Chaque année, 400 000 mineurs assistent à des violences conjugales dans leur foyer. Depuis le 1er février, ils sont -enfin- reconnus automatiquement en tant que victimes et non simples témoins.
Mais au-delà de cette reconnaissance juridique, il manque encore des outils pour les accompagner, notamment sur le plan psychologique.
Comment grandit-on, se construit-on quand on a vécu avec la violence d’un de ses parents ?
Quand on a dû prendre la défense de l’un vis-à-vis de l’autre ?
Comment protéger ces enfants et ados ?
Que peut-on faire pour les aider en tant que proches ?
Et comment éviter qu’ils ne se mettent dans un chemin de répétition une fois devenus adultes ?
Mais au-delà de cette reconnaissance juridique, il manque encore des outils pour les accompagner, notamment sur le plan psychologique.
Comment grandit-on, se construit-on quand on a vécu avec la violence d’un de ses parents ?
Quand on a dû prendre la défense de l’un vis-à-vis de l’autre ?
Comment protéger ces enfants et ados ?
Que peut-on faire pour les aider en tant que proches ?
Et comment éviter qu’ils ne se mettent dans un chemin de répétition une fois devenus adultes ?
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