Fabien Claude n'a pas caché sa déception au micro de la chaîne L'Equipe après son passage sur l'individuel d'Ostersund (Suède).
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00:00 C'est une course ouverte aujourd'hui parce que les meilleurs du classement général n'étaient pas là
00:05 et forcément le constat est que vous n'avez pas réussi à en profiter.
00:09 Oui, c'est sûr, il y avait beaucoup d'absents sur la ligne, mais après ça n'empêche pas que c'est du biathlon.
00:14 C'est vrai que le fait qu'il y ait beaucoup d'absents sur un sprint, ça peut poser dans les têtes
00:19 parce que sur un sprint, c'est vrai que la part du tir est moins importante.
00:24 Aujourd'hui sur l'individuel, il faut faire sa course et j'en prends deux tout de suite.
00:29 Je ne sais pas, j'étais à droite, j'ai mis deux à gauche après.
00:32 Je ne sais pas si on se réglait avec le soleil. J'avais le soleil sur ma gauche.
00:37 Est-ce que ça m'a attiré l'œil sur le laissé ? Je n'en sais rien.
00:40 Je vais voir avec Patrick un peu ce qu'il dit, s'il a des explications par rapport à ça.
00:44 Et puis après, quand on prend deux d'entrée, tu sais que c'est quasiment fini pour la victoire.
00:49 On voit que le temps de ski est encore bon, mais vous aviez, j'imagine, peu de doute là-dessus.
00:55 Troisième temps de ski, je crois, derrière Navrat et Christian Sen.
00:59 Ça veut dire qu'il y a encore de quoi jouer pour ce week-end.
01:02 C'est la seule satisfaction du jour.
01:05 Et puis mon dernier debout parce que je fais une course compliquée.
01:09 Toute la course, je ne joue rien. Après deux unes, c'est compliqué dans la tête.
01:15 Je me force à revenir dans le présent.
01:18 Malgré tout, le temps de ski est bon, donc ça, c'est quand même cool.
01:21 Il en reste et il en restera jusqu'à la fin, je pense.
01:25 Il y a encore des belles courses aujourd'hui.
01:27 J'ai envie de dire qu'un indif, c'est soit très bon, soit pas bon.
01:32 On a un beau relais à faire, une belle mastart cette semaine,
01:35 et puis une très belle semaine à Osso.
01:37 On ne va pas être défaitiste tout de suite, mais aujourd'hui, ce n'était pas la course rêvée, ça c'est sûr.