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Remarques désobligeantes, infantilisation des patientes, gestes médicaux violents et douloureux… Même si les témoignages sur les violences gynécologiques et obstétricales pleuvent depuis l’éclatement de #balancetongyneco, ceux concernant l’avortement restent dans l’angle mort car l’acte est toujours tabou.

Les conséquences de ces violences gynécologiques et obstétricales sont réelles et parfois dévastatrices sur la santé des femmes concernées. Celles ayant subi des violences utilisent moins de moyens contraceptifs, sont plus à risque d’avoir des IST, des fausses couches spontanées, des grossesses non désirées et ont, au final, davantage recours aux IVG.

Comment se remettre lorsque l’on a été victime de violences gynécologiques ?

Arrive-t-on encore à faire confiance aux médecins ?

Quelles sont les conséquences psychologiques et physiques d’un tel traumatisme ?

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