition de Zoom Extra aujourd'hui le jeudi 4 mai 2023.
00:00:13 Le thème qui nous fait une chose aujourd'hui c'est Covid, vivre avec le virus, vaccin,
00:00:19 effets secondaires, à qui la faute ? Alors avec moi en studio nous en avons trois invités,
00:00:24 toujours honneur aux dames, Alexandre, docteur Alexandre-Orion Côte, généticienne mais aussi
00:00:31 directrice de recherche à l'institut Simplicima. Docteur bienvenue en studio. Alors à ma droite
00:00:38 nous avons le docteur Faradomir, l'honorable docteur Faradomir qui est gynécologue et aussi député du
00:00:45 Parti travailliste au Parlement. Docteur bienvenue en studio. Bienvenue à toi aussi et à tous les
00:00:50 auditeurs de Top FM. Et nous avons aussi Gino Kanji, thérapeute musculaire qui nous percueille en
00:00:56 studio. Gino bienvenue et voilà. Donc à nos auditeurs et ceux qui peuvent nous suivre sur
00:01:03 Facebook bien sûr, vous êtes capable de nous contacter sur le 213 7777 vers 18h15 à peu
00:01:12 près. Alors je vais vous montrer un petit peu le déroulement de l'émission aujourd'hui. Nous pour
00:01:17 commencer bien sûr, pour détailler un petit peu la COVID, nous vous pose le livre du docteur
00:01:23 Alexandre-Orion Côte qui s'appelle "Les apprentis saussiers" qui fut publié et qui justement
00:01:32 fait un petit peu ce qui nous pose aujourd'hui un sujet important qui s'appelle "Un messager
00:01:39 c'est quoi?" et qui fait quelque part une amende question qui nous est posée. Alors pour
00:01:45 démarrer, nous pouvons faire un petit récapitulatif de la COVID à travers le monde, pas simplement à
00:01:52 Maurice. Nous commençons entre le 12 et le 29 décembre 2019, d'après l'information qu'il
00:01:58 fut une gagnée de l'autorité bien sûr, entre le 12 et le 29 décembre 2019, 59 cas de pneumonie ou
00:02:07 quelque chose qui ressemblait à pneumonie dans Wuhan. Le 9 janvier 2020, l'autorité chinoise
00:02:12 finit des cloches, c'est un nouveau coronavirus et ils finissent de séquencer le génome plus ou moins,
00:02:18 et un mois, moins d'un mois depuis, premier malade. Le 11 janvier, le premier mot, un homme de 61 ans,
00:02:27 un chinois, qui détient client du marché dans Wuhan, Côte Pédia, tout ça a finit de commencer.
00:02:35 Le 23 janvier, Wuhan rentre en quarantaine. Le 25 janvier, la maladie arrive en Europe. En février
00:02:42 2020, il est baptisé COVID-19 d'après l'OMS. Le 15 février, le premier mort en France, un touriste
00:02:49 chinois. Le 20 février, l'Iran, lui aussi, il déclare le premier mort. Le 21 février, quarantaine
00:02:56 en Europe qui commençait par l'Italie. Le 29 février, les États-Unis le drapeau de premier
00:03:01 mort. En Angleterre, le 5 mars, le premier mort. Le 9 mars, l'Italie rentre en quarantaine nationale
00:03:08 parce qu'ils étaient en quarantaine régionale un petit peu avant. Et le 11 mars, l'OMS déclare
00:03:14 une pandémie. Le 13 mars, les États-Unis déclore un état d'urgence. Le 17 mars, le premier essai
00:03:22 humain du vaccin de Moderna commence. Le 23 mars, la Grande-Bretagne, elle rentre en quarantaine
00:03:29 nationale. En avril 2020, le 3 avril plus précisément, le 1 million de morts. Le 8 avril,
00:03:40 retour à la normale en Chine. Mai 2020, certaines restrictions levées en Europe. Le 28 mai, 100
00:03:47 000 morts dans les États-Unis. Augmentation des cas en juin 2020, encore une fois. Et le 24 juillet,
00:03:53 le port du masque obligatoire en Grande-Bretagne. En août 2020, toujours, Sputnik finit d'approuver
00:03:59 en Russie. Et une date peut-être que tout le monde pourrait appeler le septembre 2020, le 29,
00:04:08 1 million de morts à travers le monde. Octobre 2020, retour de quarantaine dans plusieurs pays.
00:04:13 Novembre 2020, Pfizer, BioNTech, ils annoncent qu'ils se vannissent en phase 3 et ils disent
00:04:19 qu'il y a 90% d'efficaces pour empêcher la COVID-19 symptomatique. Le 16 novembre,
00:04:26 c'est Moderna qui annonce la même chose. Le 23 novembre, Oxford et AstraZeneca se disent
00:04:33 satisfaits de l'essai qu'ils font faire. Le 2 décembre, on a l'approbation pour la
00:04:38 Grande-Bretagne de vaccins Pfizer et BioNTech. Le 8 décembre, vaccination en masse en Grande-Bretagne.
00:04:43 Le 14 décembre, nous avons un nouveau variant qui apparaît. Et l'OMS dit en décembre 2020
00:04:51 que l'Afrique n'est pas capable de recevoir de vaccins pour des années à venir. Le 6 janvier
00:04:58 2021, nous avons une augmentation de 24 en Grande-Bretagne. Le 15 janvier 2021,
00:05:03 nous comptons 2 millions de morts dans le monde. Le 16 février 2021, 216 millions vaccinés à
00:05:10 travers le monde. Septembre 2021, 200 millions de cas avec 4,6 millions de morts. Le 31 décembre
00:05:19 2020, la validation en urgence de l'utilisation de nos vaccins. Et le 27 avril 2021, 1 million de
00:05:25 doses de vaccins administrés et les effets secondaires que nos producteurs de vaccins disent
00:05:33 qu'ils ont des effets secondaires. Alors, nous rentrons dans le vif du sujet, Alexandre,
00:05:57 docteur Codd, qui fait un écrit à sa livre là ? Le besoin de partager ce qu'un certain nombre de
00:06:10 scientifiques et de médecins avaient analysé depuis trois ans et avaient besoin de partager
00:06:19 en donnant systématiquement les références. Parce que ce qu'on a bien vu, c'est que le débat
00:06:27 très inégal, en fait pas le débat, m'ont bien content que docteur Romier soit là, parce qu'effectivement,
00:06:36 c'est ce qui a manqué terriblement dans le monde, pas à mon risque, dans tous les pays,
00:06:42 la possibilité de discuter. Nul ne détient la vérité, surtout dans quelque chose d'inégal,
00:06:49 inédit, jamais rencontré, confronté, réfléchi et échangé. Ça, ça n'a pas eu lieu. Et il y a eu
00:06:59 pire que ça, il y a eu des menaces qui ont été faites contre des gens comme moi, comme nous
00:07:05 autres qui n'étions pas d'accord avec les mesures politiques prises. Et donc, en disant "vous êtes
00:07:13 des complotistes", ce mot là qui m'énerve beaucoup. Un mot qui fait le tour du monde, Astelle.
00:07:18 C'est ça, et qui est un mot qui finalement, c'est la nouvelle arme des ignorants. Ceux qui disent
00:07:25 "l'autre il est complotiste", c'est un ignorant, c'est qui ne sait pas débattre sur des choses.
00:07:29 Donc ça, c'est donc ce livre, je suis bien contente parce qu'il est premier des ventes en France,
00:07:36 il était premier en Belgique, zéro marketing, zéro publicité, simplement le boussaouaireille
00:07:44 qui a bien fonctionné et qui fait que les gens sont bien intéressés et que pour le moment,
00:07:50 j'espère qu'on va, voilà, il va ouvrir le débat. C'est le cas puisque aujourd'hui,
00:07:56 merci de m'inviter et on va pouvoir discuter. Si je peux revenir sur quelques petites choses
00:08:01 que vous avez dites. Sarskov, vous êtes venu, donc vous avez dit dans votre historique,
00:08:06 l'apparition du virus comme si... On défend 2019. Sauf que maintenant, on a eu quand même pas mal
00:08:13 d'études qui utilisent où les eaux, les West Edge, les Sue Edge, les West Waters, les eaux usées
00:08:21 et qui documentent que de par le monde, vous prenez Brésil, vous prenez Italie, vous prenez France,
00:08:28 vous prenez Espagne, on a eu les traces de ce virus-là dès mars 2019, soit un an avant cela.
00:08:40 Alors là, on peut dire c'est le problème des Sue Edge, c'est le problème de la technique.
00:08:45 Alors allons prendre une autre technique bien différente, celle-là, Marie différente.
00:08:49 Vous prenez le sang ou les échantillons que vous avez eus des patients qui ont été,
00:08:55 par exemple, il y a une étude qui est très intéressante, qui prenait des gens qui étaient
00:09:00 suspectés d'avoir un cancer poumon. Et en fait, vous preniez, ils ont repris et ils ont dit,
00:09:06 oula, 11% de ces gens-là, ils avaient rencontré SARS-CoV-2, comment on sait,
00:09:13 parce qu'ils avaient les anticorps qui circulaient. Et donc, on a ainsi dans tous les pays,
00:09:19 un timeline bien différent avec à chaque fois des études, des cohortes, donc des publications
00:09:26 scientifiques qui ont été publiées dans les différents pays, donc totalement indépendamment,
00:09:30 on ne peut pas dire assez biaisé ou autre, et qui documentent que cette affaire-là,
00:09:35 elle tournait depuis longtemps. Pourquoi j'insiste là-dessus? C'est très important.
00:09:39 Ça veut dire que l'immunité naturelle avait été déjà développée. Premier aspect,
00:09:46 ça veut dire qu'à Noël 2019, 2019-2020, à Maurice, quand Bantourista arrive là,
00:09:53 probablement que déjà, les choses avaient déjà...
00:09:57 Sur tous les certains endroits, pas partout dans le monde.
00:09:59 Absolument. Moi, pour le moment, les études, elles proviennent, je vous dis, de Brésil,
00:10:03 France, Italie, Espagne et je crois Thaïlande.
00:10:08 Donc, ça veut dire la France et nous.
00:10:10 Ça veut dire pandémie, ça.
00:10:11 Absolument. Alors, nous pourrions venir avec vous après.
00:10:15 Ça, c'est important.
00:10:16 Alors, avant mon tournement avec le Dr. Romier et Gino,
00:10:20 je suis très content de vous écouter un témoignage très poignant d'une maman qui
00:10:26 fait une pédiatrie sur le garçon et quelque part, l'état nous écoute et nous peut comprendre
00:10:34 qui fait une fesse à la vie.
00:10:35 Nous passons le témoignage de Camini qui fait une pédiatrie sur le garçon,
00:10:39 un jeune garçon qui fait du travail.
00:10:41 Nous écoutons ça, le témoignage.
00:10:42 Je suis très content de vous écouter aujourd'hui.
00:10:46 Mon garçon a fait une pédiatrie sur le garçon.
00:10:48 Je vais le faire avec moi, ensemble.
00:10:52 En bas, il est en bonne santé. Il est bien.
00:10:55 Il est dans la joie parce que tu peux sortir, tu peux parler avec toute la famille.
00:11:02 Mais il finit par se faire déjeuner et il me dit à moi,
00:11:06 dans 15 minutes, je vais te laisser, tu finis de te préparer.
00:11:11 Et avant d'y aller, il me dit, aide-moi, aide-moi à te préparer ça.
00:11:16 Il y a l'heure, il finit de monter, il finit d'entendre ce douche.
00:11:20 Il me crie, il finit de me dire qu'il fait sentir brûler,
00:11:27 ce qui me dit qu'il se déchire.
00:11:29 Lorsque je finis d'y aller, oui, je vais manger du chien.
00:11:32 Il finit le matin, ça fait brûler.
00:11:35 Je suis correcte, il est allé monter, il est allé.
00:11:39 Après 15 minutes, quand je finis de me préparer,
00:11:42 je trouve que je ne fais pas de sang, je finis.
00:11:45 Je crie, je crie deux ou trois fois, je ne fais pas de sang.
00:11:50 Normalement, j'ai tout le temps fini de faire de la sang avant,
00:11:53 j'ai fini de préparer.
00:11:55 Et là, je monte, je monte, je continue de crier.
00:12:01 Mais je n'ai pas fait de sang.
00:12:03 Et quand je rentre dans mon appartement, tout tranquille,
00:12:06 j'écoute les enfants qui sont dans la salle de bain,
00:12:10 je vais dans la salle de bain.
00:12:11 Et là, je regarde la chambre.
00:12:15 Mais quand je rentre dans la chambre, la porte s'ouvre.
00:12:20 Et sur la table, je trouve que j'ai une poche pour me laisser,
00:12:23 un sac à dos, je peux préparer, je peux faire.
00:12:29 Et quand je touche la porte, je trouve que je suis en bas.
00:12:34 Je suis en bas, je suis un petit peu à pied,
00:12:37 je me déchire, je suis en bas.
00:12:40 Et là, je crie, je crie,
00:12:43 "Qu'il arrive toi, lève-toi, lève-toi."
00:12:47 Mais il n'a pas fait de réponse.
00:12:49 Mais il s'est fait tout, tout, tout,
00:12:52 presque que tu n'es qu'à peu près au-delà de la porte.
00:12:58 Mais il n'a aucune réaction.
00:13:01 Je crie, je me pose, je me lève.
00:13:04 Et là, je crie à mon père,
00:13:07 "Ton papa est en bas, tu cries, tu ne parles pas, ne parles pas."
00:13:12 Et c'est là, je crie, je ne fais aucune, aucune,
00:13:17 aucune réaction à cette porte.
00:13:20 Et après, je trouve un petit filet de sang qui coule,
00:13:24 je ne sais pas où il est, je bouge, je bouge,
00:13:27 et je sens que je ne sais pas où il est.
00:13:30 Mais ce papa-ci ne crie pas, il ne parle pas,
00:13:34 il ne lève et là, il a un téléphone, Samy,
00:13:37 le papa a un téléphone et Samy est venu tout de suite,
00:13:41 il est venu et Samy s'est fait tout le mieux pour l'élever,
00:13:48 mais il n'a pas fini, il n'a pas fini dans la rue.
00:13:52 Et là, Samy, il dit à madame, le papa,
00:13:56 "Please, s'il te plaît, je n'ai pas fini à aller."
00:14:00 Mais, d'ailleurs, papa, il n'a pas fini à mettre le téléphone
00:14:04 à travers pour aller au miocorde.
00:14:07 Et Samy au miocorde, il est associé avec le vaccin.
00:14:13 Et le titre, il ne fait pas le vaccin.
00:14:16 Le titre, il ne fait pas le vaccin parce qu'il a fait
00:14:19 tant, beaucoup de sép, pour arriver au vaccin.
00:14:23 Et il est devenu perdu dans la cour de son travail.
00:14:28 Il ne s'est pas fait le vaccin, il n'a pas pu faire le travail.
00:14:33 Il a fini par faire le travail.
00:14:36 Mais il faisait le travail pour les paravivres.
00:14:40 Et après, il a eu une autre famille qui est morte du vaccin.
00:14:46 Une famille qui a 34 ans.
00:14:51 Les six gens, ils avaient la même santé que mon gamin.
00:14:56 Après, ils ont eu des symptômes de coma,
00:14:59 ils ont tombé aussi.
00:15:03 Mais c'est ça, ce qui me tient au cœur,
00:15:07 c'est que qu'est-ce qui fait qu'on ne peut pas faire le vaccin?
00:15:10 Si le vaccin est vraiment une protection,
00:15:14 mais qu'est-ce qui fait?
00:15:15 Qu'est-ce qui fait qu'on ne peut pas faire le vaccin?
00:15:17 Moi, mon père, il a 16 ans, son oncle,
00:15:21 et nous, la famille est composée pour les victimes.
00:15:25 Dans nos vies, tu ne vas pas se faire le vaccin.
00:15:30 Il faut que tu te sois bien.
00:15:32 Il faut que tu te sois bien.
00:15:35 Parce que maman, elle était aussi en Belgique.
00:15:38 Maman, elle était en hôpital, elle était en soins de vie.
00:15:45 Elle était en Belgique, elle était en soins de vie.
00:15:49 C'est ce que maman a fait.
00:15:53 C'est ça qui me tient au cœur,
00:15:56 qui fait qu'on arrive au bon sens,
00:16:01 et qui amène une paix à la médecine,
00:16:05 qui amène les médecins en bonne santé.
00:16:09 Alors, nous tournons vers le Dr. Omir,
00:16:13 mon corps est assez poignant.
00:16:15 Et sans qu'il nous vienne dire
00:16:17 que cette personne-là finit de décéder à travers le vaccin,
00:16:21 à maman, je lui ai dit,
00:16:22 il ne le connaît pas parce qu'il a ce certificat de diapositive,
00:16:28 mais il a encore dit,
00:16:29 un jeune qui a encore dit qu'il finit de décéder à travers le vaccin.
00:16:33 Le Dr. Omir, il a suivi ce dossier depuis le début.
00:16:36 Il a entendu des histoires comme ça,
00:16:39 pas une fois, mais plusieurs fois.
00:16:41 Quelles sont les réactions quand on entend ces histoires?
00:16:44 D'abord, on partage la douleur de la maman
00:16:46 qui a perdu un garçon si jeune.
00:16:48 Ce n'est pas évident.
00:16:50 Et surtout, c'est quelqu'un qui est un breadwinner dans la famille
00:16:54 et on ne peut avoir plus de douleur.
00:16:57 N'empêche que tout le monde qui ne perd des autres parents,
00:17:00 jeunes ou vieux, adolescents ou enfants,
00:17:03 grandis môme avec le COVID-19,
00:17:06 avec vaccin ou sans vaccin,
00:17:09 il finit toujours en drame.
00:17:12 Il y a toujours une ligne très difficile à démarquer
00:17:15 quand tu dis à un des mômes,
00:17:18 "Mais à cause du vaccin, il peut y avoir certaines conséquences."
00:17:22 Ou d'autres, "Mais si vous ne faites pas le vaccin,
00:17:25 voilà les autres conséquences."
00:17:27 La ligne est très fine.
00:17:29 Scientifiquement, comme un médecin,
00:17:32 on finit toujours par vivre dans le monde des vaccins.
00:17:35 Moi, en tant que gynécologue,
00:17:36 tout le monde a un bébé qui naît,
00:17:38 il a besoin de faire le vaccin en trois mois,
00:17:41 après une semaine, après six mois, dans trois ans,
00:17:44 là où on a plusieurs vaccins.
00:17:46 Et l'histoire pour montrer que surtout,
00:17:49 un vaccin qui est fait avec un enfant,
00:17:52 qui a des conséquences,
00:17:55 c'est le fameux vaccin qu'on appelle MMR,
00:18:00 Myzoloma and Troubella,
00:18:01 qui a même certaines conséquences fatidiques,
00:18:07 fatales, dans certains enfants en Angleterre,
00:18:09 quand il est fait avec une grande étude,
00:18:11 c'est mieux qu'après 35 ans.
00:18:14 Je veux dire 35 ans après.
00:18:16 Qui nous trouvait que oui,
00:18:18 dans certains cas spécifiques,
00:18:20 les facteurs de risque étaient faux
00:18:23 et qui ont besoin d'une certaine précaution.
00:18:26 Nous retournons à la COVID-19,
00:18:28 nous avons la première apparition du vaccin
00:18:31 que neuf mois après qu'il est déclaré comme une pandémie.
00:18:37 Fini dans une ruée extraordinaire,
00:18:40 pour trouver le traitement.
00:18:42 Pour trouver le traitement, vaccin, protection,
00:18:46 nouveaux médicaments, antiviraux,
00:18:48 monoclonale, anticorps, toutes sortes de choses.
00:18:53 Qui ? La question est simple.
00:18:55 Est-ce qu'il y a une souche de patients non identifiables,
00:19:03 qui sont capables d'être très susceptibles,
00:19:06 que ce soit un vaccin qui est offert avec une appellation mRNA,
00:19:09 ou par un vecteur, ou par une protéine de souche ?
00:19:14 Je ne sais pas comment répondre à ça.
00:19:16 Je ne sais pas comment nous réagirons déjà,
00:19:19 après trois ans de pandémie.
00:19:23 Je ne sais pas comment nous réagirons à ça.
00:19:26 La médecine, les films basés tout le temps,
00:19:29 nous appellons la science des statistiques,
00:19:33 le rapport, nous appellons les effets,
00:19:36 et nous ne saurions qu'arriver.
00:19:38 Personne ne sait que tout cela,
00:19:40 les gens qui font le vaccin dans ce monde-là,
00:19:42 peut arriver un jour où nous allons dire
00:19:44 que tout cela peut avoir un symptôme X.
00:19:47 Tout cela dans ce monde-là qui fait le vaccin.
00:19:50 On cause un même or, comme un exemple,
00:19:52 pour montrer qu'après 35 ans,
00:19:54 on est capable d'identifier quelque part une faute,
00:19:59 surtout si c'est dans une condition imputable,
00:20:03 à personne de risque.
00:20:05 Quand il s'agit de myocardite,
00:20:08 autant qu'il me connaît,
00:20:09 et je ne suis pas un expert en vaccins,
00:20:11 mais il me comprend un petit peu,
00:20:13 le Pfizer-BioNTech,
00:20:15 dans son pathologie et dans son rapport,
00:20:18 il est toujours mentionné
00:20:21 en un très faible risque minime de myocardie.
00:20:25 Là, la question se pose,
00:20:27 si nous avons les Pfizer-Pfizer qui sont sortis récemment.
00:20:30 C'est la raison qui fait que nous faisons cette émission,
00:20:33 parce que les Pfizer-Pfizer,
00:20:35 c'est un document qui est obligé
00:20:39 de mettre dans le domaine public,
00:20:41 suite à un cas de la cour en Amérique,
00:20:45 qui est plus de 300 millions de documents.
00:20:48 Mais nous ne savons pas
00:20:52 si ce document est hyper technique.
00:20:56 Alors, je reprends un petit peu ceci.
00:20:58 Si nous avons les Pfizer-Pfizer,
00:21:00 il y a deux aspects très intéressants.
00:21:04 Le premier, c'est la cause de la myocardie.
00:21:08 Le deuxième, c'est l'effet des vaccins sur les femmes
00:21:11 en termes de fertilité et des sexes menstruels.
00:21:15 Ce que je comprends très bien,
00:21:17 particulièrement étant gynécologue.
00:21:20 J'ai écouté les arguments.
00:21:23 Je finis d'écouter les arguments.
00:21:25 Je finis d'écouter ce qu'ils ont fait dire.
00:21:27 La question que moi, je me suis posée,
00:21:29 pas personne d'autre.
00:21:32 Moi, je suis médecin, consultant, scientifique.
00:21:35 J'ai appris la médecine comme tout le monde.
00:21:38 Je suis un consultant.
00:21:40 Je comprends la réaction immunitaire,
00:21:42 que ce soit passive ou active.
00:21:44 Les défenses immunitaires,
00:21:46 que ce soit les cellules de source ou de base
00:21:48 ou des cellules qui sont des histoires
00:21:50 qui sont préconçues.
00:21:55 Est-ce qu'avec un facteur de risque
00:21:59 qui était dit présent, très, très minime,
00:22:02 mais qui peut arriver?
00:22:04 Bien sûr.
00:22:06 On ne regarde pas à la possibilité
00:22:11 des bien-être et du bienfait de ce produit.
00:22:15 Je ne suis pas défenseur d'aucun vaccin,
00:22:19 mais en regardant la demande qu'il y avait
00:22:25 dans chaque coin de rue de chaque pays.
00:22:29 Et ça, c'est important.
00:22:31 Nous pourrions venir vers ça, docteur,
00:22:33 parce que ça me donne la chance de réagir à cela
00:22:37 avant qu'il nous fasse le toporé
00:22:38 et qu'on commence à rendre notre témoignage,
00:22:41 notre témoignage de bonne personne
00:22:42 qui peut raconter des histoires
00:22:43 et qui est capable de vraiment discuter de la chose.
00:22:46 Monsieur, pour répondre à ce que le docteur vient de dire,
00:22:49 nous laissons Gino Kange, qui est thérapeute musculaire,
00:22:55 répondre à sa témoignage de Kamény-Koop.
00:22:59 Merci à Top FM qui nous a donné l'occasion de témoigner.
00:23:04 Et juste pour dire que nous sommes partie
00:23:05 d'un regroupement citoyen,
00:23:07 nous ne sommes pas des cobayes et nous, Covid vax.
00:23:11 Alors pour...
00:23:13 Nous, Covid vax.
00:23:14 Nous, Covid vax.
00:23:19 Alors pour rebondir sur ce que le docteur vient de dire,
00:23:23 c'est que la science, comment ça, vaccin MMR,
00:23:26 c'est après 35 ans qu'il nous a trouvé.
00:23:29 Mais là, aujourd'hui, avec le recul,
00:23:31 on n'a pas besoin d'attendre 35 ans
00:23:33 parce que les fournisseurs ont-ils déjà annoncé
00:23:40 que ce soit Pfizer, Moderna et autres?
00:23:44 Quels sont les effets?
00:23:46 On va annoncer, mais pour dire franchement,
00:23:49 peut-être que le docteur Alexandre aussi
00:23:51 peut confirmer ce qu'il m'a dit.
00:23:53 Mais au final, j'ai fait ma recherche
00:23:55 avant quand j'étais prépare pour cette émission-là.
00:23:57 Je me disais, quels sont les effets secondaires
00:24:00 de tel vaccin?
00:24:01 Et je l'ai lu, je l'ai lu encore une fois.
00:24:05 Alors, un petit douleur, un petit enflé,
00:24:08 un petit roussure, un petit peu de fatigue,
00:24:11 un peu de sommeil, maux de tête,
00:24:13 irritabilité de la peau, fatigue, sommeil,
00:24:16 manque d'appétit et nausée, c'est la même chose.
00:24:18 Je me demandais plus de détails, je n'ai pas gagné.
00:24:21 Aucun point, je n'ai pas gagné.
00:24:23 Alors, il faut chercher dans les documents, par exemple,
00:24:26 Pfizer a un document avec FDA.
00:24:29 Un des documents qui disclose toute une liste.
00:24:35 D'ailleurs, il y a 9 pages à 4 de maladies
00:24:39 qui se disclosent.
00:24:40 Oui, oui.
00:24:41 Et si nous avions aussi, comme à vous,
00:24:45 moi aussi, je me suis fait faire recherche.
00:24:47 Quand vous avez le Vigiaccess,
00:24:51 WHO, l'OMS, qui donne tout le monde,
00:24:57 qui donne tout le monde, le pays,
00:24:58 qui donne tout le monde, on appelle ça adverse effect,
00:25:01 tout le monde qui fait des effets secondaires graves
00:25:03 jusqu'à la mort.
00:25:04 Alors, à 16 novembre 2021,
00:25:09 il y en a 2,5 millions du monde qui a des adverse effect,
00:25:14 incluant des morts.
00:25:16 En l'espace de deux ans, plus ou moins.
00:25:18 Et hier, comme on a rechecké le chiffre,
00:25:20 alors nous sommes 2,5 millions,
00:25:22 nous en arrivons à 5,038,156.
00:25:25 Et les causes pour les mêmes,
00:25:26 parce que si nous prenons le vaccin
00:25:28 que Dr. Aumur a fait dire à nos enfants
00:25:30 quand nous tous nous faisons aller,
00:25:31 nous faisons un vaccin MISL,
00:25:34 ben, là, un période de 57 ans,
00:25:38 finit dans ces 5,827 cas d'adverse effect.
00:25:44 Ça veut dire des bénéfices secondaires néfastes
00:25:46 qui causent peut-être la mort aussi.
00:25:48 Donc, les chiffres sont assez clairs.
00:25:52 Moi, je pensais, la régie,
00:25:53 est-ce qu'elle nous fait un break,
00:25:55 nous nous moque le top,
00:25:56 on va voir et nous révenir.
00:25:57 Et nous pourrons l'écouter, justement,
00:25:59 le témoignage de Colette quand nous retournons.
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00:27:00 Lolo Hypermarché, Lolo Prices,
00:27:03 Morcellement Sat André
00:27:05 et le Valentina Mall Phoenix.
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00:29:28 Zoom Extra
00:29:35 Donc de retour dans l'émission Zoom Extra
00:29:38 et comment je me disais, nous avons ici
00:29:41 une dame qui s'appelle Colette.
00:29:43 Colette, bonsoir et bienvenue dans l'émission.
00:29:46 Bonsoir, merci.
00:29:48 Alors Colette, vous disiez qu'il y a une victime
00:29:51 qui peut encore souffrir parce qu'elle a fait un vaccin.
00:29:55 Raconte-nous, qui fait ou dire ça?
00:29:58 Bon, bien sûr, malheureusement, nous avons toujours
00:30:01 personne qui peut s'y poser.
00:30:04 Certifié, ça, rappelle-moi.
00:30:07 Donc, je fais un vaccin en 2021.
00:30:10 C'est en octobre, donc un mois en taille d'oeuvre.
00:30:17 Et de cet après-midi, je commence à faire des plaques
00:30:21 pour tous les molécules, faire des injections cutanées.
00:30:24 Et j'ai appris plusieurs médecins.
00:30:27 Donc, première fois, j'y suis arrivé.
00:30:29 Deuxième fois, j'y suis arrivé.
00:30:31 Troisième fois, je n'y suis pas allé.
00:30:33 Vraiment, je n'ai pas réussi à faire quoi que ce soit
00:30:36 pour être professionnelle de la santé.
00:30:39 Mais, j'ai commencé à travailler en janvier.
00:30:44 Et un jour dans mon travail, je la bouche,
00:30:48 je la remplis avec un bouton,
00:30:51 je fais comme ça,
00:30:53 et je la lève jusqu'à ce que je la pose.
00:30:58 Et jamais, je n'ai jamais fait ça avant.
00:31:01 J'ai été généraliste.
00:31:04 Je n'ai jamais mis autant de boutons dans la bouche.
00:31:08 Donc, j'ai eu un long traitement.
00:31:11 Et ensuite, à l'école,
00:31:14 on me disait qu'il y avait un peu de pression
00:31:18 pour faire la troisième dose.
00:31:23 Donc, il y a certainement des temps pour atteindre.
00:31:27 Et c'est là, il y avait une pression un peu indirecte.
00:31:31 Quand tu fais croissance,
00:31:34 quand la troisième dose va arriver,
00:31:37 mes collègues vont faire,
00:31:40 donc, mon hôpital, etc.
00:31:42 Donc, toute sorte de qualités, pression indirecte
00:31:45 pour que tu comprennes que la loi dit que tu dois le faire.
00:31:49 Donc, finalement, c'était systématiquement
00:31:53 un des fois pour moi,
00:31:55 que je me fais gagner,
00:31:57 et que je me fais gagner avant le vaccin.
00:32:01 Donc, je me suis dit que je devais gagner
00:32:04 avant les autres classes.
00:32:06 Je me suis dit que j'allais aller voir un dermatologue.
00:32:09 Et ce dermatologue m'a expliqué
00:32:12 qu'il n'y avait pas de premiers immunes.
00:32:15 Il m'a posé une question,
00:32:17 et c'est là que je me suis rendue compte
00:32:20 qu'il a commencé des semaines après la deuxième dose du vaccin.
00:32:24 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:28 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:32 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:36 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:40 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:44 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:48 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:32:52 Et j'ai eu une bonne réaction.
00:32:54 Je me suis dit que j'allais gagner tout de suite après.
00:32:57 Et je me suis dit que j'allais gagner tout de suite après.
00:33:00 Et je me suis dit que j'allais gagner tout de suite après.
00:33:03 Et c'est ce qui a fait la troisième dose.
00:33:06 Voilà. Donc, je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:10 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:13 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:17 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:21 Et je me suis dit que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:24 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:28 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:32 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:36 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:40 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:44 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:48 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:52 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:33:56 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:34:00 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:34:04 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:34:08 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:34:12 Et je me suis rendue compte que j'allais gagner avant la troisième dose.
00:34:16 Et ce qui m'est arrivé en fait, c'était très consécutif.
00:34:20 Et comme on me le dit à vous parfois, pendant un mois, il m'arrive deux ou trois différentes affaires.
00:34:24 Notamment en décembre, je me rappelle bien,
00:34:28 je me suis retrouvée à l'hôpital en urgence
00:34:32 parce que j'avais une grosse réaction alimentaire.
00:34:36 Ça, j'avais noté que j'allais gagner avant non plus.
00:34:40 Et du coup, l'indien de moi, il m'écrit un papier, une lettre certifiée
00:34:44 pour dire qu'il prend responsabilité pour ne pas faire la troisième dose
00:34:48 suite à tout ce qu'il m'écrit.
00:34:50 Et il m'a demandé à aller à l'hôpital public
00:34:54 et qu'il me demande un rendez-vous de bord pour qu'il me décide de ce qu'il faut faire.
00:34:58 Et donc, c'est ce qu'il m'a fait, encore une fois.
00:35:02 Je suis allée à l'hôpital, je suis arrivée là-bas,
00:35:06 personne ne m'avait pas trop dit qu'il y avait un bord et que ces affaires-là
00:35:10 fonctionnent comme ça.
00:35:12 Donc, j'ai été arrêtée à droite à gauche jusqu'à ce qu'ils m'envoient un département.
00:35:16 Le département m'a trouvé le bon aspect, il n'y était pas trop confronté.
00:35:20 - Et enfin, il compte qu'il est fini d'arriver.
00:35:24 - Enfin, il compte que je serai encore dans l'hésence.
00:35:28 Et là-bas, un docteur m'a demandé une strychnine.
00:35:32 Et là, mes strychnines, ils m'ont encore les cutanées, tout ça là,
00:35:36 c'est pas grave, c'est quand on gagne des trucs alimentaires,
00:35:40 qui nous apprend qu'on peut arriver.
00:35:42 Justement, ici, je ne suis pas comme ça, donc j'ai un dossier.
00:35:46 Quand je récupère mon dossier, je l'écris à un bout de papier.
00:35:50 Quand je récupère mon dossier, je le prends et je dis à ceux qui m'occupent
00:35:56 que l'hôpital n'a pas de dossier.
00:36:00 Ils le détiennent il y a un certain temps.
00:36:02 J'ai fait ça en avril et jusqu'en février, ils ont fini de le détruire.
00:36:08 Donc, encore une fois, mon réargué de docteur est là.
00:36:12 Et là, il y a une confinement dans un autre département.
00:36:16 Il y a un individu qui peut prendre mon nom, il est là-bas, il faut me rappeler.
00:36:20 Voilà, mon copain qui veut me rappeler.
00:36:24 - Et pour clore un petit peu la chose, est-ce que vous êtes capable de travailler
00:36:28 aujourd'hui avec ce que vous avez souffert?
00:36:30 - Bon, écoutez, indirectement et aériennement,
00:36:35 disons que les employés ou les avocats, etc.,
00:36:41 qui ont pris mon cas d'être prêt, avec les données,
00:36:45 avec les lettres médicales, etc.,
00:36:49 je ne peux pas le forcer parce que, comme mon copain a une réponse,
00:36:53 je suis capable de travailler.
00:36:56 Mais je pense que sans qu'il y ait de place,
00:37:01 sans que je puisse me demander de l'aide, c'est un peu compliqué.
00:37:05 - Très bien. Merci beaucoup pour le témoignage, Colette.
00:37:07 Restez à l'écoute, bien sûr, pour nous écouter un petit peu la réaction.
00:37:10 Et je tourne maintenant vers le docteur Romire.
00:37:13 Il y a beaucoup de monde qui...
00:37:16 Beaucoup, c'est relatif.
00:37:18 Mais il y a beaucoup de monde qui ont une bonne expérience, pareil que mon copain.
00:37:22 Il y a une très bonne réaction.
00:37:25 Ce que le docteur a dit, ce n'est pas trop grave.
00:37:27 Mais pour la personne elle-même, c'est assez conséquent.
00:37:30 Parce que si vous imaginez nous comment elle est racontée,
00:37:33 sur la bouche remplie avec des boutons, du jour au lendemain,
00:37:36 moins tu peux arriver, moins ça va, c'est un moment où tu peux paniquer.
00:37:40 Mais quelle est la réaction quand vous trouvez que, jusqu'à aujourd'hui,
00:37:43 ça m'a donné encore plus de temps pour passer devant vous?
00:37:46 - Deux choses.
00:37:48 Environ, si mon patron ne me sait pas exactement,
00:37:51 mon copain a environ 800 000 démons dans sa tête,
00:37:54 ce qui fait qu'il a fait le vaccin premier et le deuxième dose.
00:37:57 Environ.
00:37:59 Un de là-dedans, soit il a un effet, comment on dit,
00:38:03 sur sa pauvre garçon qui finit d'essayer.
00:38:06 Ou cette jeune dame qui fait une éruption cutanée,
00:38:09 comme un effet secondaire, c'est un des trois.
00:38:12 Vous avez beaucoup, un des trois.
00:38:14 Pour moi, c'est comme ça que je le vois.
00:38:16 Mais aussi, il faut assumer,
00:38:19 il faut savoir que la médecine,
00:38:22 quand même, c'est pas blanc et c'est pas noir.
00:38:26 C'est un degré.
00:38:28 Et, évidemment, quand le gouvernement Amoris,
00:38:33 là nous croisons, c'est pour ça que je m'appelle,
00:38:35 c'est pour ça que je me prône le gouvernement Amoris,
00:38:37 qui a fait une ferveur de vaccins,
00:38:39 c'était lui seul l'importateur des vaccins,
00:38:42 et il a fait un vaccin à différentes compagnies fabricatrices,
00:38:46 que ce soit Paracetamol, que ce soit le vaccin,
00:38:50 que ce soit Pfizer-BioNTech, Moderna, etc.
00:38:54 Là, je crois, si je ne me trompe pas,
00:38:58 je me pose même une question au ministre de la Santé,
00:39:01 est-ce qu'il y a une formule,
00:39:05 ou est-ce qu'il y a une facilité pour recevoir des patients
00:39:10 qui posent ce sont des conséquences liées au vaccin?
00:39:15 C'est-à-dire, il y a des effets secondaires.
00:39:20 Et là, le chagrinant, c'est pourquoi il y a une gaine
00:39:25 des gens qui sont vraiment très appréhensifs.
00:39:28 On a besoin d'un système,
00:39:31 n'importe qui s'en a, qui est là pour dire,
00:39:33 boutons la bouche, boutons la main,
00:39:35 on ne sent pas bien, on est tout le temps en léthargie,
00:39:37 on perd du temps, on ne peut pas penser,
00:39:39 on ne peut pas penser, on n'est pas pour gagner,
00:39:41 on n'est même pas gagnant.
00:39:43 Il faut avoir un comité de médecins
00:39:46 très spécialisés dans la matière.
00:39:49 Ce que je veux apprendre,
00:39:51 c'est qu'il faut avoir un jeune médecin
00:39:53 qui ne fait que les exercices, moi qui m'assiste à ce comité-là.
00:39:56 Je dis, il faut, c'est ça qui fait la mauvaise publicité.
00:40:01 On le sait tous, si on met des spécialistes
00:40:05 qui comprennent la maladie infectieuse,
00:40:09 ou des généticiens même,
00:40:11 qui peuvent faire partie pour donner des explications claires et nettes,
00:40:16 les sujets qui se sentent affectés,
00:40:19 je prends d'abord un rassurant, je me rassure,
00:40:23 je prends une explication,
00:40:25 et je prends la manche à suivre après.
00:40:27 La manche à suivre c'est quoi ?
00:40:29 Que ce soit légal,
00:40:31 que ce soit médical,
00:40:33 ou que ce soit psychosocial.
00:40:35 Mais je s'interromps là,
00:40:40 comme où, moi, je ne sais pas,
00:40:44 le docteur Alexandre me prend la question de faire le vaccin ou pas,
00:40:48 mais à Maurice,
00:40:51 quand il a fait le vaccin,
00:40:53 moi je prends mon expérience personnelle,
00:40:55 remplis sa formule s'il vous plaît,
00:40:57 après signé.
00:40:59 Quand on me pose la question, je dis que je ne sais pas,
00:41:01 il n'a pas encore répondu.
00:41:03 Quand je lui dis qu'il fait, je lui signe ça.
00:41:05 Il me dit que si jamais il manque quelque chose,
00:41:07 je ne serai pas capable,
00:41:09 je me sens obligé de faire le vaccin,
00:41:13 pour commencer par là,
00:41:15 parce que mon cas de travail, je dois faire le vaccin,
00:41:17 c'est une obligation.
00:41:19 Et une des questions qu'il m'a posé à l'époque,
00:41:21 malheureusement c'était un cloche,
00:41:23 tu peux faire ça par la doctoresse,
00:41:25 tu peux faire le vaccin avec moi,
00:41:27 je n'ai pas encore une réponse.
00:41:29 Je lui dis que je ne suis pas capable,
00:41:31 tu peux faire le vaccin avec moi,
00:41:33 il me pose la question,
00:41:35 mais je ne sais pas,
00:41:37 il a aussi signé ça,
00:41:39 il a l'air d'avoir fait mal,
00:41:41 il a l'air d'avoir fait mal,
00:41:43 mais l'obligation de le faire,
00:41:45 c'est une première chose,
00:41:47 c'est un petit peu ce que je dis,
00:41:49 et ce groupe, ces deux associations,
00:41:51 il ne faut pas avoir une obligation.
00:41:53 Ce qui fait, moi, la question qu'il m'a posée,
00:41:55 ce qui fait que normalement,
00:41:57 pour faire un vaccin avec tous les gens,
00:41:59 il faut faire une série de tests,
00:42:01 ça prend 10, 15 ans,
00:42:03 après 15 ans,
00:42:05 presque tous les symptômes
00:42:07 qui peuvent arriver sont là,
00:42:09 entre guillemets,
00:42:11 pour faire le vaccin,
00:42:13 sauf que pour le COVID,
00:42:15 il ne passe pas l'étape d'urgence,
00:42:17 même 9 mois après,
00:42:19 même pas,
00:42:21 c'est-à-dire, en mars 2019,
00:42:23 ce n'est pas 9 mois,
00:42:25 docteur Alexandre.
00:42:27 Beaucoup de choses ont été dites,
00:42:29 il faut comprendre
00:42:31 qu'on est sur une histoire
00:42:33 jamais rencontrée,
00:42:35 encore une fois,
00:42:37 jamais rencontrée non plus en vaccin.
00:42:39 Moi, bien content d'entendre
00:42:41 qu'effectivement,
00:42:43 docteur Omir milite pour avoir
00:42:45 une bonne surveillance à Maurice,
00:42:47 mais le problème, c'est que
00:42:49 les surveillances dans tous les pays,
00:42:51 il y en a aux États-Unis,
00:42:53 il y en a eu en Angleterre,
00:42:55 il y en a eu en Europe,
00:42:57 à chaque fois, on a un nom différent.
00:42:59 Elles avaient l'alerte rouge,
00:43:01 mais quand je dis "alerte rouge",
00:43:03 c'est rougeissime.
00:43:05 Pour vous donner, pour que les auditeurs
00:43:07 aient une idée,
00:43:09 une année de vaccin COVID,
00:43:11 une,
00:43:13 c'est 10 fois plus
00:43:15 d'effets indésirables,
00:43:17 d'effets secondaires,
00:43:19 que la grippe pendant 50 ans.
00:43:21 Autrement dit, vous prenez
00:43:23 les vaccins contre la grippe pendant 50 ans,
00:43:25 vous observez les effets secondaires
00:43:27 et là, vous prenez une année
00:43:29 de vaccin COVID,
00:43:31 10 fois plus que pendant 50 ans.
00:43:33 Allons prendre différemment les chiffres.
00:43:35 Vous prenez le nombre de décès
00:43:37 de la base américaine
00:43:39 de surveillance. On s'est apercevus
00:43:41 qu'en gros, on était
00:43:43 à 160 décès par an.
00:43:45 C'est toujours
00:43:47 un de trop, on est bien d'accord,
00:43:49 mais c'était le rythme habituel.
00:43:51 Ce coup-ci,
00:43:53 on est monté,
00:43:55 on a explosé avec
00:43:57 les vaccins COVID à 8000 décès
00:43:59 par an. Ça veut dire
00:44:01 plus 4800%
00:44:03 d'augmentation.
00:44:05 C'est ça qu'il faut
00:44:07 comprendre, c'est qu'on est sur
00:44:09 une histoire qui n'a rien à voir
00:44:11 avec aucun des drames qu'on a vécus
00:44:13 jusqu'à présent. On est sur
00:44:15 une histoire où on a fait
00:44:17 que des jeunes ont pris
00:44:19 un vaccin alors qu'il y avait des études
00:44:21 qui avaient été publiées,
00:44:23 par exemple, de collègues
00:44:25 de Harvard où j'étais moi-même,
00:44:27 de John Hopkins, qui
00:44:29 le 12 septembre 2022 publie
00:44:31 que le vaccin est
00:44:33 98 fois plus dangereux que le virus
00:44:35 même pour les jeunes
00:44:37 pour gagner la myocardite
00:44:39 justement, pour répondre
00:44:41 à cette dame que l'on a entendue.
00:44:43 Donc, là,
00:44:45 je réponds à Gino. Donc,
00:44:47 il y a une importance de vigilance,
00:44:49 mais le problème, c'est que ça ne va pas suffire.
00:44:51 Dans le passé,
00:44:53 quand est-ce qu'on a arrêté un vaccin ?
00:44:55 On a arrêté, on a retiré
00:44:57 du marché. On a retiré
00:44:59 des vaccins du marché
00:45:01 quand il y avait un cas pour 100 000
00:45:03 vaccinés. My God !
00:45:05 On est à beaucoup plus que ça. On prend
00:45:07 juste Maurice, on est à beaucoup plus que ça.
00:45:09 Donc, un cas d'une maladie
00:45:11 que d'habitude il n'y a pas,
00:45:13 c'était une alerte et on a enlevé ainsi
00:45:15 le rotachide, le
00:45:17 nasal flou, le pandémrix
00:45:19 dans différents endroits.
00:45:21 Donc, ces alertes-là n'ont pas marché
00:45:23 ce coup-ci. On ne sait pas bien pourquoi,
00:45:25 mais c'est la chose qui a vu.
00:45:27 Alors, qu'est-ce qu'on s'est rendu compte ?
00:45:29 Alors, là, je m'inscris
00:45:31 en différence de ce que Gino
00:45:33 dit. Il dit les effets secondaires
00:45:35 sont accessibles.
00:45:37 Mais non, moi je suis comme vous. En tant que
00:45:39 consommateur, allons dire,
00:45:41 parce que pas patient.
00:45:43 Patient, c'est quand on est malade.
00:45:45 Quand on se fait vacciner, on va bien.
00:45:47 Normalement, on va déjà bien.
00:45:49 La liste des effets secondaires,
00:45:51 elle n'était pas accessible
00:45:53 au gouvernement, au gouvernement,
00:45:55 pendant 75 ans
00:45:57 et 4 mois.
00:45:59 Elle a été,
00:46:01 il y a eu des pressions aux Etats-Unis,
00:46:03 il y a un système qui fonctionne et ça a été accessible.
00:46:05 Pas accessible aux pharmaciens et aux médecins.
00:46:07 C'est quoi cette affaire-là ? Ça veut dire
00:46:09 le pharmacien, il vous dit je recommande ce vaccin.
00:46:11 Sur quelle base ? Ah, moi je ne connais
00:46:13 la liste des effets secondaires.
00:46:15 Pas accessible aux patients. Alors moi,
00:46:17 comme vous, curieuse, je suis
00:46:19 allée sur le site de Pfizer.
00:46:21 Je veux bien savoir, je veux bien connaître pourquoi
00:46:23 se faire vacciner. Deux raisons, Pfizer
00:46:25 admet. La première,
00:46:27 pour vous aider à vous
00:46:29 protéger. C'est quoi ça ? Ça ne marche
00:46:31 pas. Pour vous aider à vous protéger.
00:46:33 Ça protège ou ça ne protège pas ?
00:46:35 Déjà, pas bonne réponse pour moi. La première,
00:46:37 ça ne me donne pas envie. Deuxième réponse,
00:46:39 parce que, pourquoi
00:46:41 dois-je me faire vacciner ? Parce que la
00:46:43 plupart des effets secondaires
00:46:45 sont légers ou modérés
00:46:47 et sont de courte durée habituellement.
00:46:49 Habituellement ?
00:46:51 Mais c'est quoi ça ? On vient d'entendre deux
00:46:53 drames absolus et
00:46:55 on nous dit juste que pourquoi je
00:46:57 dois me faire vacciner ? Parce que les effets secondaires
00:46:59 vont être plutôt modérés
00:47:01 et qu'habituellement, ils ne vont pas
00:47:03 durer. Mais c'est catastrophique.
00:47:05 Et ça, c'est
00:47:07 le Pfizer même qui est sur le
00:47:09 site du Canada. Alors après,
00:47:11 j'ai été voir pour voir, ils disaient
00:47:13 on peut avoir la liste des effets secondaires.
00:47:15 J'ai cliqué. Jamais ça gagne.
00:47:17 Jamais vous pouvez connaître ça.
00:47:19 Alors, avec les documents
00:47:21 Pfizer
00:47:23 Documents là,
00:47:25 on a eu accès à des documents qu'on n'avait
00:47:27 pas. 15 000 maladies
00:47:29 sont listées là-dedans. Absolument.
00:47:31 9 pages. 9 pages, c'est 15 000
00:47:33 maladies. Et dans ces 15 000
00:47:35 maladies, la première qui commence,
00:47:37 c'est une maladie génétique très grave
00:47:39 qui est un problème
00:47:41 au niveau des chromosomes. Mais
00:47:43 comment ça c'est possible qu'on ait
00:47:45 une liste des maladies ? Il y en a
00:47:47 90 autres maladies génétiques. J'explique
00:47:49 tout ça dans le livre. Comment c'est
00:47:51 possible qu'on continue avec
00:47:53 quelque chose qui donne
00:47:55 potentiellement 15 000 maladies
00:47:57 et des maladies génétiques ? Absolument.
00:47:59 Et justement, quand
00:48:01 vous pouvez dire ça, nous, nous sommes
00:48:03 des simples citoyens qui ne parlons
00:48:05 pas de docteur, vous-même
00:48:07 avec le docteur. Nous, nous sommes des
00:48:09 simples citoyens. Quand on peut faire un vaccin,
00:48:11 nous avons
00:48:13 la tendance à faire confiance
00:48:15 à celui qui peut vacciner
00:48:17 nous parce qu'il nous pense,
00:48:19 "OK, nous bien faisons ça, nous bien."
00:48:21 Mais aujourd'hui, quand on écoute
00:48:23 ce qu'ils peuvent dire, 15 000
00:48:25 effets secondaires avec des maladies
00:48:27 graves, est-ce qu'il
00:48:29 nous fait faire confiance correctement ?
00:48:31 Et nous,
00:48:33 peut-être nous prendre un petit break, nous causer
00:48:35 avec quelqu'un qui nous cause anonymement,
00:48:37 qui nous raconte, nous, ce qui
00:48:39 finit, arrive, se tifie.
00:48:41 Et en France, c'est arrivé en France.
00:48:43 Bonjour, monsieur,
00:48:45 est-ce qu'il vous peut être à nous ?
00:48:47 Oui, bonsoir. Alors raconte-nous justement
00:48:49 ce qui finit de passer.
00:48:51 Bonsoir, bonsoir
00:48:53 à tout le monde sur le plateau.
00:48:55 Donc, je vous remercie,
00:48:57 vous commencez, je vous remercie tout de suite pour cette émission
00:48:59 qui aide,
00:49:01 qui aidera à apporter
00:49:03 plus de clarté au sujet du vaccin.
00:49:05 Donc,
00:49:07 je me souhaiterais
00:49:09 apporter mon témoignage, oui, je me souhaiterais apporter
00:49:11 mon témoignage d'expérience qui
00:49:13 me suffit à l'âge de 17 ans.
00:49:15 Elle était en
00:49:17 4 ou 5, en grade 12,
00:49:19 qui le finit de subir malheureusement suite à la vaccination.
00:49:21 Et ça,
00:49:23 qui par la suite, ça finit d'impacter
00:49:25 grandement
00:49:27 toute la famille.
00:49:29 Donc, c'était l'année dernière,
00:49:31 c'était l'année dernière en janvier,
00:49:33 en janvier 2022,
00:49:35 suite à la décision
00:49:37 gouvernementale pour vacciner tout
00:49:39 le monde, les adolescents, on nous rappelle bien
00:49:41 qu'il y a un gouvernement qui a recommandé
00:49:43 pour vacciner tout le monde, les adolescents,
00:49:45 afin qu'ils soient capables
00:49:47 à l'âge de l'école normalement.
00:49:49 Et donc,
00:49:51 suite à quoi, on a modifié,
00:49:53 on a fait sur les premières doses
00:49:55 et ensuite,
00:49:57 en première dose,
00:49:59 on a gagné un
00:50:01 mal de tête.
00:50:03 Donc là, on a fini
00:50:05 de les prendre, suivant les conseils
00:50:07 des médecins, et ça a fini
00:50:09 de calmer ce douleur.
00:50:11 Par la suite,
00:50:13 on a fini de faire
00:50:15 cette deuxième dose en février,
00:50:17 un mois après,
00:50:19 et le même jour,
00:50:21 à peu près 3 ou 4 ans après,
00:50:23 on a modifié et on a
00:50:25 un mal de tête. Mais cette fois-ci,
00:50:27 le mal de tête était plus intense
00:50:29 que la première dose.
00:50:31 Et on a commencé à avoir un vomissement
00:50:33 continu, accompagné
00:50:35 de douleurs à l'estomac
00:50:37 et de problèmes de respiration.
00:50:39 Donc, tu as des problèmes de respiration,
00:50:41 tu n'es pas capable de respirer, tu es tout fait
00:50:43 comme ça.
00:50:45 Et là, on a fini de les apporter à l'hôpital
00:50:47 parce que ces conditions sont
00:50:49 vraiment inquiétantes.
00:50:51 Et là, on a fini d'apporter
00:50:53 à l'hôpital, on a fini de faire un bon traitement,
00:50:55 les médecins nous ont rassuré,
00:50:57 et nous ont dit que c'était un symptôme,
00:50:59 une réaction normale du vaccin.
00:51:01 Malheureusement,
00:51:03 après, ce mal de tête,
00:51:05 il y a eu une piartrose intense,
00:51:07 une violence,
00:51:09 un mal de tête,
00:51:11 et le système commence à rejeter.
00:51:13 À chaque fois, il commence à rejeter,
00:51:15 et à chaque fois qu'il y a un douleur,
00:51:17 ça peut intensifier, jusqu'à ce qu'il y ait
00:51:19 une perte de connaissance.
00:51:21 Il tombe carrément,
00:51:23 il tombe comme ça.
00:51:25 Pour la suite,
00:51:27 il finit de subir plusieurs épisodes
00:51:29 comme ça, jusqu'à un certain moment,
00:51:31 il ne peut plus
00:51:33 marcher.
00:51:35 Il n'est plus capable de marcher sur les pieds,
00:51:37 sur les pieds côté gauche, et il n'arrête pas de bouger
00:51:39 carrément.
00:51:41 Il reste droit, il n'est plus bougé,
00:51:43 et son paupier,
00:51:45 son lisier, son paupier,
00:51:47 il ne tombe pas complètement.
00:51:49 Son paupier tombe,
00:51:51 et il ne peut plus bouger,
00:51:53 il ne bouge même pas la vue.
00:51:55 Il n'arrête pas de bouger,
00:51:57 son paupier tombe.
00:51:59 Le pire dans tout ça, c'est qu'après,
00:52:01 il nous fait une découverte,
00:52:03 et il ne peut plus reconnaître
00:52:05 personne autour de lui.
00:52:07 Il ne peut plus reconnaître ses parents,
00:52:09 il ne peut plus reconnaître son maman, son soeur,
00:52:11 il ne peut plus reconnaître personne.
00:52:13 Et on lui pose une question simple,
00:52:15 il dit "quel vous aujourd'hui,
00:52:17 comment tu t'appelles, les jours de la semaine,
00:52:19 ton nom?"
00:52:21 Et il ne peut plus connaître,
00:52:23 il a une perte de son mémoire.
00:52:25 Et c'est là qu'on gagne
00:52:27 une chose
00:52:29 qui est dévastatrice pour la famille,
00:52:31 quand on nous fait découvrir
00:52:33 qu'il a une perte de son mémoire,
00:52:35 que même un neurologue, un psychiatre,
00:52:37 est qualifié de
00:52:39 "retrograde amnesia with difficulty to recall".
00:52:41 Et là,
00:52:43 Moucha a souligné aussi
00:52:45 que les tests médicaux,
00:52:47 les tests sanguins,
00:52:49 prescrits par les médecins,
00:52:51 les EEG,
00:52:53 les scans brain MRI,
00:52:55 les EEG,
00:52:57 tout ça là,
00:52:59 c'est tout un test latino-mal.
00:53:01 Aujourd'hui, il modifie
00:53:03 les nouveaux sous-traitements,
00:53:05 les séquelles sont toujours présentes,
00:53:07 il peut réapprendre,
00:53:09 il peut réapprendre
00:53:11 une potable,
00:53:13 une pièce qui sort tout sauf un boucle,
00:53:15 un manuel d'input,
00:53:17 un poème,
00:53:19 réapprendre certains souvenirs,
00:53:21 vérifier sur place,
00:53:23 vérifier certains souvenirs, vérifier sur place,
00:53:25 partout, tout le monde ancien
00:53:27 qui a cela, l'infini blé.
00:53:29 Les biens restent tout le temps
00:53:31 sous surveillance,
00:53:33 et pour la suite,
00:53:35 nous devons
00:53:37 prendre la difficile décision,
00:53:39 pour faire dire,
00:53:41 arrête l'école.
00:53:43 - Merci beaucoup
00:53:45 pour le témoignage.
00:53:47 M. Acomptoi peut-être
00:53:49 aller plus loin, mais le temps pour faire
00:53:51 nos défauts, s'il ne nous pas arrête là.
00:53:53 En tout cas, on a tous nos sympathies,
00:53:55 et nous ne sommes pas qu'à comprendre
00:53:57 dans quelle situation on peut vivre,
00:53:59 mais quelque part, il soulève plusieurs choses.
00:54:01 Sac à l'an en particulier.
00:54:03 La première des choses,
00:54:05 comment faire le vaccin?
00:54:07 Je ne sais pas pour le moment comment ça se fait,
00:54:09 comment on fait le vaccin,
00:54:11 mais depuis le 2016,
00:54:13 attendez 20 minutes,
00:54:15 et vous allez avoir le vaccin.
00:54:17 Quelque part, c'est le protocole
00:54:19 qui dit ça.
00:54:21 Ça c'est une première chose.
00:54:23 Donc, pose-moi la question,
00:54:25 est-ce qu'il y a vraiment un médecin
00:54:27 urgentiste qui te soutient,
00:54:29 si jamais tu arrives tout seul?
00:54:31 Deuxième chose qui me peut soulever,
00:54:33 c'est qu'on nous fait fatiguer
00:54:35 pendant la quarantaine
00:54:37 qui nous fait vivre.
00:54:39 Aujourd'hui, on a telle quantité de cas,
00:54:41 on a telle quantité de cas positifs,
00:54:43 on a x nombre de morts,
00:54:45 à aucun moment,
00:54:47 il n'existe pas d'autres,
00:54:49 on ne peut pas finir.
00:54:51 On a cette quantité d'effets secondaires,
00:54:53 et combien de monde,
00:54:55 combien d'effets secondaires
00:54:57 sont fataux,
00:54:59 combien d'effets secondaires
00:55:01 finissent dans la durée,
00:55:03 combien d'effets secondaires
00:55:05 diminuent en coups et soufferts.
00:55:07 Qu'est-ce qui fait que tu es patient, docteur?
00:55:09 Très intéressante la question.
00:55:11 Je pense
00:55:13 qu'on ne peut pas faire
00:55:15 une analyse statistique
00:55:17 avec ce qui signifie
00:55:19 valable et réel,
00:55:21 tant qu'il y a un certain nombre
00:55:23 pour qui on ne peut pas dire
00:55:25 qu'il est valable.
00:55:27 Donc,
00:55:29 on ne peut pas dire qu'il est valable.
00:55:31 L'île Maurice
00:55:33 est seulement et uniquement
00:55:35 1,2 millions de personnes.
00:55:37 Donc,
00:55:39 au fil de 12 mois,
00:55:41 13 mois, si je ne me trompe pas,
00:55:43 on a réussi à faire environ
00:55:45 800 000 doses.
00:55:47 C'est très important
00:55:49 pour faire des statistiques,
00:55:51 pour faire valable.
00:55:53 On ne peut pas chaque jour dire
00:55:55 que 50 personnes sont
00:55:57 en danger de mourir.
00:55:59 On ne peut pas dire que
00:56:01 la maladie est grave.
00:56:03 On ne peut pas dire que
00:56:05 la maladie est grave.
00:56:07 C'est très important
00:56:09 pour faire valable.
00:56:11 C'est très important
00:56:13 pour faire valable.
00:56:15 C'est très important
00:56:17 pour faire valable.
00:56:19 C'est très important
00:56:21 pour faire valable.
00:56:23 C'est très important
00:56:25 pour faire valable.
00:56:27 C'est très important
00:56:29 pour faire valable.
00:56:31 C'est très important
00:56:33 pour faire valable.
00:56:35 C'est très important
00:56:37 pour faire valable.
00:56:39 C'est très important
00:56:41 pour faire valable.
00:56:43 C'est très important
00:56:45 pour faire valable.
00:56:47 C'est très important
00:56:49 pour faire valable.
00:56:51 C'est très important
00:56:53 pour faire valable.
00:56:55 C'est très important
00:56:57 pour faire valable.
00:56:59 C'est très important
00:57:01 pour faire valable.
00:57:03 C'est très important
00:57:05 pour faire valable.
00:57:07 C'est très important
00:57:09 pour faire valable.
00:57:11 C'est très important
00:57:13 pour faire valable.
00:57:15 C'est très important
00:57:17 pour faire valable.
00:57:19 C'est très important
00:57:21 pour faire valable.
00:57:23 C'est très important
00:57:25 pour faire valable.
00:57:27 C'est très important
00:57:29 pour faire valable.
00:57:31 C'est très important
00:57:33 pour faire valable.
00:57:35 C'est très important
00:57:37 pour faire valable.
00:57:39 C'est très important
00:57:41 pour faire valable.
00:57:43 C'est très important
00:57:45 pour faire valable.
00:57:47 C'est très important
00:57:49 pour faire valable.
00:57:51 C'est très important
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01:18:19 C'est très important
01:18:21 pour faire valable.
01:18:23 Je ne comprends pas
01:18:25 qu'il fasse un travail
01:18:27 qu'il ne fait pas
01:18:29 seulement pour faire un vaccin.
01:18:31 Je comprends
01:18:33 qu'il ne fait pas
01:18:35 un vaccin,
01:18:37 il a une obligation
01:18:39 envers lui-même et la société
01:18:41 pour faire un PCR.
01:18:43 Si ce PCR est négatif,
01:18:45 il est pareil que moi.
01:18:47 Dès le début de la pandémie
01:18:49 jusqu'à maintenant,
01:18:51 en tant que chirurgien,
01:18:53 un patient vacciné ou pas,
01:18:55 je ne parle pas de moi,
01:18:57 mais seulement, je lui dis
01:18:59 "tu as fait un PCR, tu es négatif,
01:19:01 je vais te payer."
01:19:03 Maintenant, si quelqu'un ne peut pas
01:19:05 faire un PCR
01:19:07 et ne peut pas faire un vaccin,
01:19:09 il prend une situation
01:19:11 où il rentre dans un quartier
01:19:13 où il ne peut pas
01:19:15 trouver de solution.
01:19:17 Mais je ne sais pas
01:19:19 si je ne me trompe pas,
01:19:21 je me pose beaucoup de questions
01:19:23 concernant la COVID dans le Parlement.
01:19:25 Si je ne me trompe pas,
01:19:27 je me pose une question.
01:19:29 Est-ce que le gouvernement
01:19:31 peut-il offrir un PCR gratuit
01:19:33 à tout le monde,
01:19:35 irrespectif s'il est vacciné ou pas,
01:19:37 si A) il sentit-il symptomatique,
01:19:39 B) il n'est pas vacciné,
01:19:41 mais il demande
01:19:43 à son travail
01:19:45 qu'il ait besoin d'un certificat de vaccin.
01:19:47 Je connais un membre
01:19:49 de la profession éducative,
01:19:51 un professeur d'école secondaire,
01:19:53 qui a fait un test
01:19:55 sur un non-cumulant, par coïncidence,
01:19:57 et il a été flagué.
01:19:59 Tous les deux,
01:20:01 il a été mis à l'hôpital
01:20:03 pour faire un test gratuit.
01:20:05 Le test était cher.
01:20:07 À l'époque, ça aussi, c'était devenu un petit cartel.
01:20:09 Et le modélier OFO,
01:20:11 un petit cartel,
01:20:13 quand il commence à 3500,
01:20:15 après il devient à 2004,
01:20:17 ensuite il devient à 2000,
01:20:19 et là, je me dis que je suis sur votre plateau,
01:20:21 il y a des experts,
01:20:23 soi-disant des experts,
01:20:25 que le gouvernement a fait venir
01:20:27 de l'île de la Réunion,
01:20:29 tout le monde sait de qui je parle,
01:20:31 et,
01:20:33 total, it's a failure.
01:20:35 Nous rentrons
01:20:37 dans les 5 dernières minutes
01:20:39 de notre programme.
01:20:41 Moi, je suis très content
01:20:43 de poser une question
01:20:45 à vous tous les trois.
01:20:47 Dans cette histoire qu'on appelle la COVID-19,
01:20:49 nous avons des victimes.
01:20:51 Des victimes
01:20:53 de la maladie elle-même,
01:20:55 des victimes de l'effet secondaire,
01:20:57 des victimes qui, sans aucune information,
01:20:59 sont obligées de faire le vaccin,
01:21:01 des victimes qui se préoccupent du vaccin,
01:21:03 et qui subissent les conséquences
01:21:05 de leurs décisions.
01:21:07 Mais nous avons aussi des grands gagnants.
01:21:09 Des victimes des masques aussi.
01:21:11 Non, parce que maintenant,
01:21:13 il y a une grande étude qui montre que les masques sont très mauvais.
01:21:15 Mais, un petit truc
01:21:17 qui ne nous peut pas aborder du tout,
01:21:19 il y a un grand gagnant dans tout ça là.
01:21:21 Bid farma.
01:21:23 Nous avons trouvé un chiffre,
01:21:25 on va le faire en récense encore une fois,
01:21:27 des fortunes qui sont faites
01:21:29 avec la COVID-19.
01:21:31 Beaucoup de gens, je dirais,
01:21:33 qui disent qu'ils ont fait cette fortune
01:21:35 pour la santé des gens,
01:21:37 pour la vie des gens,
01:21:39 pour passer un jugement.
01:21:41 Mais je vous laisse les mots de la fin
01:21:43 sur ça.
01:21:45 Je commence avec vous, Gino.
01:21:47 Peut-être que vous pouvez me dire
01:21:49 ce que vous pensez.
01:21:51 Oui. Et depuis le tout début
01:21:53 de la COVID,
01:21:55 il y a eu des alternatives
01:21:57 pour soigner la COVID.
01:21:59 Et pour nous dire,
01:22:01 le fait qu'il y a des forces vives,
01:22:03 nous nous sommes organisés, nous nous sommes faits collecter,
01:22:05 nous avons distribué certains médicaments
01:22:07 dans notre zone, dans notre poche de pauvreté,
01:22:09 qui aident ces gens-là
01:22:11 à se récuperer de la COVID,
01:22:13 à se soigner de la COVID,
01:22:15 à éviter de recevoir la COVID, parce que parfois,
01:22:17 quand on a une famille, un de ces gens-là a la COVID,
01:22:19 il y a un risque pour toutes les autres familles.
01:22:21 Alors nous soutenons ces familles-là,
01:22:23 et en même temps, ce ne sont pas des gens qui partent les vacciner.
01:22:25 Et nous comptons aujourd'hui
01:22:27 qu'ils savent faire cette preuve.
01:22:29 Moi, en tant que professionnel, une femme médecin appelle-moi
01:22:31 pour faire un test figurant
01:22:33 pour une grand-mère,
01:22:35 qui a 86 ans, handicapée,
01:22:37 des mains et des pieds, et qui ne parle pas.
01:22:39 Le médecin, il s'est dit
01:22:41 que ce traitement alternatif-là,
01:22:43 il ne peut pas être bien.
01:22:45 Alors,
01:22:47 si je me pose 5 minutes,
01:22:49 si cette madame-là nous est amené dans ce système,
01:22:51 quel gouvernement peut-on faire?
01:22:53 Qu'est-ce que tu peux en réunir?
01:22:55 Je ne préfère pas répondre à cette question-là.
01:22:57 Docteur Omé, je pose la même question.
01:22:59 Fortune.
01:23:01 Fortune à l'immunité.
01:23:03 Méga, méga, méga scandale.
01:23:05 Et pas que les big fourments, hein.
01:23:07 Non, non, je vais...
01:23:09 Rapidement, rapidement, je vais te dire.
01:23:11 Donne-moi la petite chance.
01:23:13 Fortune, méga, méga, méga scandale.
01:23:15 Pack and blister, ventilators,
01:23:17 molnupiravir, masque,
01:23:19 bijoutier,
01:23:21 quincaillerie.
01:23:23 Ensuite, nous avons ICU poussé à la champion,
01:23:25 médicaments importés,
01:23:27 silence, aucune forme de vigilance,
01:23:29 on n'a même pas besoin. Rune après,
01:23:31 on a fait 70 millions, regardez le rapport de l'audit,
01:23:33 on a fait un section spécial
01:23:35 sur le gaspillage
01:23:37 qu'on a fait, et
01:23:39 l'importation du médicament.
01:23:41 Finalement, c'était la brevoire
01:23:43 des petits copains.
01:23:45 Et pour terminer le tout,
01:23:47 c'était couronné, avec preuve,
01:23:49 peut-être dans 20 ans, dans 50 ans,
01:23:51 des big fourments.
01:23:53 Le mot de la fin
01:23:55 pour vous, Docteur Alexandra?
01:23:57 Bien, oui, we just faced
01:23:59 the, what I believe,
01:24:01 is the largest scandal of the
01:24:03 21st century in
01:24:05 all our countries.
01:24:07 Donc c'est quand même une drôle
01:24:09 de situation que nous avons là.
01:24:11 Pour revenir
01:24:13 à notre collègue là,
01:24:15 de Mauritius,
01:24:17 je vais lui citer Nature Reviews,
01:24:19 c'est Nature,
01:24:21 pour nous c'est le grand journal,
01:24:23 qui dit, "Covid vaccines",
01:24:25 deux points,
01:24:27 "We flew the aeroplane while we were
01:24:29 still building it."
01:24:31 Ou confiance,
01:24:33 dans un avion qu'ils sont
01:24:35 en train de construire. Je crois que
01:24:37 le mot de la fin, il est de la
01:24:39 patronne de Pfizer même,
01:24:41 qui ose dire ça dans Nature
01:24:43 Reviews en novembre 2022.
01:24:45 Si ça, c'est pas terrifiant.
01:24:47 Et donc, je reviens
01:24:49 à deux choses. La première, c'est que
01:24:51 finalement, dans les troubles qu'on a
01:24:53 entendu, je sens qu'on a entendu,
01:24:55 le myocardite, problème au niveau du cœur,
01:24:57 qui est un gros problème des jeunes,
01:24:59 mais sur lequel, si tout
01:25:01 le monde demande un dosage
01:25:03 dans le sang de la protéine
01:25:05 Spike, on pourrait probablement
01:25:07 identifier ceux qui sont
01:25:09 à risque et ceux qui ne sont pas à risque.
01:25:11 Alors, il faut demander la protéine
01:25:13 Spike dosée à n'importe quel
01:25:15 laboratoire. Deuxième aspect, on a
01:25:17 entendu finalement ce qui avait
01:25:19 l'air d'être un problème vasculaire,
01:25:21 véritablement.
01:25:23 Donc là, pareil, il y a eu beaucoup
01:25:25 effectivement les thromboses.
01:25:27 Troisièmement, on a
01:25:29 dans les problèmes vasculaires, il y a tous les troubles
01:25:31 menstruels dont on n'a pas
01:25:33 parlé avec des femmes qui ménopausées
01:25:35 se mettent à saigner, etc.
01:25:37 Ça, c'est normalement 10%
01:25:39 dit le ministère de la Santé d'Israël.
01:25:41 C'est monstrueux. Et troisième
01:25:43 aspect, on
01:25:45 a eu, je ne sais plus
01:25:47 oui,
01:25:49 la pneumonie et puis les boutons
01:25:51 dans la bouche. Les deux choses, c'est quoi?
01:25:53 C'est ces vaccins là
01:25:55 abîment notre
01:25:57 capacité immunitaire
01:25:59 et abîment
01:26:01 de façon importante
01:26:03 notre réponse. Donc,
01:26:05 qu'est-ce que ça veut dire? Il faut stopper
01:26:07 l'obligation vaccinale si on ne veut plus
01:26:09 recommencer ces problèmes là. Stopper
01:26:11 l'obligation vaccinale parce que ça reviendra
01:26:13 à redonner la confiance dont
01:26:15 notre système de santé a cruellement
01:26:17 besoin. Donc, vous ne pouvez
01:26:19 pas obliger des gens de MRECHUS comme
01:26:21 vous ne pouvez pas obliger les suspendus
01:26:23 en France qui, bonne nouvelle pour
01:26:25 la France, aujourd'hui même
01:26:27 ils ont voté qu'on finissait
01:26:29 l'obligation vaccinale
01:26:31 qu'ils avaient voté
01:26:33 le 5 août 2021. Donc,
01:26:35 depuis 590 jours
01:26:37 pour nos collègues
01:26:39 de MRECHUS, 560 jours,
01:26:41 ils n'ont plus eu le droit de gagner de l'argent.
01:26:43 Eh bien, tous mes frais
01:26:45 sous mes droits d'auteur, ça veut dire, de ce
01:26:47 livre vont à eux pour que
01:26:49 on arrête cette obligation vaccinale
01:26:51 et que pour tous les vaccins,
01:26:53 il n'y a pas de traitement obligatoire
01:26:55 parce que ça ne peut pas,
01:26:57 la science et la médecine ne peuvent pas
01:26:59 contraindre et forcer les gens
01:27:01 car sinon on arrive à une situation
01:27:03 dans laquelle nous sommes aujourd'hui
01:27:05 où ceux qui sont par exemple jeunes
01:27:07 qui se sont vaccinés parce qu'ils devaient
01:27:09 aller faire du sport, j'ai jamais
01:27:11 rencontré des anti-vax
01:27:13 comme ça. Mon Dieu, ceux-là, alors là
01:27:15 vous leur parlez n'importe quel vaccin,
01:27:17 ils partent en courant, ils ne veulent plus en entendre
01:27:19 parler. Donc, on a cette situation-là.
01:27:21 Désolé de
01:27:23 vous couper, docteur.
01:27:25 Rapidement, en 30 secondes,
01:27:27 dites-nous où on peut se procurer
01:27:29 ce livre et si vous allez faire
01:27:31 une petite promotion,
01:27:33 rencontrez les gens. C'est ça.
01:27:35 Alors, demain, Book Court
01:27:37 Bagatelle qui me reçoit très
01:27:39 gentiment, donc pour dédicaces
01:27:41 et acheter le livre.
01:27:43 Encore une fois, mes droits d'auteur,
01:27:45 je les reverse tous aux
01:27:47 suspendus.
01:27:49 Peut-être qu'on peut arranger aussi pour les
01:27:51 Mauritiens.
01:27:53 Et puis,
01:27:55 j'avais voulu
01:27:57 trouver au Trèfle,
01:27:59 à Curepipe, voulait trouver
01:28:01 à Papyrus
01:28:03 dans le Nord, mais ce n'est pas facile
01:28:05 parce que, effectivement, avec le fret,
01:28:07 on a beaucoup de...
01:28:09 ça coûte beaucoup d'argent.
01:28:11 Voilà, il est numéro 2
01:28:13 de tous les livres vendus en France,
01:28:15 tous les livres, toutes catégories confondues
01:28:17 de 2023. Le premier, c'est
01:28:19 Prince Harry qui est sorti en janvier.
01:28:21 Le deuxième, c'est...
01:28:23 Écoutez, pour les gens qui peuvent,
01:28:25 vous pouvez prendre le livre.
01:28:27 Je vous donne
01:28:29 tout à fait raison de l'acheter.
01:28:31 Je suis très content de terminer
01:28:33 la cotation
01:28:35 de la Haute Autorité
01:28:37 de Santé en France.
01:28:39 Et justement, après sa décision
01:28:41 que je finissais pour Diatou,
01:28:43 je veux dire comme ça, que la faible
01:28:45 efficacité de la vaccination
01:28:47 contre l'infection
01:28:49 et la transmission.
01:28:51 Diatou,
01:28:53 la faible efficacité de la vaccination
01:28:55 contre l'infection et la transmission
01:28:57 du COVID.
01:28:59 Merci beaucoup pour votre attention.
01:29:01 On vous donne rendez-vous pour une prochaine fois
01:29:03 pour une autre émission
01:29:05 de Zoubert Trump.
01:29:07 *Bruit de la télé*