Salon VIP (22/03) avec Sebastian Marx

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00:00 *Musique*
00:12 Bonsoir à tous, bienvenue sur BEIN' SPORTS, c'est votre salon VIP qui commence.
00:16 Je suis ravie d'être avec vous et l'émission de ce soir aura quelques petits accents américains
00:22 puisque je reçois l'humoriste qui nous fait rire des différences entre les français et les américains.
00:28 Sébastien Marx est notre invité. Bonsoir Sébastien.
00:32 - Bonsoir. - Hello.
00:33 - Hello. - Et Clara, venez, vous nous rejoignez sur le plateau.
00:36 - Bonsoir Clara. - Bonsoir Sébastien, bonsoir Claire et bonsoir tout le monde.
00:39 - Enchanté. - Ravi. Nice to meet you.
00:42 - Nice to meet you too. - Je progresse beaucoup.
00:44 - On est dans une émission bilingue Sébastien. - Oui, ça va être long si on fait tout en double.
00:50 - Juste pour commencer, votre avis sur le niveau anglais des français ?
00:55 - De mieux en mieux. De mieux en mieux. La nouvelle génération commence à bien se débrouiller en anglais je trouve.
01:02 - L'accent c'est cute. - L'accent c'est toujours cute.
01:05 Pour nous, je sais que les français ne supportent pas l'accent français quand vous parlez anglais
01:09 mais nous on trouve ça classe, sexy et cute. Oh tout à la fois.
01:13 - Eh ben on va le garder. - Je vous conseille.
01:16 - Sébastien, en 5 dates, qu'est-ce que ça donne ? Voici la rétro de Clara.
01:20 - Sébastien, 1979 c'est votre année de naissance et c'est aussi l'année d'un tube planétaire.
01:31 - On écoute. - Ouais.
01:35 - Quelle belle année. Vous avez dansé là-dessus ? - Oui, dans le ventre de ma mère.
01:41 - Et plus tard, quand la France a gagné la coupe du monde. - Effectivement.
01:44 - Moi j'étais pas encore en France donc j'ai pas trop fêté.
01:47 - On vous le rappelle assez souvent qu'on a gagné la coupe du monde à ce moment-là ?
01:51 - Oui, on m'a dit une ou deux fois. - Oui ?
01:53 - Oui. - Pas joué, pas joué.
01:56 - En 1997, vous avez 18 ans. Est-ce que c'est l'année où vous avez passé votre permis ?
02:00 Comment ça se passe aux Etats-Unis ? Je crois que c'est un petit peu avant.
02:03 - C'est avant, c'est à 16 ans. - 16 ans. Est-ce que vous l'avez eu à 16 ans ?
02:06 - Oui. - Vous l'avez fait transférer en France votre permis ?
02:08 - Non parce qu'il faut repasser. En fait c'est très compliqué.
02:12 - Allez-y, on a un petit moment. - Bien sûr. Parce que c'est l'année passée.
02:15 - C'est la France, c'est ça ? - C'est pas que la France, c'est les Etats-Unis aussi.
02:18 En fait, il y a quelques Etats aux Etats-Unis qui acceptent le permis français.
02:23 Et donc avec ces Etats-là, on peut faire le transfert direct.
02:26 Mais l'Etat de New York, dans lequel j'ai grandi, n'acceptait pas le permis français.
02:31 Donc la France n'acceptait pas le permis américain. Donc il fallait repasser le permis.
02:36 - Vous l'avez eu ? - Je l'ai eu.
02:38 - Vous savez conduire avec une boîte manuelle ?
02:40 - Oui parce que j'ai appris avec ce type de voiture. J'étais le seul à mon lycée d'avoir une boîte manuelle.
02:47 Parce que mes parents sont argentins. Donc du coup ils avaient l'habitude de manuelle, de stick shift comme on dit.
02:53 Et donc du coup j'étais le seul à transférer et à passer le permis en France.
02:58 - Vous avez donc 24 points. - Voilà.
03:00 - Deux permis. - Deux permis.
03:02 - En 2004, c'est l'année de votre arrivée en France. D'abord Toulouse, ensuite vous êtes venu à Paris.
03:06 En 2012, vous êtes sur la cinquième saison du Jamel Comedy Club.
03:10 Vous êtes également chroniqueur sur RTL dans l'émission de Stéphane Bern.
03:13 À la bonne heure. Et en 2023, on est bien là, c'est votre second spectacle.
03:17 On vous retrouve au Palais des Glaces le vendredi, le samedi à 20h30.
03:21 - C'est ça. Vous savez d'où. - En 5 dates.
03:24 - On parlera de ce spectacle évidemment dans la deuxième partie de cette émission.
03:28 Mais d'abord, on a envie de parler de sport avec vous.
03:30 Et je voulais vous montrer, regarder ces images.
03:33 À Buenos Aires, vous nous disiez que vos parents sont argentins.
03:36 - C'est ça. - Regardez, c'était la folie en Argentine.
03:39 Je ne sais pas si vous les avez aperçus, ces images.
03:41 Lionel Messi qui a provoqué une véritable émeute alors qu'il sortait d'un restaurant.
03:46 Lui qui était stiflé encore ce week-end au Parc des Princes lors de la défaite contre Rennes.
03:50 Eh bien, il a pu cette fois mesurer sa grande popularité dans son pays.
03:55 Le septuple ballon d'or qui jouera les deux matchs amicaux avec l'Argentine, jeudi et mardi prochains.
04:00 Lionel Messi, on est fiers de lui, j'imagine, de votre famille.
04:04 - Oui, oui, c'est le Messi. En fait, il y a comme Maradona à l'époque.
04:08 En fait, j'ai l'impression que l'Argentine avait vraiment besoin de gagner
04:12 parce que politiquement et économiquement en ce moment, ce n'est pas la fête.
04:16 - C'est dur. - C'est un peu dur.
04:18 Et donc, du coup, ça a un peu remonté la morale en ce moment.
04:22 - Votre femme est française. - Oui.
04:24 - Comment ça s'est passé la finale entre vous ?
04:27 Parce que vous étiez peut-être plus pour l'Argentine, vous.
04:29 - J'étais légèrement plus pour l'Argentine parce que malgré tout, j'aime beaucoup la France
04:33 et j'aime beaucoup comment il joue.
04:35 Mais en fait, ce n'était pas vraiment... Ma femme, elle s'en fiche, en fait.
04:40 C'était plus mon fils qui... C'était sa première coupe du monde.
04:44 Il a 7 ans et donc, du coup, il était vraiment pour la France.
04:47 Et donc, c'était une espèce de tension entre nous. - Vous en avez voulu ?
04:50 - Oui, un peu. Il pleurait.
04:52 Mais heureusement, tout l'autorat, j'étais pour la France.
04:55 Moi, j'étais le seul pour l'Argentine. Donc, j'ai dû être très discret.
04:58 - Est-ce que vous voulez expliquer qu'il avait quand même un peu gagné
05:01 puisqu'il a des ancêtres argentins ?
05:03 - À la base, je pensais qu'il était aussi pour l'Argentine.
05:06 Mais quand c'était vraiment France-l'Argentine, on a senti la préférence pour la France quand même,
05:10 qui est normale. Je suis d'accord avec lui.
05:13 - On va revenir évidemment sur cette Coupe du monde dans un instant.
05:16 Sachez qu'à moins de 500 jours des JO de Paris, les candidatures sont ouvertes
05:20 si vous voulez devenir volontaire pour ces Jeux olympiques ou ces Jeux paralympiques 2024.
05:26 C'est ouvert jusqu'au 3 mai sur le site Paris 2024.
05:29 Alors, trois conditions pour pouvoir être volontaire.
05:32 Il faut avoir plus de 18 ans, parler français ou anglais, ou les deux.
05:37 Alors là, pour vous, c'est parfait.
05:39 Et être dispo au moins 10 jours durant la période olympique et paralympique.
05:43 - C'est une chance parce que du coup, ils vont voir les épreuves.
05:46 C'est pas facile d'avoir des billets.
05:48 - C'est cher. - C'est cher.
05:50 - Je sais pas si ils verront tous les épreuves parce que quand on est volontaire,
05:53 il y a pas mal de choses à faire aussi.
05:55 - Être volontaire et pistonner. - Ouais, volontaire, pistonner, je pense.
05:58 Et puis regardez, je voulais vous montrer ce DVD, "L'équipier",
06:01 pour revivre le Tour de France 98, alors que Dom Chabrol est lâché par son équipe
06:05 à laquelle il a tout donné.
06:07 Il devra finalement se remettre en selle.
06:09 Alors nous, en France, vous le savez, le Tour de France, c'est vraiment...
06:13 C'est pas aussi important que la Coupe du Monde,
06:16 mais voyons, on est vraiment pas loin quand même, c'est très historique.
06:19 Vous vous êtes mis à aimer cette compétition ?
06:22 - Pas vraiment. - Pas vraiment.
06:24 - Non. - Non, ça, non.
06:26 - Honnêtement, je le suis pas beaucoup.
06:28 Pour être honnête, je suis pas énormément de sport en général,
06:31 mais on a entendu quand j'étais aux États-Unis
06:34 que Lance Armstrong gagnait tout le temps,
06:36 et donc du coup, c'était "Ouais, un Américain qui gagne en France !"
06:39 - Vous avez déchanté après. - Le quoi ?
06:41 - Après, vous avez déchanté quand il a été accusé de dopage.
06:44 - Ouais, ouais, ouais, du coup, c'était... - C'était moins rigolo, quoi.
06:47 - C'est moins rigolo. - Comment on réagit quand on est aux États-Unis
06:49 et qu'on a un grand champion comme ça qui est accusé de dopage ?
06:51 - Là, on dit "Ah, encore un autre !"
06:53 - Ah ouais, d'accord. - Donc, ça...
06:55 - C'est bref. - Ouais, mais en même temps,
06:57 ça a quand même fait un gros scandale aux États-Unis.
07:00 Donc, ouais, c'était bon.
07:02 Un champion, après, on a enlevé tous ses...
07:05 côtés positifs, évidemment.
07:07 Mais après, non, je le suis pas beaucoup aujourd'hui.
07:10 Parfois, je le regarde vite fait à la télé,
07:14 mais je suis pas exactement...
07:16 En fait, je sais pas comment ça marche.
07:18 Je sais qu'il y a plein de petites parties,
07:20 et je sais que ça finit sur les Champs-Élysées, mais...
07:22 - C'est le moins difficile, les Champs-Élysées.
07:24 - Ouais, j'imagine, ouais.
07:26 Mais maintenant, avec la poubelle, peut-être, ça sera plus difficile.
07:28 - Là, compliqué, ouais. Là, c'est par contre...
07:30 - Avec les rats, je sais pas s'il faut...
07:32 Dans un concours, il faut éviter les rats.
07:34 - Vous évoquiez le dopage.
07:36 Je sais pas si on peut le dire comme ça,
07:38 mais il y a une culture de dopage aux États-Unis, dans le sport ?
07:40 Il y a un truc comme ça qui est toujours...
07:42 - J'ai l'impression que c'est un peu international,
07:44 mais je pense pas que c'est plus aux États-Unis.
07:46 En fait, je pense qu'il y a maintenant plus de contrôle aux États-Unis,
07:48 par rapport à peut-être d'autres pays dans le monde,
07:50 mais j'ai l'impression en France aussi, non ?
07:52 Il y a pas mal de...
07:54 - Ouais, maintenant, partout, ils contrôlent quand même...
07:56 - Le contrôle, ouais.
07:58 - Ils essayent de lutter le plus possible, mais bon...
08:00 - Ouais.
08:02 - C'est lutter aussi contre la technologie, hein.
08:04 - Ouais.
08:06 - Le sport j'adore, avec Sébastien Marx.
08:08 - J'adore, j'adore, j'adore, j'adore...
08:10 - Sébastien, vous êtes new-yorkais.
08:12 Quand on est new-yorkais, quel sport on suit aux États-Unis ?
08:14 Est-ce qu'on suit la base ?
08:16 C'est quoi, tous les sports US ?
08:18 Baseball ?
08:20 - Oui. Baseball, basketball,
08:22 football américain,
08:24 hockey aussi.
08:26 Donc oui, on a pas mal de sports avant le foot.
08:28 Donc en fait, le foot, c'est vraiment...
08:30 - Le dernier sport, quoi.
08:32 - Le dernier, quoi.
08:34 Même tirer sur les gens, c'est avant le foot.
08:36 - Ouais. Moins...
08:38 - Moins rigolo, ouais.
08:40 Mais on a...
08:42 J'ai grandi avec le baseball.
08:44 J'étais très fan quand j'étais petit,
08:46 baseball. Après, quand j'étais ado,
08:48 pré-ado, foot pour l'américain,
08:50 je regardais beaucoup. Le basket aussi,
08:52 un peu. Moi, j'étais pas forcément
08:54 à fond sur le hockey, mais j'avais plein
08:56 d'amis qui étaient à fond sur le hockey aussi.
08:58 J'ai vu des matchs de hockey,
09:00 et c'est quand même impressionnant de voir...
09:02 - C'est beau.
09:04 - Ça bouge, c'est rude, et ça va vite,
09:06 et c'est très excitant.
09:08 Surtout en championnat de hockey, ça vaut le coup.
09:10 - J'ai l'impression que le sport aux États-Unis,
09:12 quoi qu'il arrive, c'est toujours impressionnant,
09:14 c'est toujours assez spectaculaire.
09:16 Qu'est-ce que ça vous a fait, la première fois,
09:18 vous êtes un fan des Yankees de New York,
09:20 la première fois que vous êtes rentré dans le Yankee Stadium ?
09:22 - J'adore, parce qu'en fait,
09:24 il y a un tunnel. Je sais pas si c'est le même
09:26 avec les stades en France,
09:28 mais t'as un petit tunnel dans lequel
09:30 tout est sombre. Après, tu arrives,
09:32 et d'un coup, c'est ouvert
09:34 à 180 degrés,
09:36 ou presque 360,
09:38 et cette sensation, surtout quand t'es petit,
09:40 c'est vraiment incroyable,
09:42 et j'ai partagé ce souvenir
09:44 avec plein de gamins aussi
09:46 des États-Unis. On a tous ce souvenir
09:48 de traverser ce tunnel, et d'un coup,
09:50 tu arrives au bout, et c'est
09:52 très grand, et le bruit
09:54 aussi qui accompagne cette expérience,
09:56 c'est génial. - Vous en avez fait, du baseball ?
09:58 - J'ai joué au baseball, oui, surtout
10:00 avec mon frère, j'ai fait un peu
10:02 de little league, ce qu'on appelle,
10:04 et j'ai adoré, ouais.
10:06 - Ce qui est drôle, c'est que les Français
10:08 ne comprennent pas du tout comment ce sport fonctionne.
10:10 - Alors, nous, on a la MLB,
10:12 sur Be In Sport, donc c'est une chance,
10:14 mais c'est vrai, je vous avouerais que c'est pas
10:16 le sport qui est le plus
10:18 facile à appréhender.
10:20 - J'avoue que, pour moi, c'est évident
10:22 parce que j'ai grandi avec, mais j'ai essayé d'expliquer
10:24 à quelques Français, notamment ma chérie,
10:26 et je me suis rendu compte
10:28 en expliquant à quel point c'est compliqué,
10:30 c'est hyper compliqué,
10:32 il y a plein de petites règles. - Il faut pratiquer.
10:34 - Même le foot américain.
10:36 - Oui, mais j'ai l'impression qu'il y a
10:38 quand même un rapprochement avec le rugby.
10:40 Baseball n'a rien à voir avec...
10:42 - Avec rien. - Peut-être cricket à la limite,
10:44 mais vous connaissez pas le cricket non plus. - Pas trop non plus.
10:46 - Donc, voilà, on est un peu pour moi.
10:48 Et je pense que surtout, le français, ça intéresse pas
10:50 beaucoup parce que c'est lent.
10:52 - C'est un peu long. - Oui.
10:54 - Faut aimer les grandes après-midi au stade.
10:56 - C'est ça. Et on mange, en fait.
10:58 C'est ça, on mange beaucoup de hot dogs,
11:00 et on passe vraiment l'après-midi.
11:02 Et en fait, un match de baseball
11:04 peut durer 5 heures,
11:06 si c'est à égalité,
11:08 ça peut durer 5 heures.
11:10 - La culture européenne s'est un peu changée sur le sport.
11:12 Déjà, un match de foot,
11:14 avec les prolongations et tout, les gens trouvent ça
11:16 un peu long. Donc c'est vrai que
11:18 on a moins l'habitude d'aller voir
11:20 des compétitions aussi longues.
11:22 Vous avez fait du foot américain aussi ? - Oui.
11:24 - Vous étiez bon ?
11:26 - J'étais bon, mais j'étais petit.
11:28 Donc, en fait, voilà.
11:30 - Il est fort, quand même.
11:32 - Je me ressemblais un peu à lui.
11:34 Non, en fait, j'étais plutôt rapide.
11:36 Donc je bougeais beaucoup
11:38 pour éviter les gros coups.
11:40 Mais j'ai...
11:42 Donc j'ai joué un peu
11:44 quand même, donc j'ai beaucoup aimé.
11:46 - Vous vous êtes cassé la jambe ?
11:48 - Je me suis cassé la jambe.
11:50 La fémur.
11:52 - Ah ouais. - Oui.
11:54 - Vous avez repris après ça,
11:56 ou ça a sonné la fin de l'expérience ?
11:58 - Oui, du coup, j'étais obligé de m'arrêter.
12:00 Mais en fait, c'était pas très glorieux
12:02 parce que c'était même pas...
12:04 Avec un frappe, c'était...
12:06 J'ai sauté pour attraper le ballon.
12:08 Et là, j'ai fait
12:10 un faux mouvement et...
12:12 Je sais pas, ça...
12:14 Tout seul. Donc c'était même pas glorieux.
12:16 - Est-ce que vous ressentez...
12:18 En plus, vous avez des enfants aujourd'hui en France.
12:20 Une vraie différence dans la culture sportive
12:22 qui est liée aux Etats-Unis
12:24 et qu'on inculque aux enfants
12:26 et à l'école, et celle qu'on a, nous, en France ?
12:28 - Euh... Non, je trouve
12:30 que c'est plutôt pareil.
12:32 En fait, c'est le choix de sport
12:34 qui change, comme on vient de dire.
12:36 C'est qu'aux Etats-Unis, on peut être...
12:38 - Mais on met autant de...
12:40 - D'enthousiasme et d'importance.
12:42 Ouais. J'ai l'impression
12:44 qu'il peut y avoir autant.
12:46 En fait, là, je suis
12:48 en train de voir avec mes enfants l'expérience
12:50 à l'école en France. Donc je connais pas.
12:52 J'ai pas grandi ici, donc je peux pas faire un comparatif
12:54 vraiment très juste. Mais j'ai l'impression
12:56 que oui, il y a des gens qui sont
12:58 complètement fans d'un sport
13:00 et d'autres gens qui n'ont rien à perdre.
13:02 Et donc, je pense qu'il y a un peu les deux aux Etats-Unis aussi.
13:04 - Comment vous faites le Super Bowl
13:06 maintenant que vous habitez en France ?
13:08 - Oh, je le fais plus. - Plus du tout ?
13:10 - Non, je regarde plus. - Trois gosses, il y a plus de Super Bowl.
13:12 - Ah, non, déjà, non.
13:14 Ouh, c'est Super Bowl tous les jours, hein.
13:16 Avec le chip, c'est bien.
13:18 - Pitié, je dors. - Déjà, le décalage
13:20 horaire n'est pas facile.
13:22 Je sais pas quelle heure c'est.
13:24 - C'est vers 2h du matin. - Voilà, donc déjà,
13:26 ça explique pas mal. Et honnêtement, je regarde
13:28 plus le football américain. J'étais à fond
13:30 quand j'avais 12 ans, mais là, je suis plus.
13:32 Donc forcément, regarder
13:34 deux équipes que je connais pas beaucoup,
13:36 en fait, je regarde plus maintenant pour la
13:38 "half-time show". - Eh oui.
13:40 Nous aussi, on adore le show
13:42 de la mi-temps. On s'était dit
13:44 peut-être que le prochain Super Bowl...
13:46 Moi, j'imaginais
13:48 que vous faisiez le guacamole,
13:50 tout ce qu'il fallait manger. - À l'époque, ouais.
13:52 - À l'époque, oui, avec le...
13:54 le bière et tout ça, mais
13:56 non, aujourd'hui, je le fais plus.
13:58 Je pense que le décalage d'horaire n'aide pas
14:00 non plus. - Vous aviez une idole,
14:02 c'était Barry Sanders. - Barry Sanders,
14:04 ouais. - Je vous dis à la française,
14:06 hein, pardon. - C'est lui.
14:08 En fait, c'était mon idole
14:10 quand, justement, quand j'avais autour
14:12 de 12 ans, parce qu'il était petit,
14:14 mais il courait hyper bien et
14:16 il dansait sur le terrain.
14:18 C'est-à-dire qu'il esquivait très bien
14:20 et c'était incroyable. Si on regarde
14:22 des vidéos de "best of" de lui,
14:24 c'est hallucinant de voir à quel point il peut
14:26 avoir cinq personnes et il arrive
14:28 à esquiver tout le monde. Et comme on voit
14:30 dans ces photos-là, il est petit. Il est plus petit
14:32 que moi. Bon, il est plus cosson
14:34 quand même, mais... Mais justement,
14:36 et je trouvais que c'était...
14:38 Ça me parlait à cette époque-là. - Donc vous avez
14:40 fait du foot américain, du baseball,
14:42 du tennis aussi. - Un peu, ouais.
14:44 - Vous avez battu votre père ? - Oui.
14:46 - Là, c'est la fierté, là. Je sens que...
14:48 - Je veux pas dire que mon père était hyper fort,
14:50 mais je pense que j'ai battu quand j'avais
14:52 10 ans, chose comme ça. Donc oui, c'était
14:54 un moment de fierté.
14:56 - Vous êtes sûr qu'il vous a pas laissé gagner ?
14:58 - On va dire que non. On va dire que...
15:00 (rires)
15:02 Ma fierté, aujourd'hui... J'espère que non.
15:04 Non, mais j'étais assez
15:06 doué à cet âge-là.
15:08 Je frappais pas fort,
15:10 mais j'avais une petite finesse
15:12 et, encore une fois,
15:14 mon père, non plus, il est pas champion
15:16 de tennis non plus, mais...
15:18 Donc c'était un bon moment.
15:20 - C'est donc en France que vous découvrez
15:22 vraiment la passion de ce que vous vous appelez
15:24 "soccer", que vous appelez "football".
15:26 - Oui. - Vous êtes tombé
15:28 dedans un peu, quand même, ou pas ?
15:30 - Ouais. En fait... J'adore cette photo-là.
15:32 Oui.
15:34 Quand j'ai commencé à regarder
15:36 notamment la Coupe du monde
15:38 et la Coupe d'Europe, j'aime le côté
15:40 international. - Oui.
15:42 - Par exemple, je regarde pas la Ligue 1,
15:44 mais maintenant, oui. - Vous regardez la Ligue des champions.
15:46 Ah, vous êtes obligé, maintenant. - Je suis obligé, parce que
15:48 depuis la Coupe du monde, le dernier,
15:50 mon fils est à fond, donc ça m'oblige
15:52 de m'intéresser de plus en plus
15:54 à la Coupe...
15:56 à la Ligue 1, qu'il appelle "Ligue 1 Uber Eats",
15:58 parce que c'est marqué partout "Uber Eats",
16:00 donc il pensait que le titre était "Ligue 1
16:02 Uber Eats", parce qu'il voit pas
16:04 ce que c'est, "Uber Eats".
16:06 - Je crois qu'on a compris.
16:08 Il supporte quelle équipe, votre fils ?
16:10 - PSG, je pense.
16:12 - Vous pensez, ou vous êtes sûr ?
16:14 Il a un maillot ? - Il n'a pas un maillot
16:16 pour l'instant. Il a un maillot de
16:18 Catalan, pour l'instant, mais peut-être un jour,
16:20 on va être obligé de céder pour un
16:22 maillot PSG. Il aime
16:24 beaucoup RC Lance, aussi.
16:26 - Ah, t'es sûr ? - Oui, parce qu'apparemment...
16:28 - Il aime le beau jeu. - Apparemment, le stade
16:30 est... - Ah, incroyable.
16:32 - Vous l'avez pas amené à Marseille ?
16:34 - Ah, Marseille, c'est encore plus à fond.
16:36 - Tellement au-dessus. - Elle est
16:38 fan de Marseille. Vous avez compris qu'il y avait un intérêt.
16:40 - Désolé. - Pourquoi ?
16:42 - On est très bien classé, monsieur.
16:44 - Mais j'ai l'impression qu'on peut pas l'avouer, ici.
16:46 - Alors si, on peut l'avouer.
16:48 Si vous êtes marseillais, vous l'avouez à peu près tout le temps
16:50 que vous avez gagné la Ligue des champions et que vous êtes le seul
16:52 club qui avait gagné la Ligue des champions.
16:54 Chaque Marseillais que vous rencontrez... - Vous avez autre chose à rajouter ?
16:56 - 93, pas du tout récent.
16:58 - D'accord, mais... - Non, non, pas du tout récent, mais
17:00 il faut pas l'oublier.
17:02 - Vous avez quelque chose à rajouter ?
17:04 - Marseille ? Non, j'adore Marseille.
17:06 Bien sûr, mais surtout, le OM.
17:08 - Vous penserez à nous quand vous ferez la tournée.
17:10 - Oui. - Oui, oui, évidemment.
17:12 - Vous allez comprendre quand vous serez là-bas.
17:14 - Votre fils, il vous oblige à jouer, aussi ?
17:16 - Oui. Il m'oblige à jouer.
17:18 Et donc, en fait, j'ai pas joué
17:20 du foot depuis 20 ans.
17:22 - Donc, il vous bat ?
17:24 - Il me bat.
17:26 Ou pas loin, vraiment, il est pas loin.
17:28 Et le problème, c'est que, du coup, je joue parfois avec d'autres papas
17:30 qui ont mon âge, aussi,
17:32 mais qui ont grandi avec le foot,
17:34 qui n'ont jamais arrêté, donc moi, justement, face à eux,
17:36 on voit que j'ai pas grandi en France.
17:38 - Personne ne vous veut dans l'équipe ?
17:40 - Oui, justement,
17:42 juste le dernier, c'est le poulet.
17:44 - Le dernier choisi.
17:46 - Vous avez fait un sketch
17:48 sur le foot, sur la Coupe du monde.
17:50 Regardez.
17:52 - Watch out. Sorry.
17:54 There's a match on.
17:56 (Vidéo)
17:58 (Vidéo)
18:00 (Vidéo)
18:02 (Vidéo)
18:04 Pourquoi il n'y a pas de femmes qui jouent dans le monde du coup?
18:09 C'est parce qu'ils ont leur propre World Cup.
18:11 Pourquoi?
18:13 Parce que ce n'est pas un meilleur contest.
18:14 Pourquoi pas? Je pensais que nous étions tous égaux.
18:16 Oui, non, nous sommes, nous sommes, mais nous avons juste différents corps.
18:20 Quel est le meilleur?
18:22 C'est différent.
18:24 Mais si on jouait dans le même championnat, qui gagnerait?
18:28 Les hommes.
18:30 Alors les hommes sont plus forts?
18:31 Non!
18:32 Non.
18:33 Ils sont juste meilleurs en sport et en maths.
18:36 En maths?
18:37 Écris ce dernier de ta mémoire.
18:39 Ok.
18:40 Non, c'est juste que les hommes sont plus adaptés physiologiquement aux sports, disons.
18:47 Tu ne te trouves pas très adapté aux sports.
18:49 Pas moi.
18:50 Alors tu pourrais battre une femme au soccer.
18:53 Oui.
18:54 Tu pourrais battre l'équipe américaine de la Coupe du Monde féminine.
18:56 Non, mais une équipe de professionnels masculins battrait une équipe de professionnels féminins.
19:00 Mais l'équipe américaine de la Coupe du Monde féminine est la meilleure dans le monde.
19:04 C'est juste parce qu'elles jouent contre d'autres femmes.
19:07 Je vois. Alors l'équipe américaine de la Coupe du Monde féminine ne pouvait pas battre n'importe quelle équipe masculine?
19:12 Peut-être le Canada.
19:13 Mais comment va l'équipe américaine?
19:15 Probablement pas.
19:16 Ils peuvent battre un pays comme le Canada.
19:18 Je ne sais même pas si c'est vrai.
19:20 Pourquoi ne jouent-ils pas dans ce championnat?
19:22 Ok, écoute.
19:23 Les femmes ne jouent pas de sport avec les hommes pour la même raison que ta mère m'a demandé de ouvrir le sac à piqûres.
19:28 Parce que vous n'êtes pas aussi intelligents que moi pour ouvrir le sac à piqûres?
19:32 Ecoute, si ta mère et moi allions se battre, qui diriez-vous que gagnerait?
19:35 Tu le ferais, mais je battrais mes frères.
19:37 Oui, mais c'est juste parce que tu es plus vieille que eux.
19:39 Peut-être que c'est juste parce que tu es plus vieille que ta mère.
19:42 Ok, écoute. Si les femmes jouaient de sport avec les hommes, elles pourraient être blessées.
19:45 On ne veut pas ça, non?
19:46 Alors, les femmes sont plus fragiles.
19:48 Exactement.
19:49 Hey, il n'y a pas de besoin de dire à ta mère que nous avons cette conversation, non?
19:55 Qu'est-ce que tu as peur? Je pensais que tu étais plus forte.
19:59 Qu'est-ce que tu penses des gens trans?
20:06 Non!
20:07 Merci!
20:10 Du coup, vous avez arrêté de regarder le foot avec elle, j'imagine?
20:13 Personne n'a pensé à une équipe mixte. Ça viendra peut-être un jour.
20:19 Peut-être un jour, mais en fait, c'est basé sur un vrai questionnement qu'elle avait sur cette question-là.
20:26 Et je me suis dit qu'il fallait que j'écris un sketch autour de cette question,
20:31 qui est vraiment une question d'actualité aujourd'hui.
20:34 Les vraies réponses, c'est ce que vous avez répondu en vrai?
20:37 Un peu comme ce que j'ai dit au début.
20:41 C'est-à-dire qu'on est différent, qu'on n'a pas le même corps, etc.
20:45 Et après, c'est parti.
20:47 Après, c'est parti.
20:49 Mais oui, justement, après, j'ai développé un peu pour le sketch.
20:53 Ça vient d'elle à la base.
20:56 C'est marrant, elle s'adresse toujours à vous en anglais.
20:58 Oui, en fait, on a essayé de tourner ce sketch en français.
21:02 Et c'était tellement bizarre entre nous de parler français.
21:06 Pourtant, je parle français à sa mère,
21:09 et elle entend français tout le temps.
21:11 Mais entre nous, on a tellement une relation en anglais
21:14 que ça sonnait faux de jouer ce sketch en français.
21:18 Et donc, du coup, c'est plus naturel.
21:20 Même, comme vous voyez, elle est bilingue complètement.
21:22 Donc, elle était très à l'aise de le faire en anglais.
21:24 Et je l'écris en anglais.
21:26 Et donc, je me suis dit, OK, on va le faire en anglais.
21:29 On attend le prochain sport que vous allez devoir expliquer à votre fille.
21:33 C'est le moment de retrouver le coach de salon VIP, Vincent Parisi.
21:37 Aujourd'hui, il est en compagnie du chanteur Yoann.
21:40 Il s'initie au chase tag.
21:43 Alors, si vous ne savez pas ce que c'est, vous allez le découvrir.
21:45 C'est une discipline des yamakasi.
21:47 Voici le coach.
22:00 Bonjour les amis, aujourd'hui, je reçois le chanteur Yoann.
22:03 Là, on est dans une salle un peu genre Ninja Warrior.
22:08 Ça s'appelle La Sport.
22:09 Et on a un super coach aujourd'hui qui va t'expliquer ce qu'on va faire.
22:12 C'est Yoann.
22:13 Le chase tag, c'est le jeu du chat et la souris.
22:16 Ça a été créé par des enfants.
22:19 Donc, il y a deux frères qui ont créé ce sport-là avec leurs enfants.
22:23 Je tâche avec deux Yoann aujourd'hui.
22:25 Allez, go, c'est parti.
22:26 Putain !
22:27 Arrête avec ta bulle !
22:38 Yo, t'es sûr que tu veux faire ça ?
22:41 Ouais.
22:42 On y va !
22:43 Tu pousses un peu sur la jambe.
22:48 Tu peux poser ton autre jambe dessus.
22:49 Donc, c'est la jambe gauche, main droite.
22:51 Toujours les opposées, d'accord ?
22:52 Donc là, je vais être là.
22:53 Je vais essayer de poser ma jambe gauche.
22:55 Tu peux même mettre les mains.
22:56 Hop, et la jambe qui est derrière passe devant, tout simplement.
22:59 Hop, pieds, mains.
23:01 Et oui !
23:02 Et oui !
23:03 Pas de raccourci !
23:04 Les chats commencent toujours sur cette starter plate qui est là-bas, d'accord ?
23:07 Les souris peuvent se placer où elles veulent, d'accord ?
23:10 Sur cette structure.
23:11 Je t'invite à venir monter.
23:13 D'un côté.
23:14 Bien.
23:15 Très bien.
23:16 Ça passe par-dessus.
23:17 Et hop, ça touche.
23:18 Si besoin.
23:19 C'est des mecs qui passaient leur temps sur les chantiers.
23:22 Ils devaient passer de chantier en chantier.
23:24 Ils se sont dit "Oh putain, ça c'est un super concept".
23:26 À quel moment, en fait, le chat, il gagne ?
23:28 Quand je le touche ou quand je t'attrape ?
23:30 Alors, le seul moyen de marquer des points, c'est une évasion, d'accord ?
23:34 Donc le chat, quand il touche, il empêche le joueur d'avoir son évasion.
23:37 Donc de marquer un point.
23:38 J'aime pas ton style de stick !
23:42 Oh !
23:46 Comment on fait pour se tester, quoi ?
23:48 J'ai peur.
23:49 Vas-y.
23:50 Oh oui !
23:52 C'est le défi du coach.
23:53 Vas-y, foumis.
23:55 Ouais !
23:56 Go !
23:57 Tussi, tussi !
24:10 Ready, go !
24:13 Ready, go !
24:15 Il a fait ceci !
24:33 Yo, je crois que t'as perdu ça, là.
24:36 Le gars, il a continué à jouer cette...
24:39 Aujourd'hui, les amis, on était à Blastport avec Yoann et Yoann.
24:43 C'était énorme, merci beaucoup !
24:45 Bravo, parce que ça avait l'air quand même assez compliqué.
24:54 Ça donne envie, hein ?
24:55 Ça donne...
24:56 Voilà, on va lui dire à Vincent que vous en êtes là-bas.
24:59 Le 5 à 7 de Clara.
25:00 Le 5 à 7 culture franco-américaine, enfin, Paris et New York.
25:08 Je vous fais deux propositions, vous répondez vite et spontanément.
25:11 Si je vous dis 5e Avenue ou Champs-Elysées, qu'est-ce que vous préférez ?
25:14 5e Avenue.
25:15 Le bois de Boulogne ou Central Park ?
25:17 Central Park.
25:18 La Tour Eiffel ou la Statue de la Liberté ?
25:20 Tour Eiffel.
25:21 Ah, le Louvre ou le Montmartre ?
25:23 Le Louvre.
25:24 Un hot dog ou des marrons chauds ?
25:26 Un hot dog.
25:27 Roland Garros ou l'US Open ?
25:29 Roland Garros.
25:30 Et enfin, la dernière...
25:31 On est à trois partout, hein.
25:32 Mais justement, la dernière question, elle est là pour départager.
25:35 Quelle ville a les plus beaux rats ?
25:38 New York.
25:39 Ah, c'est New York qui gagne, grâce aux rats.
25:42 Plus gros, après, plus beau...
25:43 Je pense que les rats parisiens sont plus chics.
25:46 Vous avez vu des fois les rats à Paris ?
25:47 Vous êtes dans l'élégance.
25:48 Pourquoi ?
25:49 Vous avez vu les rats à Paris ?
25:50 Oui, oui.
25:51 Moi, j'ai été percutée par un rat dans la rue.
25:53 Il était très gros, hein.
25:54 Oui, oui.
25:55 J'ai cru que c'était un chien au début.
25:56 C'est un ragondin, alors.
25:57 Non, c'était...
25:58 A priori, j'ai pas...
26:00 Il parlait d'un chat ?
26:01 Il parlait combien dans le langage ?
26:02 Je sais pas, je lui ai pas...
26:04 J'ai crié.
26:05 Ouais, voilà.
26:06 Le biscuit.
26:07 Le biscuit, regardez.
26:08 Oh, c'est beau, c'est quoi ?
26:09 C'est comme des gros...
26:10 Vous avez des enfants, vous allez adorer.
26:12 Ce sont des œufs de Pâques.
26:14 Mais ceux-là, ils sont en chocolat.
26:16 L'œuf Power Ranger.
26:18 À l'intérieur, il y a quoi ?
26:19 Regardez.
26:20 J'ai le droit d'ouvrir ça ?
26:21 Bien sûr.
26:22 On va commencer par le mien.
26:23 Qu'est-ce qu'il y a à l'intérieur ?
26:24 Regardez.
26:25 Ah, la figurine.
26:26 La figurine.
26:27 Il y en a trois à l'intérieur.
26:28 Elles sont articulées.
26:29 Soit vous laissez vos enfants jouer avec, soit vous les collectionnez si vous êtes
26:32 un fan.
26:33 C'est pas très sympa pour les enfants.
26:34 Voilà ce que tu as gagné.
26:35 Mais c'est le papa qui va le garder.
26:36 On ne le touche pas.
26:37 Et attention, il y a une seule commande par famille, parce que c'est en série limitée.
26:42 Et vous, vous avez Spider-Man.
26:44 Regardez.
26:45 C'est pour les enfants qui sont un petit peu plus jeunes.
26:47 Il y a plein de surprises à l'intérieur.
26:49 C'est comme un gros pack de surprises.
26:50 Il y a un poster.
26:51 Merci d'avoir bien prononcé Spider-Man, d'ailleurs.
26:54 C'est tellement rare.
26:55 Je vous remercie de le souligner.
26:57 Il y a une figurine de Miles Morales dedans.
27:00 Regardez.
27:01 Il y a tellement de choses.
27:03 Vous êtes gâté.
27:04 Il y a ça.
27:05 Il y a un oeuf.
27:06 Un petit oeuf surprise.
27:07 Un oeuf surprise.
27:08 Je peux vous dire que vos enfants vont adorer.
27:11 En plus, ils ne seront pas malades.
27:13 Ça change d'un oeuf normal.
27:15 Je trouve que le packaging est beau.
27:17 Tout est beau.
27:18 C'est très sympa.
27:19 J'essaie d'ouvrir.
27:20 Ça vous plaît.
27:21 Oui, j'adore.
27:22 Je vais vous laisser découvrir vos jouets.
27:24 La petite figurine cachée dans la poêle d'araignée.
27:27 Je ne peux pas jouer avec.
27:29 Vous avez le temps de la publicité pour jouer avec.
27:31 Dans un instant, on se retrouve à parler de votre spectacle.
27:35 Vous jouez au petit palais des glaces.
27:37 Il y aura aussi les Olympiades pour savoir si vous êtes agile, doué.
27:43 Tout ça.
27:44 Ne bougez pas.
27:45 Dans un instant.
27:47 C'est la suite de Salon VIP.
27:49 Toujours avec notre invité, l'humoriste Sébastien Marx.
27:52 Sébastien, avant de parler de votre spectacle, j'ai la sélection livres du jour.
27:57 On adore lire dans Salon VIP.
27:59 Je ne sais pas si vous lisez en français ou en anglais ?
28:01 En français maintenant.
28:02 Bravo.
28:03 Franchi les deux.
28:04 Je ne sais pas si vous lisez en français ou en anglais.
28:07 En français maintenant.
28:08 Je suis franchi les deux.
28:09 Je ne sais pas si vous lisez en français ou en anglais.
28:12 En français maintenant.
28:13 En français maintenant.
28:14 Ah, bravo.
28:15 Franchi les deux.
28:16 Je ne sais pas.
28:17 J'ai une sélection pour vous.
28:18 Je vais commencer avec Arnaud Desmars, Une année dans ma roue, en poche, avec Mathieu Courreau.
28:22 Le cycliste possède l'un des plus beaux palmarès français.
28:25 Il confie son quotidien et donne des pistes sur la manière dont il a atteint les sommets.
28:30 Les confidences de Guy Roux avec Alexandre Alain et la préface de Djibril Sissé,
28:35 l'entraîneur incontournable du foot français,
28:37 a replongé dans ses souvenirs pour partager des anecdotes inédites et toujours drôles.
28:42 L'aumônier des champions de Joël Thibault avec la préface d'Olivier Giroud.
28:47 Joël Thibault, c'est un ancien footballeur amateur devenu pasteur protestant
28:52 et il accompagne donc les sportifs dans leur quête spirituelle.
28:56 Étonnant.
28:57 L'art de faire les choses jusqu'au bout, c'est de Kevin Tran.
29:01 C'est le livre qui vous fera passer à l'action pour faire de votre rêve peut-être une réalité.
29:05 Et puis, je voulais vous montrer Mère sans filtre,
29:08 huit récits intimes de déclics féministes pour libérer la parole sur la maternité,
29:13 la charge mentale, le postpartum, l'éducation.
29:17 Voilà tous les sujets qu'on retrouve dans ce livre.
29:19 Vous avez quoi, deux, trois enfants ?
29:20 Trois enfants.
29:21 J'adore parce qu'on parlait de livres de sport quasiment tous, sauf ça,
29:25 mais justement être parent, c'est un sport.
29:27 C'est un genre de très haut niveau, maman.
29:30 Je suis d'accord.
29:31 Féministe un peu ?
29:33 Est-ce que je suis féministe ?
29:34 Oui.
29:35 Évidemment.
29:36 Évidemment.
29:37 C'est pas obligé, c'est pas le choix.
29:39 Sébastien, après plus de 17 ans en France, est-ce que vous vous sentez bien dans ce pays ?
29:45 Je me sens bien ici, surtout parce qu'on aime le dire.
29:48 On aime dire, on est bien là.
29:50 Et j'aime beaucoup ce pays.
29:52 Et je trouve qu'on met l'importance sur le fait d'être bien.
29:56 Et on voit ça maintenant avec les grèves en ce moment.
29:59 C'est qu'on cherche d'avoir plus de temps pour vivre.
30:02 Et ce genre de discours aux États-Unis est beaucoup moins important.
30:06 On parle beaucoup d'argent, argent, argent.
30:08 En France, on parle aussi plus de temps.
30:10 Et c'est pour ça que je suis bien là.
30:12 Et c'est le thème de votre spectacle que vous explorez.
30:14 On va vous retrouver au Petit Palais des Glaces les vendredis et samedis à 20h30 à Paris.
30:18 Et puis après, en tournée dans toute la France,
30:21 parce que je sais que vous adorez aller dans les villes de province.
30:25 Il y a un très bel échange que vous avez, notamment avec le public.
30:28 Je vous propose un extrait du spectacle.
30:30 Regarde.
30:33 Mon travail sur la langue française aujourd'hui, ce n'est pas sur comment améliorer mon niveau.
30:36 C'est plus sur comment accepter le fait que je vais parler comme un touriste amant pour le reste de ma vie.
30:41 Récemment, un Français m'a demandé comment on dit "disponible" en anglais.
30:46 J'ai dit "disponible".
30:48 Parce qu'on se demande "qu'est-ce que tu vas dire dans cette situation?"
30:52 "Eh! Mais qui a lancé une banane dans la gueule de ma meuf?"
30:57 Tout le monde en reste au regard.
30:59 Et je lui dis "on n'est pas bien, là?"
31:02 On est plutôt bien là avec vous, Sébastien.
31:05 C'est le deuxième spectacle, mais c'est toujours basé sur les différences
31:09 entre ce que vous avez connu aux États-Unis et la France.
31:13 Pas que.
31:14 Pas que.
31:15 Non, c'est toujours là.
31:16 Mon accent est toujours là, je ne peux pas le nier.
31:18 Non, mais je parle d'autres choses.
31:20 J'ai un thème du spectacle actuel qui est la cigale et la fourmi.
31:25 Oui.
31:26 La fable de La Fontaine.
31:28 Et qu'on est partagé en deux types de personnes.
31:31 Les gens qui sont plutôt fourmis ou plutôt cigales.
31:33 Bien sûr, on peut avoir un peu les deux.
31:35 Vous taquinez les radins?
31:37 Voilà.
31:38 Évidemment, je suis très cigale.
31:40 Le fait qu'il y a l'intermittent du spectacle,
31:43 ça aide aux cigales de s'adapter à un monde de fourmis, quand même.
31:48 Mais justement, je parle beaucoup de ça.
31:50 C'est vraiment le thème du spectacle.
31:51 C'est la cigale et la fourmi.
31:52 Et qu'on est ce deux types de personnes.
31:55 Et par rapport à cette...
31:58 Pas opposition, parce que ce n'est pas vraiment une opposition,
32:01 mais cette comparaison entre les Américains et plus les New-Yorkais, d'ailleurs,
32:06 et les Français, les New-Yorkais seraient en tendance plus fourmis à travailler et à capitaliser.
32:15 Déjà, les États-Unis, la politique des États-Unis, c'est plus fourmi.
32:19 C'est-à-dire parce qu'il y a moins de sécurité sociale et tout ça.
32:22 Si on ne planifie pas comme une bonne fourmi, on crève.
32:25 C'est ça.
32:26 Tandis qu'en France, tout est mis en place pour qu'on soit plus cigale.
32:29 C'est-à-dire que maintenant, les cinq semaines de compte que j'ai payé,
32:32 le fait qu'on veut limiter, qu'il faut que ça soit 35 heures par semaine.
32:36 - Je crois qu'Emmanuel Macron voudrait vous embaucher.
32:39 Il souffre un peu en ce moment.
32:41 - Oui, j'ai l'impression.
32:42 Mais justement, Macron, j'ai l'impression, il essaie de pousser les Français plus vers un système américain.
32:49 Et ça ne plaît pas aux Français, j'ai l'impression.
32:51 - Pas du tout, pas des masses.
32:53 Mais ce qui est rigolo, c'est que dans tous les extraits que j'ai pu regarder aussi sur votre compte Instagram,
32:57 vous demandez toujours qui vient de loin dans vos spectacles.
33:01 Il y a des gens qui viennent quand même de très loin aussi.
33:03 - C'est pour ça que je pose la question. C'est fascinant de voir les gens.
33:06 - Vous n'êtes pas toujours en plus à Paris.
33:07 Vous êtes souvent dans des villes de province.
33:09 Et c'est toujours assez rigolo de leur dire "mais t'es venu pour profiter du système français".
33:15 Il y a vraiment cette image du système français favorable.
33:18 - Parce que c'est souvent vrai, en fait.
33:20 - Soit ils sont là parce qu'ils sont avec un Français ou une Française,
33:24 mais ils restent parce qu'il y a une espèce de qualité de vie qu'on a en France.
33:28 Bien sûr, ce n'est pas vrai pour tout le monde, je ne veux pas généraliser,
33:30 mais quand même les choses en place en France, au moins sur papier,
33:34 c'est plus pour avoir une belle vie, de manger bien et de profiter de la vie.
33:41 - Vos premiers stand-up, c'était donc à Manhattan, dans un fameux Comédie Club.
33:47 Comment vous avez adapté votre humour à ce qu'on peut nous attendre en France
33:52 et ce qui peut nous nous faire rire ?
33:53 Est-ce que vous faites rire de la même manière aux États-Unis qu'ici ?
33:56 - Légèrement différent, mais je pense que malgré moi, je viens de cette culture-là,
34:02 donc j'écris mes blagues de cette même façon.
34:05 Et donc plusieurs personnes m'ont dit qu'ils entendent un peu l'humour à la new-yorkaise dans ma bouche,
34:12 même si j'habite en France, même si je parle des Français,
34:15 que oui, il y a un côté new-yorkais dans mon...
34:19 Je ne sais pas si c'est mon rythme ou l'accent ou si c'est la façon d'écrire des blagues,
34:23 mais oui, je pense que je ne peux pas le nier.
34:25 - Vous vous définissez comme humoriste juif ashkenaz, si précis, américain.
34:31 Pourquoi vous faire toutes ces précisions-là ?
34:33 - Je précise le côté ashkenaz notamment, parce qu'en France, la plupart des Juifs, j'ai l'impression,
34:39 sont plutôt séparates, qui viennent du pays d'Afrique du Nord ou de l'Espagne.
34:43 Et les Juifs ashkenaz viennent de l'Europe de l'Est.
34:48 Et je précise ça parce que la culture n'est pas pareille.
34:51 Même si on peut tous les deux être juif, mais ils mangent du couscous, nous on mange du goulash.
34:57 C'est vraiment deux choses complètement différentes.
35:00 Et je parle de ça dans mon spectacle parce qu'en fait, les séfarades, ce sont des cigales.
35:05 Et les ashkenaz, ce sont des formiers.
35:08 Dans le monde juif, justement, parce que les ashkenaz sont un peu plus, généralement, déprimants,
35:14 qui plalifient, et les séfarades sont plus festives et tout ça.
35:19 Et voilà, donc c'est pour ça que je précise ça.
35:23 Et moi, je suis new-yorkais parce que je ne suis pas du Minnesota, non plus, si je ne viens pas du Texas.
35:32 C'est quand même, je ne suis pas...
35:34 Le cliché qu'un français peut avoir d'un américain, c'est de dire que je suis loin d'être le cow-boy qu'on imagine.
35:40 Mais donc voilà, c'est pour ça que je précise "new-yorkais", pas forcément que "américains".
35:44 Qu'est-ce qui a été le plus dur pour vous quand vous êtes arrivés, j'allais dire en France, mais spécifiquement peut-être à Paris ?
35:50 Parce que c'est une ville pas forcément évidente, on l'évoquait avec Clara.
35:54 Moi, je suis née en banlieue parisienne, elle, elle vient de province.
35:58 Donc il y a toujours un truc un peu délicat pour les gens qui ne sont pas nés ici.
36:03 Vous avez fait les deux en plus, vous avez commencé par Toulouse.
36:05 J'ai vécu à Toulouse.
36:07 Donc douceur de vivre ?
36:09 Douceur, justement, la ville rose.
36:12 Mais j'ai trouvé Paris plus simple pour moi, plus facile pour moi.
36:17 Pour votre métier ?
36:18 Pour mon métier, mais j'ai compris Paris, je viens de New York, donc le côté cosmopolite, le côté que tout le monde se méfie de tout le monde.
36:26 Le fait qu'on va voir des fous dans la rue, j'ai l'habitude de ça, ça ne me gêne pas.
36:32 Et donc, voilà, en fait, c'est le plus dur de quitter New York pour Toulouse, où d'un coup tout est fermé entre midi et 14h.
36:40 Et c'est la province, malgré tout.
36:44 Aujourd'hui, c'est un peu différent, Toulouse bouge encore plus qu'il y a 17 ans.
36:49 Mais j'ai trouvé cette partie, c'est le plus dur pour moi.
36:53 Mais aussi la langue française.
36:54 Dès que j'ai débarqué en France, je parlais zéro français.
36:57 Donc ça n'a pas aidé, tandis qu'après le déménagement entre Toulouse et Paris, je parlais déjà le français.
37:03 Donc cette adaptation était beaucoup plus facile quand même.
37:06 Il y a encore des choses, des expressions que vous maîtrisez mal en français ?
37:10 Pourquoi ils disent ça ?
37:12 Le masculin, féminin, le subjonctif aussi.
37:16 Oui, mais j'allais dire peut-être des expressions...
37:18 Ne s'embêtez pas à parler au subjonctif.
37:20 Par exemple, Clara m'apprend de temps en temps des mots du Sud.
37:24 On ne les répétera pas ici, mais des expressions...
37:28 En fait, ce que je fais quand je fais des dates en tournée, c'est que je sors une liste de mots.
37:34 Parce que j'ai appris qu'en France, chaque coin, chaque région, ils ont leur propre patois, leurs propres expressions.
37:40 Et je trouve ça fascinant parce que tu voyages une heure, ça change, c'est incroyable.
37:43 Et donc ce que je fais quand je joue à Marseille ou à Toulouse ou à Lille, je sors une liste de ces expressions.
37:50 Et je demande au public de m'expliquer.
37:53 Et parfois je trouve de l'impro et parfois il y a une drôle d'interaction.
37:58 Il n'y a pas du tout ça aux États-Unis, c'est tellement grand. Il doit y avoir aussi un peu ça.
38:02 Il y a ça, mais notamment c'est beaucoup plus récent.
38:05 Le fait que la France, culturellement, déjà il y a 150 ans, je pense, tout le français ne parlait pas français.
38:14 Il y avait le britannique, il y avait le breton. Et donc ces langues-là, ces patois-là, existent depuis des siècles.
38:22 C'est ça, le mot que j'ai cherché.
38:24 Et tant qu'aux États-Unis, l'occupation des États-Unis était beaucoup plus rapide.
38:30 Et du coup, l'anglais n'a pas eu le temps de bifurquer autant. Même s'il y a quand même une différence, effectivement.
38:37 Qu'est-ce qui vous manque le plus des États-Unis, de New York ?
38:42 Le dynamisme, mais aussi, notamment, vraiment mes amis, ma famille, tout ça.
38:48 C'est vraiment notamment ça qui me manque le plus.
38:51 Qu'est-ce qui vous fait le plus rire dans la culture française ?
38:54 En premier degré ou en second degré ? En me moquant ?
38:58 Moquez-vous !
39:01 Je trouve, ce que j'aime, c'est le côté râleur. J'entends plein de Parisiens ou même français aujourd'hui dire
39:10 "Oh, les français râlent, là ! Ils râlent sur le fait qu'on râle !" J'adore, c'est génial.
39:16 Vous essayez toujours de comprendre la fidélité à la française, aussi ?
39:20 J'essaie. En fait, on est beaucoup plus détendu.
39:23 J'ai l'impression que c'est plus cool ici que ce que vous connaissiez.
39:26 On est plus cool par rapport à la fidélité en France. On voit ça très bien avec le président.
39:30 C'est-à-dire que le président américain n'a pas le droit de coucher avec quelqu'un d'autre qui n'est pas sa femme.
39:35 C'est un scandale. On a mis en procès Bill Clinton avec tout le scandale avec Monica Lewinsky.
39:41 Tandis qu'en France, bon, c'est pas très grave. François Hollande, il a trompé sa femme.
39:47 On était plus déçus par le fait qu'il s'est fait griller que le fait qu'il a fait.
39:53 C'est vrai qu'il n'a pas été malin.
39:55 Il n'était pas malin. Donc, justement, on se dit qu'il ne peut même pas assurer une petite liaison.
40:01 Comment on peut gérer le pays ?
40:03 C'est vrai que c'est plutôt ce que les Français se sont dit.
40:07 Vous jouez donc en français au Petit Palais des Glaces. Vous jouez toujours en anglais aussi ?
40:11 Je joue aussi.
40:12 Parce que moi, je vous avais vu il y a quelques années en anglais.
40:14 Ah, ok. En fait, j'avais mon one-man show. En fait, je peux faire une heure en anglais.
40:18 Mais en ce moment, j'anime mon plateau en anglais. Un plateau, c'est plusieurs humoristes.
40:22 Et donc, j'ai un plateau que j'anime depuis plus de douze ans maintenant.
40:26 Et maintenant, c'est au Petit Palais des Glaces, juste après mon spectacle en français le samedi.
40:30 À 22h, j'anime le New York Comedy Night, qui est un plateau, 100% anglophone.
40:35 Et ce qui est intéressant, c'est que je peux avoir plein d'humoristes qui sont de passage des États-Unis, d'Angleterre ou allemand,
40:44 qui sont de passage à Paris, qui parlent anglais. Et ils cherchent souvent de jouer en anglais.
40:49 Et je les mets sur scène et c'est souvent une super soirée.
40:52 Le public, là, est anglophone ?
40:54 Très mélangé. Ils savent que c'est en anglais.
40:56 Parce que l'humour, parfois, avec les expressions, si on ne maîtrise pas la langue...
41:00 J'avoue. Mais j'ai beaucoup de français, parce que justement, je disais que la nouvelle génération de français
41:04 commence à comprendre l'anglais, parce qu'ils regardent beaucoup des séries, même des stand-up en anglais,
41:10 grâce à Netflix, grâce à YouTube et tout ça.
41:13 Et du coup, il y a beaucoup de français, mais il y a beaucoup d'expatriés, des Chinois, des Brésiliens.
41:20 Et justement, c'est pour ça que je pose la question au public d'où viennent les gens.
41:23 Et parce que vraiment, j'ai de tout.
41:25 Bon, ben voilà. Vous pouvez aller le voir en anglais et sinon en français.
41:29 C'est au Petit Palais des Glaces.
41:31 Sébastien, qui êtes-vous vraiment ?
41:34 Parce que là, on essaye de vous connaître, mais qui êtes-vous vraiment ? Est-ce qu'on le sait ?
41:38 Non, mais moi, je ne sais pas.
41:39 Clara, elle le sait.
41:40 Ah, ok. Pas mal.
41:41 Je vais vous le dire.
41:42 Sébastien, vous êtes né à New York, de parents argentins.
41:50 Votre père vend de l'aluminium à la maison.
41:52 Il vous parle anglais et espagnol et vous avez beaucoup de mal à tout comprendre.
41:56 Votre mère vous pense moitié sourd, mais l'ORL confirmera que votre audition est parfaite.
42:01 Alors que votre mère capitule et décide de ne vous parler qu'en anglais,
42:04 votre père vous répète souvent que connaître une langue nouvelle vaut un million de dollars.
42:08 Et vous lui répondez, "Je préfère le million de dollars."
42:11 Pourtant, il a raison.
42:12 Votre père, en 2004, vous vous retrouvez dans un avion New York-Paris
42:15 à tenter d'apprendre les bases du français pendant les 9 heures de vol.
42:19 Vous venez d'être diplômé de cinéma et pourquoi pas devenir un futur réalisateur.
42:24 C'est dans l'humour qu'on vous découvre, qu'on vous retrouve avec votre nouveau spectacle.
42:28 Tout ce travail est possible grâce à une organisation millimétrée au quotidien.
42:32 Déjà parce que vous avez une femme et trois enfants, donc vous êtes levé le premier.
42:36 Vous avez bien compris que quand on a des enfants, les grasses matinées, ça n'existe plus.
42:40 10 minutes d'étirement sur le tapis, vous commencez tranquille,
42:43 pendant que votre eau citronnée refroidit.
42:46 Vous notez quelques idées dans votre journal de bord et 40 minutes plus tard,
42:49 c'est le marathon qui débute.
42:51 Le petit déjeuner en famille et pour vous, du thé pioché dans votre collection.
42:55 Vous accompagnez vos enfants à l'école avec votre femme et jusqu'à 17h, vous écrivez.
42:59 Vous travaillez le week-end pendant les vacances, la pause obligatoire et pour préparer les repas.
43:04 Après avoir goûté quelques tentatives de plat de loup, votre femme, vous avez pris les fourneaux.
43:08 C'est infecte, il paraît ce qu'elle fait.
43:10 Oui, en fait, elle se débrouille pas très bien.
43:14 Vous êtes gentil, il y a beaucoup d'amour dans votre phrase.
43:18 Je fais mieux.
43:21 Et vous êtes le king des salades composées.
43:23 Peu importe les légumes de saison que vous choisissez,
43:25 elle sera excellente grâce à votre vinaigrette, c'est votre petit plus.
43:28 Mais qu'est-ce qu'elle a ?
43:30 L'amour.
43:32 C'est ça, on n'a pas compris.
43:35 Légumes, pâtes, soupe, quiche, vous faites tout.
43:38 Tendance vegan depuis quelques années.
43:40 Végétarien, c'est pas le même.
43:42 On mange du fromage, des oeufs.
43:44 Je veux dire, vegan, j'aurais du mal.
43:48 La pause d'amour, c'est le week-end pour jouer au foot avec vos fils dans le jardin.
43:52 Et s'il fait mauvais, vous rentrez à l'intérieur.
43:54 Jeux de cartes, jeux de société.
43:56 Vous êtes patient et pédagogue, mais est-ce que vous êtes un bon perdant ?
44:00 Non.
44:01 Mauvais ? Et vos enfants ?
44:03 Encore pire.
44:04 Je pense que ça vient de moi.
44:06 On n'y est pas, tant mieux.
44:09 Merci beaucoup, Clara.
44:11 Merci.
44:12 Place aux 3 records du jour, choisis par Vincent Pochulu.
44:15 On a celui d'un Français en ultra-trail, une perf en escalade et puis un challenge freestyle.
44:20 Aurélien Sanchez est rentré dans l'histoire ce week-end.
44:25 Le coureur toulousain est devenu le premier Français à inscrire son nom au palmarès de la Barclay.
44:30 Aurélien Sanchez est venu à bout de la mythique épreuve d'ultra-trail.
44:34 200 km et 20 000 m de dénivelé en 58h23.
44:39 32 ans d'existence, seuls 15 athlètes étaient venus à bout du circuit dans le parc de Frozen Head dans le Tennessee.
44:46 Le Français a reconnu qu'il était dans la forme de sa vie pour vaincre ses 5 boucles de 40 km avec seulement une carte et une boussole.
44:54 On le croit sur parole.
44:56 Direction l'Italie, près de Cadarese.
44:58 Cette ascension traditionnelle est la plus dure au monde.
45:01 Appelée "Tribe", cette voie suspendue de 30 mètres a été vaincue par Giacopo Larcher,
45:06 le grimpeur italien après des mois de préparation et d'entraînement est parvenu au sommet en mars 2019.
45:12 Laura Biondo est championne du monde de freestyle et détentrice de nombreux records.
45:20 L'ancienne artiste du Cirque du Soleil sait à peu près tout faire avec un ballon.
45:25 Cette année, elle a ajouté deux nouveaux exploits à son palmarès dont le nombre de passements de jambes en position assise.
45:30 La vénézuélienne en a réalisé 62 en seulement 30 secondes.
45:35 Allez les Olympiades avec Sébastien de Marx.
45:38 Première épreuve Sébastien, le Jenga.
45:42 Vous avez 30 secondes pour enlever un maximum de petites bûchettes.
45:45 On ne touche pas la ligne du haut et on ne fait pas tomber la tour.
45:49 Il y a un classement des invités.
45:52 19 points, c'est le record de chez Record.
45:55 Ce n'est pas le record du Jenga, c'est le record de toutes les Olympiades.
45:58 Il y a d'autres épreuves après.
46:00 Vous êtes prêt ?
46:01 Oui.
46:02 C'est parti, on lance le chronomètre.
46:04 Le milieu, si je peux vous aider.
46:06 C'est bon ?
46:07 Oui.
46:08 Voilà, très bien.
46:09 Attention.
46:10 Aidez-vous des deux mains si vous voyez que ça bouge un peu.
46:13 Remettez bien les...
46:14 Super.
46:15 Vous auriez pu l'enlever, non ?
46:16 Oui, effectivement.
46:18 Il faut aller un petit peu plus vite Sébastien, il reste 15 secondes.
46:21 Il est délicat.
46:22 Ah non, non, non.
46:23 Attention, 12, 10 secondes.
46:25 Bien, en bas aussi.
46:27 Super.
46:28 Il vous reste 5.
46:30 Très bien.
46:31 3, 2, 1.
46:34 Le petit dernier.
46:35 0.
46:36 Vous en avez combien ?
46:37 7.
46:38 7, c'est bien ou pas mal ?
46:40 Pas mal, 7.
46:41 C'est stressant là.
46:42 Vous avez pris ça à cœur.
46:43 Mauvais perdant.
46:47 Non, mais justement, en moi...
46:49 7, c'est pas mal.
46:50 Vous êtes toujours dans la course.
46:51 Regardez en face de vous l'écran.
46:54 L'image va vous montrer un match de foot.
46:56 Elle va s'arrêter, il faudra choisir la suite.
46:59 Vous allez comprendre quand je vais vous le dire.
47:01 Regardez, là, on est sur un match classique.
47:04 Il a le ballon.
47:08 Que va-t-il se passer ?
47:09 Le joueur va dribbler tout le monde et marquer un superbe but.
47:13 Le joueur ne s'est toujours pas arrêté de courir et aurait été aperçu du côté des Yvelines.
47:18 Puisque je ne sais pas comment on parle de cette ville.
47:20 Bou-bou-ké-tour-di, j'ai envie de dire.
47:23 Le joueur est si vite rentré chez lui pour regarder Salon VIP,
47:28 le joueur a perdu le ballon un mètre après et l'action n'avait aucun intérêt.
47:31 A.
47:32 A.
47:33 A, sans hésitation.
47:34 A, sans hésitation.
47:35 A.
47:36 A, sans hésitation.
47:37 Clara, elle voulait mettre la D.
47:38 Oui, mais ce sera, je pense, la A.
47:43 Et un très joli A.
47:46 Bravo.
47:47 Franchement, très joli A.
47:49 Sans hésiter, je vous mets 2 points.
47:50 Il est mérite.
47:51 Ça fait 9.
47:52 Vous avez envie de jeter toutes les canettes que vous avez bues pendant ce match de foot.
47:57 Oui, bien évidemment.
47:58 Mais vous n'avez pas envie de vous lever parce que vous êtes un Français maintenant,
48:01 paresseux comme nous.
48:03 Il faut réussir à les mettre dans la poubelle.
48:06 Les 4.
48:07 Allez.
48:08 Vous n'avez pas fait de basket ?
48:12 Non.
48:13 Non.
48:14 Ce n'est pas exactement pareil.
48:15 Oui, pas mal.
48:17 Ça fait 1.
48:18 Non.
48:19 Ah bon.
48:20 Ce n'est pas si facile.
48:21 On était à 9.
48:22 On ne va pas jouer 2 heures.
48:23 C'est fini.
48:24 Il n'y avait que 4 chances.
48:25 C'est fini le jeu.
48:26 Ça vous fait 10 points.
48:27 Maintenant, il va falloir trouver qui a dit "Je pense qu'à mon âge, on ne pense pas à l'avenir.
48:34 Vous pensez présent, même si je suis le passé, le présent et le futur."
48:39 Vous voulez que je répète la phrase ?
48:40 C'est un petit peu philosophique.
48:42 C'est un modeste.
48:43 C'est quelqu'un de très modeste.
48:44 Il y a Olivier Giroud, Zlatan Ibrahimović et Antoine Griezmann.
48:49 Est-ce que ces joueurs vous parlent ?
48:50 Oui, il parle celui de milieu.
48:53 Allez-y Alain.
48:56 Je dirais que c'est celui de milieu qui a dit ça.
48:58 Oui, qui est Zlatan Ibrahimović.
49:01 Évidemment.
49:02 Évidemment.
49:03 Je pense que c'est une bonne réponse.
49:05 Résultat, on était à 10.
49:07 Vous allez jusqu'à 12.
49:09 Et il reste une épreuve pour vous, Sébastien.
49:12 9 et vous.
49:13 Vous allez devoir dessiner ce qu'il y a dans l'enveloppe.
49:16 Le seul problème, c'est qu'il ne faut pas nous montrer ni à Clara ni à moi ce qu'il y a dessiné.
49:20 Mais prenez l'enveloppe pour savoir ce qu'il y a dedans.
49:22 Vous ne nous le dites surtout pas.
49:23 C'est un pictionary.
49:24 J'ai envie de vous rajouter un demi-point rien que pour l'accent.
49:27 Il ne l'a pas trop forcé.
49:29 Pictionary.
49:31 C'est facile pour lui.
49:33 Est-ce que vous avez vu ce que vous deviez dessiner ?
49:35 Oui.
49:36 Vous savez ce que c'est ?
49:37 Vous avez 30 secondes.
49:38 Oui.
49:39 Vous avez l'image.
49:40 Nous, on ne sait pas ce que c'est.
49:42 Je sais.
49:43 Plus vite vous nous faites deviner, plus de points je rajoute.
49:46 Allez-y.
49:48 Un arbre.
49:50 Une piste.
49:52 Un gratte-ciel.
49:54 Oh oui !
49:55 L'Empire State Building.
49:56 C'est l'Empire State Building.
49:57 Ou un doigt d'honneur.
49:59 Oui.
50:00 C'était soit l'un soit l'autre.
50:02 Ce n'était pas évident, mais bravo.
50:04 Je vous mets deux points.
50:05 Je ne sais pas à combien on est tournés.
50:06 C'est assez rapide là.
50:07 14.
50:08 Parce que vous êtes très bon.
50:09 Oui, je l'ai vu dans ma vie.
50:11 14, ce n'est pas mal.
50:12 Dans un instant, Clara va nous présenter quelque chose pour avoir chaud.
50:16 Et ça tombe bien parce que moi, je suis très frileuse.
50:18 Je ne sais pas pour vous, Sébastien.
50:20 Juste avant, découvrez la love room de notre invité d'hier, le chef Juan Arbeláez.
50:27 On a envie de tout savoir sur sa vie privée.
50:29 Regardez.
50:30 Juan Arbeláez, bienvenue dans la love room.
50:36 Télébataire ou en couple ?
50:37 Je dirais en gestion de projet.
50:40 Dragueur ou dragué ?
50:42 Un peu des deux, ça dépend de la situation.
50:44 Est-ce que vous vous êtes déjà fait draguer de manière étonnante ?
50:47 Ça m'est déjà arrivé.
50:49 On m'a demandé en mariage lors des fêtes de Bayonne.
50:52 Est-ce que vous vous êtes déjà fait draguer par une star ?
50:55 Oui, ça dépend parce que c'est une star, mais oui, je pense.
50:59 Dites-nous qui, on verra si c'est une star.
51:01 J'ai signé une décharge comme laquelle, si je parlais, je pouvais mourir.
51:07 J'allais avoir des services secrets derrière mon dos pour le reste de mes jours.
51:11 Je pense qu'à ce moment-même, il doit y avoir des tireurs d'élite quelque part
51:15 qui attendent que je vise le mot de trop.
51:17 Oui. J'accepte très, très vite derrière que j'ai menti.
51:24 Je n'aime pas trop mentir en vrai.
51:26 Je suis capable d'un petit mensonge un peu rigolo pour derrière accepter la réalité.
51:30 Mais c'est surtout le fait d'accepter mon petit mensonge qui va fonctionner.
51:33 Ce n'est pas vraiment le mensonge en soi.
51:35 Vous êtes un embrouilleur professionnel.
51:37 Êtes-vous fidèle ?
51:38 Oui, 100 %.
51:40 J'aime bien être fidèle en amour, en amitié, à ma parole.
51:44 J'aime bien la fidélité.
51:45 Qu'est-ce qui vous fait craquer ?
51:47 L'intelligence.
51:48 En vrai, quand tu arrives face à quelqu'un de très, très beau
51:51 et qu'en plus de ça, tu te rends compte qu'elle est intelligente.
51:54 Est-ce que vous vous êtes déjà servi de votre notoriété pour conclure ?
51:57 C'est sale, ça, comme question.
51:58 Je ne pense pas que je me sois servi, mais je pense que ça a pu jouer à mon avantage.
52:02 Ça m'est déjà arrivé de reconnaître dans les yeux ou dans le regard de quelqu'un
52:06 le fait de savoir qui j'étais.
52:09 Et ça m'a permis peut-être d'avoir plus d'ouverture,
52:12 plus de tranquillité pour m'aborder.
52:14 Il n'y a pas si longtemps que ça.
52:16 Vous êtes sexto ou pas ?
52:19 Joker.
52:20 Femme qui rit, est-ce que ça marche ?
52:22 Je pense que femme qui mange bien marche encore mieux.
52:25 Oui.
52:26 Elle finit par rigoler.
52:28 Si je vous dis que je suis célibataire et milliardaire,
52:32 est-ce que vous quittez tout pour moi ?
52:33 Non.
52:34 Non, l'argent n'est pas du tout quelque chose qui me mène.
52:38 J'ai dit célibataire quand même avant.
52:40 Oui, mais vous avez dit millionnaire, donc vous êtes vénal.
52:42 Milliardaire.
52:43 Ce qui me dérange déjà.
52:44 Juste le mot célibataire aurait suffi.
52:47 Quand on met l'argent derrière, ça m'a fait fuir.
52:51 Merci beaucoup.
52:53 À vous.
52:54 Notre dernière séquence, c'est un Victime de la mode.
53:02 Je suis sûre que vous allez adorer l'objet présenté par Clara.
53:05 Victime de la mode, tel est son nom de code.
53:10 Ce coussin-là, c'est terminé.
53:12 J'ai tellement mieux à vous présenter.
53:15 Ne me restez calme.
53:16 Merci beaucoup.
53:17 Regardez ça, c'est tout douillet.
53:18 C'est un petit coussin chauffant.
53:20 Vous allez l'aimer comme un doudou.
53:23 Il y a une solution pour être au chaud l'hiver, pour finir l'hiver.
53:25 Parce qu'on a encore froid, nous, dans la région parisienne.
53:28 Et en même temps qu'on est au chaud, on fait des économies d'énergie.
53:32 Je vous explique, c'est très facile à utiliser.
53:33 Regardez, là, vous chargez avec une clé USB sur votre ordinateur.
53:37 Vous appuyez sur le petit bouton.
53:39 Vous voulez être tranquille sur votre canapé, chez vous, et être au chaud.
53:43 Baissez de 1 degré la température de votre appartement.
53:47 Donc, on peut encore baisser d'un degré.
53:48 Mais vous pouvez, et vous vous coincez le petit coussin chauffant.
53:52 Et là, c'est le bonheur.
53:53 Si vous avez la chance d'avoir un extérieur, vous pouvez aussi sortir,
53:56 vous faire un petit thé chaud.
53:57 Vous prenez le coussin et vous prenez l'air dehors.
54:00 Vous êtes au paradis.
54:01 Il y a 3 températures possibles, 34, 38, 42.
54:05 Il me semble clair que lorsqu'on a mal au dos, 42 degrés, c'est très bon pour la santé.
54:09 C'est ce que vous m'avez dit suite à votre lambago.
54:13 Tout à fait.
54:14 Vu qu'on parle de ma vie personnelle, oui.
54:17 Un lambago, c'est pas mon truc.
54:19 Non, mais la chaleur sur les douleurs de dos, c'est super.
54:25 Il est là, le doudou.
54:26 Merci pour ce cadeau, Clara.
54:30 Allez, c'est lourd.
54:32 C'est pas lourd.
54:33 Ça a failli me casser un bras quand même.
54:35 C'est un mouton, un volant.
54:37 Mais très agréable en tout cas.
54:39 Merci beaucoup, Clara.
54:40 C'est une très bonne idée.
54:42 Sébastien, il est déjà temps de se quitter.
54:44 Merci mille fois.
54:46 Je rappelle votre spectacle au petit Palais des Glaces.
54:49 Et qu'est-ce qu'on se dit ? On se dit "see you soon".
54:52 "See you soon".
54:53 Ça, c'est sympa comme petite formule.
54:54 Oui, c'est "à bientôt" quoi.
54:56 Oui, parce que nous, on a le "à bientôt".
54:58 On peut dire qu'on était bien là.
55:00 Baisse-regard.
55:01 On était très bien.
55:02 Merci en tout cas d'avoir été avec nous sur BeinSport.
55:07 Vous allez suivre dès demain les qualifications à la Cannes 2023.
55:11 On a un très beau programme et notamment un match entre la Côte d'Ivoire et l'Ecomort vendredi.
55:18 Et puis la semaine prochaine avec Clara, on vous retrouvera avec plaisir.
55:21 Mardi, nous serons dans ce salon VIP avec Julien Stéphan.
55:26 Et mercredi avec Nance Duquin, le joueur de l'UBB.
55:30 Donc on est sur une semaine 100% sportive.
55:33 Et on a déjà hâte de vous retrouver.
55:35 D'ici là, passez une très belle fin de semaine.
55:37 À bientôt.
55:38 [Musique]

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