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00:00 déni des violences policières.
00:01 Sitôt que vous prononcez ce mot, vous avez un darmanin qui arrive et qui dit, c'est pour ça, terrorisme intellectuel.
00:06 Le terrorisme, pardon, déjà ce mot est insupportable dans un pays qui a connu le terrorisme.
00:10 Je ne vais pas faire la liste aussi, il nous traite de tous les mots.
00:12 J'en ai noté quelques-uns.
00:14 On prend en otage, il y a une forme extrémisée, on attaque la démocratie.
00:18 J'ai noté tout ce qu'il raconte.
00:19 Tout ça est une stratégie de communication folle qui, en plus, au passage, évidemment, banalise l'extrême droite.
00:24 La violence extrême droite existe.
00:26 Il y a des menaces que fait poser l'extrême droite.
00:29 Je vous prends au mot, madame Apolline Valerme, avec beaucoup de respect.
00:31 Vous avez boxé mon amie Ruffin la dernière fois que vous l'avez invitée sur la question des violences et notamment la mairie de Bordeaux.
00:36 Savez-vous depuis, c'est ce que nous dit le journal en ligne rue 89, que ceux qui ont mis le feu à la porte à Bordeaux sont sans doute d'extrême droite ?
00:43 Merci, madame.
00:43 Et vous ne l'aviez pas dit à cette occasion.
00:45 Non, non, je n'ai pas parlé de ça, mais également de l'occupation d'une des mairies du département de la Somme.
00:50 C'est là que la conversation était partie.
00:52 Je veux que les choses soient très précises.
00:54 Alexis Corbière a dit.
00:55 Merci, merci.
00:56 Mais peut-être que vous ne le saviez pas.
00:57 D'ailleurs, à ce moment-là, je ne vous en fais pas reproche, mais maintenant, mettons les choses au point, ceux qui nous regardent,
01:01 il y a aussi une violence de l'ultra droite et l'extrême droite.
01:03 Et vous voulez dire que Gérald Darmanin choisit ses combats ?