• l’année dernière
En 2021, la plateforme d’aide aux victimes de cybercriminalité mise en place par le gouvernement a enregistré plus de 173 000 demandes d’assistance (+65% par rapport à l'année précédente). Tous les actes de cybercriminalité augmentent depuis la pandémie mais l’un d’entre eux fait l’objet d’une attention particulière de la part d’Interpol depuis quelques mois : la sextorsion.

Elle désigne le fait de contraindre ou d’inciter des victimes à partager des images ou vidéos à caractère sexuel, ensuite utilisées à des fins de chantage. La sextorsion relève du cyberharcèlement mais contrairement au revenge porn, elle implique une contrepartie financière et s’opère principalement depuis l’étranger par des personnes inconnues de la victime, notamment des brouteurs. Les conséquences de ces “scam romance” sont parfois désastreuses et vont jusqu’à pousser des adolescents au suicide.

Mais alors, comment se prémunir contre la sextorsion ?

Quels sont les réflexes à adopter pour se protéger ?

Et que faire lorsqu’il est déjà trop tard et que ses photos ont été volées ?

Faut-il céder aux menaces et payer ? A qui s’adresser pour demander de l’aide ?

Comment faire pour en parler ? Et pourquoi il ne faut pas avoir honte ?

Recommandations