Il y a quelques temps, j’avais parlé des pires effondrement collectifs all-time en NBA. Ici, on va faire l’inverse : on va parler de ces équipes qui ont fort mal commencé leur saison, pour finir par tout exploser après la pause du All-Star Game. Qui sont ces teams qui dans l’histoire ont réussi à relever la tête de main de maître ? On sort le tableur et on analyse ça ici !
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Intro (00:00)
Les critères (01:21)
Remontada #6 (03:38)
Remontada #5 (06:47)
Remontada #4 (08:55)
Remontada #3 (12:04)
Remontada #2 (15:31)
Remontada #1 (18:34)
Le bilan (21:54)
Outro (23:13)
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00:00 3, 2, 1...
00:02 Salut à tous ! Comment s'avance samedi ? Je pense que la team tableur va être contente parce que lundi soir sur Twitch vous avez décidé
00:16 qu'on parte en mode overtime.
00:18 Et ouais après avoir parlé des plus gros collapse all time là il ya quelque temps cette fois ci vous avez décidé qu'on fasse l'inverse
00:27 en parlant des plus grosses remontadas all time post all star break. Je sais que pas mal d'entre vous espère encore que les Lakers ou
00:34 les Warriors à moindre mesure fassent un immense comeback dans la saison régulière pour finir au sommet de leur conférence
00:39 mais avant d'observer ce qui se passe en NBA ça peut être intéressant de jeter un oeil au passé. Alors vous me connaissez j'ai ouvert mon
00:44 plus beau document Excel, j'ai élaboré mes meilleurs critères, j'ai pris des notes pour presque
00:48 80 équipes dans l'histoire et tada je vous ai dégoté un top 6. Allez histoire qu'on rigole essayez de faire vos pronostics
00:55 avant que la vidéo commence et mettez moi en commentaire quel est pour vous la team dans l'histoire qui a fait le plus gros
01:01 comeback dans la saison régulière. Vous allez voir c'est pas trop difficile.
01:04 Mais maintenant moi évidemment ce top 6 je vais vous le présenter alors on ne perd pas plus de temps et c'est parti
01:10 quels sont les plus grosses remontadas all time en NBA post all star break.
01:20 Bon pour commencer vous avez l'habitude il faut poser les bases et il faut que je vous explique comment j'ai procédé. Les étapes vous les
01:26 maîtriser d'abord il faut fixer des critères ceux qui me semblent les plus cohérents et le premier une fois n'est pas coutume
01:32 correspond à des conditions.
01:33 D'abord il faut avoir joué un minimum de matchs post all star break parce que dans les années 50 il arrivait que certaines équipes n'en
01:39 joue que 7 ou 8 ce qui pour moi est bien trop peu pour que ça ait du sens.
01:42 En parallèle pour qu'il y ait remontada il ne faut pas que l'équipe ait été trop performante en début de saison
01:47 voilà pourquoi je n'ai sélectionné que des teams qui avaient un bilan inférieur à 2/3 de win au moment du all star game pour
01:52 effectuer mes calculs. Tout ça jusque là ça me paraissait nécessaire et même logique pour faire un premier trait.
01:57 Vient ensuite le critère qui pour moi est le plus important et qui départagera les équipes en cas d'égalité la différence de pourcentage de victoire.
02:04 Pour ça j'ai calculé le taux de win pré all star break et post all star break puis j'ai fait une soustraction.
02:09 Plus la différence sera grande et plus la remontada aura eu d'importance.
02:12 Voilà pourquoi ce critère qui me paraît primordial sera noté sur 10 étoiles.
02:17 Déjà ça parmi toutes les équipes que j'ai étudié ça permettait d'en dégager un bon petit paquet qui était super intéressante.
02:22 C'est ainsi que j'ai ajouté des critères secondaires à commencer par le nombre de sélections all NBA ou all defensive.
02:27 Ouais je me dis que si une team a réussi en fin de saison à faire en sorte que plusieurs de ses joueurs
02:31 soient élus c'est qu'elle a grave assuré sur la deuxième partie et que la remontada a bel et bien été marquante.
02:37 Ensuite j'ai pris en compte le classement. Pour moi une remontada ne sert à rien si au final
02:40 l'équipe termine à la dixième place de la conférence.
02:42 Voilà pourquoi j'ai ajouté des étoiles bonus pour toutes les teams qui ont réussi à finir avec l'avantage du terrain dans leur conf.
02:48 Quatre pour celles qui ont fini à la première place, trois pour celles qui ont fini à la deuxième et ainsi de suite jusqu'à la quatrième place.
02:53 Enfin histoire de concrétiser le tout je me suis dit que la cerise sur le gâteau quand tu faisais une telle remontada en saison
02:58 c'était ensuite d'assurer en playoff. Là encore j'ai ajouté une étoile bonus par tour atteint.
03:02 En gros si ton équipe échoue au premier tour tu gagnes une étoile, au deuxième deux étoiles et ainsi de suite jusqu'à obtenir
03:08 cinq étoiles pour les équipes qui ont fini championne. Là déjà je commençais à avoir une équation plus complexe qui m'intéressait plus et qui surtout
03:14 donnait des résultats beaucoup plus intéressants et peut-être même plus juste, plus cohérent.
03:19 Ensuite je n'ai plus qu'à faire du tri parmi les équipes en fonction de mes conditions, à rentrer toutes les données
03:24 et voir ce que le tableur allait me fabriquer. Bon tout ça comme d'habitude ça m'a pris du temps, ça a été laborieux, il a fallu
03:29 tout revérifier plusieurs fois aussi pour être sûr de mes statistiques
03:32 mais ça m'a donné un top 6 et ce top 6 bien évidemment à partir de maintenant je vais vous le présenter.
03:37 Et pour commencer à la sixième place il faut qu'on parle du Miami Heat 2004.
03:42 Il faut dire aussi que l'équipe coachée par Stan Van Gundy au moment du All-Star Break affichait un bilan
03:46 catastrophique de 22 victoires pour 32 défaites. Triste quand on voit que dans l'effectif il y avait des joueurs comme Eddie Jones,
03:51 Karon Butler, Brian Grant ou encore la mare d'homme qui entourait un boino et de rookies. Et pourtant après le All-Star Break
03:56 cette team a largement relevé la tête pour obtenir un bilan de 20 wins pour seulement 8 défaites qui lui donne déjà
04:03 7 étoiles dans le domaine. Même si elle n'a eu personne dans les All-NBA team elle a quand même fini à la quatrième place à l'Est
04:08 ce qui lui donne avec l'avantage du terrain une étoile supplémentaire selon Mombaren.
04:12 Pour finir en accédant au playoff en sortant les Hornets au premier tour en sept matchs puis en perdant face aux Pacers 4-2 au deuxième tour
04:18 ce 8 2004 obtient deux étoiles de plus pour un total de 10 qui déjà est très intéressant.
04:23 Tout ça évidemment ce sera le sujet de toute façon aujourd'hui grâce à une énorme deuxième partie de saison.
04:27 Mais que s'est-il passé du coup pour un tel revirement, un tel renversement de situation ?
04:31 Passer de 40% de win avant le All-Star Break à plus de 71% ensuite ça pèse quand même c'est assez énorme on est à la limite du tremblement de terre.
04:39 Et bien je pense que c'est au moins partiellement dû déjà à une montée en puissance du rookie qui était Dwyane Wade.
04:47 Peu à peu ses moyennes de points augmentent jusqu'à atteindre un score supérieur à 19 sur le mois de février
04:51 tandis qu'au fur et à mesure Stan Van Gundy qui lui aussi venait d'arriver aux commandes arrive à développer une alchimie
04:56 grâce notamment à un Lama Odom incroyable de polyvalence cette année là, omniprésent au scoring mais aussi au rebond et au playmaking.
05:04 En fait cette remontada elle s'est faite de manière progressive dans une équipe bien renouvelée qui à la base manquait pas mal de vécu collectif.
05:11 Odom venait d'arriver en provenance des Clippers et il lui a fallu du temps pour prendre le lead et impliquer les autres.
05:15 Ça s'est vu avec aucune victoire sur les 7 premiers matchs avant d'atteindre un bilan de 5-15 puis de faire un excellent mois de mars à 12 victoires pour 3 défaites,
05:23 une série de 17 wins sur les 21 derniers matchs et grimper dans les classements.
05:27 Et là où Miami s'en est plutôt bien sorti c'est que malgré un bilan général plutôt moyen, 42 victoires pour 40 défaites,
05:33 l'équipe a tout de même terminé à la 4ème place de la conférence Est qui était plutôt faible à l'époque.
05:38 Pour moi la clé est vraiment venue de 3 hommes, un Dwyane Wade qui peu à peu s'adaptait au rythme de la NBA,
05:43 un Lama Odom qui a appris vraiment à prendre le contrôle de l'équipe et un Stan Van Gundy qui a mis tout le monde dans les bonnes conditions.
05:50 Cette bonne forme elle s'est vite confirmée en playoff avec un flash qui continuait son ascension en tournant à plus de 21 points par match sur le 2ème tour
05:56 et qui déjà montrait de façon prometteuse qu'il avait des chances de s'afficher comme l'un des futurs grands joueurs de la ligue.
06:01 Son game winner lors du match 1 au 1er tour contre les Hornets alors qu'il n'était que rookie restera vraiment dans les annales, un vrai petit bijou.
06:08 Alors ok ça n'a pas suffit pour se qualifier en finale de conférence et vaincre les Pacers en demi finale de conf,
06:13 mais tout de même qui aurait imaginé que cette équipe qui était incapable de mettre un pied devant l'autre pendant les 7 premiers matchs de la saison
06:19 se qualifierait finalement au 2ème tour des playoffs ? Personne, la remontada était donc réelle.
06:25 Malheureusement ce roster bien sympathique fut désingué l'été suivant avec Odom, Grant et Butler qui furent tous les 3 transférés vers les Lakers pour faire venir Shaquille O'Neal.
06:32 Mais vu que ça a permis à l'équipe Floridienne de remporter le titre en 2006, personne n'en voudra à pas trahiler d'avoir fait ce move du côté de Miami.
06:39 Alors même si l'aventure commune fut brève, je trouve tout de même ça complètement logique de retrouver ce hit 2004 dans notre top 6 du jour vu le parcours que la team a pu vivre.
06:47 Maintenant pour la place numéro 5, on va faire un vrai bond dans le passé pour parler des Bulls de 1977.
06:53 Là dans le roster il y avait eu un gros changement vu que Artis Gilmore, légende de la ABA, venait d'arriver à Chicago après la fusion entre les deux ligues.
07:00 Mais le déroulement de la saison nous montre que malgré tout son talent, il lui a fallu du temps pour trouver sa place parmi les autres membres de l'effectif,
07:06 auxquels on pouvait retrouver pourtant de bons joueurs comme Bob Love, Mickey Johnson ou encore Norm Van Leer.
07:10 L'équipe en arrivant au moment du All-Star break affichait un bilan de 23 victoires pour 32 défaites,
07:15 et définitivement il était très compliqué de les imaginer faire quoi que ce soit par la suite.
07:19 Il faut préciser aussi que la franchise venait d'être vendue à Arthur Virts, propriétaire des Black Hawks en NHL, au hockey sur glace,
07:26 qui soyons honnêtes n'en avait absolument rien à battre du basket, sa priorité c'était le hockey.
07:31 Il a ainsi diminué drastiquement tous les budgets des Bulls et forcément ça n'a pas facilité la tâche de notre équipe de Chicago en 1977.
07:38 Et pourtant sous la houlette d'un Gilmore qui peu à peu s'est adapté à la NBA,
07:42 en réalisant un énorme mois de mars à 21 points et 14 rebonds, les Bulls ont déjoué tous les pronostics,
07:47 en enchaînant 20 wins sur les 28 matchs qui ont suivi l'All-Star break, soit un différentiel de plus de 35%,
07:52 qui leur offre 8 étoiles dans le domaine.
07:54 Ajoutons à ça un Norm Van Leer, élu en first team All-Defensive et une qualification au premier tour des playoffs,
07:59 et hop, on a déjà un total de 10 étoiles.
08:01 Malheureusement les Bulls qui étaient à l'ouest à l'époque, malgré leur bilan de 44-38,
08:04 ne purent pas finir au-delà de la 6ème place de la conférence,
08:07 ce qui les mena à affronter les Blazers, futurs champions NBA, au premier tour,
08:11 lors duquel ils furent défaits sur le score de 2 matchs à 1.
08:13 Gilmore a eu beau faire tout ce qu'il pouvait dans cette série,
08:15 avec un game 2 à 27 points, 11 rebonds et 5 contres, face à Bill Walton, il n'a pas fait le poids.
08:20 N'empêche que pour une team qui à un moment dans la saison avait enchaîné 13 défaites consécutives,
08:25 arriver à ce stade là c'était déjà très lourd.
08:28 C'est vraiment leur série de 20 victoires sur les 24 dernières rencontres de l'exercice
08:31 qui leur a définitivement permis de relever la tête,
08:34 et de finir du coup à la 5ème place de notre classement du jour.
08:36 Le problème c'est qu'ensuite, cette franchise, complètement délaissée par son proprio,
08:40 n'ira plus en playoffs jusqu'en 1980, après cette remontada.
08:44 Mais peu importe, ce qu'il faut retenir c'est qu'en 1977, autour de Gilmore, l'équipe s'est soudée,
08:48 et ça lui a permis de performer de façon démentielle en deuxième partie de saison.
08:52 C'est pour ça que pour moi, cette 5ème place est amplement méritée.
08:55 Pour la place numéro 4 maintenant, nous allons parler des Lakers de 2003.
08:59 Alors que l'équipe était triple championne en titre,
09:01 évidemment tout le monde s'attendait à ce que les Californiens, menés par le duo Kobe-Shaq, défoncent tout à nouveau.
09:06 Le souci c'est que non seulement le diesel a manqué le début de la saison en raison d'une blessure au pied,
09:10 mais qu'en plus, sa relation avec Kobe commençait doucement à se dégrader.
09:13 Puis faut le dire aussi, on s'en rendait compte, avec un Onil absent tout le premier mois,
09:17 cette team n'était définitivement plus la même.
09:20 Elle a tout à un bilan de 3-9 pour commencer, puis seulement 11 victoires sur les 30 premières rencontres de la saison.
09:25 Pour une franchise censée être si dominante, c'était faible, très faible.
09:29 Pour résumer, de toute façon, s'il y a une stat à retenir, c'est que c'était tout simplement leur pire début de saison depuis 10 ans.
09:34 Après, même si les choses ont commencé à aller bien mieux avec le retour de Shaq,
09:37 au moment du All-Star break, cette équipe n'affichait un bilan que de 24 victoires pour 23 défaites.
09:41 Encore une fois, c'était décevant pour des Lakers qui étaient triple champion.
09:44 On ne va pas se mentir, ils ne se classaient qu'à la 9ème place d'une conférence ouest qui était très disputée,
09:49 et peu de monde les imaginait autant en difficulté à la mi-saison.
09:53 Sauf qu'en février, le Mamba a décidé de sortir de sa boîte, et pas qu'un peu,
09:57 portant les siens dans son sillage et enchaînant 9 matchs de suite à 40 points ou plus.
10:01 Une dinguerie.
10:02 Résultat, les Lakers compilent les wins et finissent la saison en trombe avec un bilan de 21-6 post-All-Star break,
10:08 un différentiel de 23%, qui leur donne 4 étoiles dans le domaine.
10:11 Alors ouais, 4 étoiles, c'est faible, mais c'est aussi surtout dû au fait que la remontada avait commencé bien avant la pause du All-Star.
10:17 Sauf qu'au final, avec Kobe et Shaq élus à la fois dans les team All-NBA et All-Defensive,
10:21 les Californiens choppent direct 4 étoiles supplémentaires.
10:23 Et ça, ça a du sens.
10:24 Ça montre à quel point, malgré un début de saison compliqué,
10:26 les deux hommes, malgré leurs différents, ont réussi à tout dominer lors de la deuxième partie de saison.
10:31 Tout ça, ça a permis à ces Lakers de terminer à la 4ème place de l'Ouest, pour une étoile supplémentaire,
10:35 et même d'accéder au deuxième tour des playoffs, pour un total global de 11.
10:39 Malheureusement pour eux, à cette étape-là, après avoir sorti les Wolves de Kevin Garnett au premier tour,
10:43 l'équipe échoua ensuite face aux Spurs, futurs champions NBA en demi-finale de conférence,
10:47 en 6 matchs, face à un team Dunkan de Gala.
10:49 C'est dommage en vrai, car avec leur remontada et leur super forme affichée en deuxième partie de saison,
10:53 tout le monde commençait à imaginer qu'ils seraient capables de faire le quadruple.
10:57 Et puis on le cache pas, c'est vrai que quand on a vu ces Lakers enchaîner 11 victoires sur les 13 derniers matchs,
11:02 toute la ligue s'est mise à trembler.
11:04 Mais la saison suivante, Robert Torrey partit aux Spurs,
11:06 tandis que les Californiens, eux, élaborèrent une super team,
11:09 en faisant venir Karl Malone et Gary Payton.
11:11 La guerre d'ego entre Kobe et Shaq prit trop de place,
11:13 ce qui mena l'équipe à une défaite en finale en 2004, puis un départ du pivot l'été suivant.
11:17 Ouais, c'était la fin d'une ère, mais ce que l'on retiendra tout de même,
11:20 c'est que les deux hommes, en 2003, ont su mettre de côté leur brouille
11:23 pour faire une remontada qui définitivement aura marqué l'histoire.
11:26 Pour être totalement franc, je dois vous dire que je ne m'attendais pas à retrouver les Lakers si haut dans ce classement,
11:30 mais quand on prend du recul, et quand on se rappelle du contexte,
11:33 moi je trouve que c'est vrai, cette 4ème place, elle est quand même vraiment méritée.
11:36 Là, ça va être l'heure de parler du podium,
11:38 mais avant ça, vous connaissez, il faut que je vous pose la traditionnelle question,
11:42 êtes-vous bien abonné à cette chaîne ?
11:44 Si ce n'est pas le cas, et que vous aimez mon contenu sur Youtube,
11:46 je vous invite définitivement à le faire, dès maintenant.
11:48 C'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi, ça veut dire beaucoup,
11:51 surtout vu comment les gens désertent la plateforme ces derniers temps,
11:54 y'a pas mal de gros créateurs qui en ont parlé.
11:56 Alors on y va, on va lâcher son pouce vers le haut,
11:58 on va cliquer sur ce foutu bouton rouge,
12:00 et moi, en échange, je n'aurai plus qu'à vous remercier du fond du cœur.
12:03 Thank you my friends.
12:05 Mais bref, passons au podium, et pour la place numéro 3,
12:07 nous n'allons pas remonter trop trop loin dans le passé,
12:10 vu que l'on va parler des Sixers 2018.
12:12 Autour d'Ambidecimons, l'équipe ne présentait pourtant pas un bilan catastrophique
12:16 au moment du All-Star Break, 30 victoires pour 25 défaites.
12:18 Sauf que la deuxième partie de cet exercice fut juste phénoménale pour Philly,
12:22 avec un bilan de 22-5 post-All-Star Break,
12:25 et une série de 17 victoires consécutives pour conclure la saison.
12:28 La différence de pourcentage offre directement 5 étoiles.
12:30 En bouclant cette campagne sur un bilan de 52-30,
12:33 la franchise de Pennsylvania a juste réalisé son meilleur exercice
12:36 depuis la fameuse saison de 2001, avec Alana Iverson,
12:39 où ils sont allés jusqu'en finale NBA.
12:41 En 2018, ce qui avait pêché pour commencer, c'était d'abord les incertitudes
12:44 liées à la draft de Mark Elfouls,
12:46 qui non seulement a été blessé la majeure partie de la saison,
12:48 mais qui en plus de ça, à son arrivée dans l'équipe,
12:50 n'a absolument pas répondu aux attentes,
12:52 peinant à s'intégrer avec un shoot définitivement en chantier.
12:55 Il y a mieux comme situation pour créer de la confiance.
12:57 Et puis quand on sait que s'ils n'avaient pas transféré leur pic,
12:59 les dirigeants de Philly, avec ce choix,
13:01 auraient pu drafter Jason Tatum,
13:03 ouais, chez les fans des Sixers, il y avait de quoi rager.
13:05 *Cris de rage*
13:09 Néanmoins, après un temps d'adaptation nécessaire
13:11 entre toutes les nouvelles pièces, et un Ben Simmons par exemple,
13:14 qui était rookie, cette team, alors coaché par Brett Brown,
13:17 a développé une alchimie qui faisait vraiment plaisir à voir sur le terrain.
13:20 Autour de roleplayers comme Robert Covington, Dario Saric,
13:22 ou encore TJ McConnell, les Sixers se sont mis à jouer un basket
13:25 hyper défensif, mais aussi très huilé offensivement,
13:28 avec chacune des pièces qui assumait son rôle à la perfection.
13:31 Cela leur a finalement permis d'atteindre la 3ème place de l'Est,
13:33 pour obtenir 2 étoiles supplémentaires.
13:35 Et puis vous vous en doutez, cette super forme de fin de saison,
13:38 elle n'est pas passée inaperçue, et la NBA n'a pas hésité à la récompenser.
13:41 Joel Embiid fut élu All-NBA et All-Defensive second team,
13:44 tandis que Robert Covington, de son côté,
13:46 décrochait les honneurs de la Defensive First team.
13:49 Pour aller plus loin, même si ça n'apportera pas d'étoiles supplémentaires,
13:51 on pourra même noter que Ben Simmons a terminé rookie de l'année.
13:54 Définitivement, l'équipe de Philadelphie, au niveau des awards, avait tout raflé.
13:58 Surtout qu'en fait, le management, en cours de saison,
14:00 avait fait du très bon taf pour renforcer le roster,
14:02 et ça c'est essentiel de le préciser.
14:04 Avant la deadline, ils font venir Marco Bellinielli et Ersan Ilyasova,
14:07 qui en termes de shoot et d'expérience, apportent finalement tout ce qu'il manquait à cette équipe.
14:11 Le danger pouvait ainsi venir de partout,
14:13 et c'est bien ça qui a permis aux Sixers de s'y bien finir.
14:16 Quand ça n'allait pas, les deux Européens étaient hyper présents dans les moments clutch,
14:20 et définitivement, ils ont joué un très gros rôle dans cette remontade.
14:23 Ajoutons à ça un JJ Redick, au sommet de son art,
14:26 qui est monté en puissance tout au long de cet exercice,
14:28 et oui, il y avait vraiment de quoi espérer à ce moment-là chez les fans de Philly.
14:32 Malheureusement, en playoff, après une victoire 4-1 face à Miami au premier tour,
14:35 le manque d'expérience des jeunes cadres, qui étaient alors ambidecimants,
14:38 a coûté cher au deuxième round, dans la déconvenue en 6 matchs reçus face aux Celtics.
14:42 Peu importe, ce joli parcours apporte tout de même deux étoiles de plus à nos Sixers 2018.
14:46 Franchement, quand on voit le contexte, et surtout cette espèce de cohésion
14:49 qui s'est vraiment développée jusqu'à atteindre des sommets au fil de la saison,
14:53 je trouve ça cool de retrouver cette équipe-là, même si je ne m'y attendais pas.
14:56 Le souci, c'est que malgré le potentiel certain de cette team,
14:58 qui jouait un vrai beau basket collectif, l'effectif fut démantelé au cours de l'année suivante,
15:02 pour faire venir Jimmy Butler et Tobias Harris, qui finalement ne firent pas mieux en 2019,
15:06 avec ce fameux échec au deuxième tour face aux Raptors, futurs champions.
15:09 Aujourd'hui, pas mal de fans des Sixers regrettent cette époque,
15:12 et même si c'est vrai, le talent disponible était limité,
15:15 le basket proposé était vraiment beau à voir.
15:17 La team était pleine de guerriers, prêts à en découdre,
15:20 mais soyons honnêtes, le potentiel était sûrement trop limité
15:23 pour espérer viser plus haut qu'un deuxième tour.
15:25 Quoi qu'il en soit, c'est chouette tout de même de voir cette belle aventure récompensée
15:29 en obtenant la troisième place de notre classement du jour.
15:31 Maintenant, la deuxième place, et en tant que dauphin, nous allons retrouver les fameux Nuggets de 2005.
15:36 Et là, si vous voulez parler de remontada, on en a une belle de remontada.
15:40 Vous voulez des chiffres ? Eh bien je vais vous en donner.
15:42 Cette team, formée autour de Carmelo Anthony, André Miller, Kenyon Martin et Marcus Kamby,
15:45 qui avait commencé sa saison sur un 24-29, a juste fini sur un phénoménal 25-4,
15:50 soit un différentiel de plus de 40%, le plus grand que j'ai pu calculer aujourd'hui,
15:54 et qui offre direct 10 étoiles à cet effectif.
15:57 Malheureusement, le reste n'est pas hyper glorieux.
15:59 La 7ème place obtenue à l'Ouest n'apporte aucune étoile supplémentaire,
16:03 tandis que l'élimination au premier tour n'apporte qu'une seule de plus.
16:06 Ajoutons à ça que seul Marcus Kamby a été récompensé en fin de saison dans les All Defensive Teams,
16:11 et nous arrivons à un total de 12.
16:13 On avoue, c'est dommage, car clairement, la remontada était folle,
16:15 et cette équipe aurait décemment pu viser la première place aujourd'hui.
16:18 C'est d'ailleurs ce à quoi je m'attendais.
16:19 Mais finalement, finir si bas dans le classement, sans avoir concrétisé en playoff,
16:23 c'est un handicap pas mal ses nuggets, et c'est normal je trouve.
16:25 Un comeback est bien plus beau s'il t'emmène loin,
16:28 plutôt que si tu perds 4-1 au premier tour face aux Spurs dès le début des playoffs.
16:31 N'empêche que quand même, cette équipe, il faut la créditer un minimum
16:34 pour avoir su se remettre en question après tout un tas de rebondissements.
16:38 Autour d'un mélo très jeune, seulement 20 ans en ce temps, l'équipe n'arrivait pas à se trouver.
16:42 C'est ainsi qu'au bout de seulement 18 matchs, le coach Jeff Delic fut remercié,
16:46 remplacé par un Michael Cooper en intérim, écarté à son tour,
16:49 4 victoires et 10 défaites plus tard.
16:51 Un vrai point de plus pour commencer une saison.
16:53 Si vous voulez entendre parler de départ chaotique,
16:55 avec ses nuggets de 2005, nous avons de très très bons clients.
16:58 Mais c'est là que sur son fier destrier, le sauveur est arrivé, j'ai nommé George Carl.
17:06 Le tacticien a pris les choses en main et a complètement réussi à retourner les situations,
17:10 faisant en sorte de faire jouer ensemble des joueurs au très fort caractère,
17:13 pour grimper, grimper, grimper dans les classements, jusqu'à atteindre un joli total de 49 victoires,
17:18 ce qui ne suffit malheureusement pas pour viser plus haut que la 7ème place dans cette conférence ouest hyper dense à l'époque.
17:23 Peu à peu, le coach a réussi à intégrer Kenyon Martin dans le dispositif,
17:26 alors qu'il venait d'arriver et de faire de Carmelo Anthony, sauf au mort, une future superstar en puissance.
17:32 Ajoutons à ça à la baguette, un André Miller, qui quand il était dans de bonnes dispositions,
17:36 distribuait le jeu comme personne, et un Marcus Kemby en monstre défensif dans la peinture,
17:40 et oui, dans ce roster, tout est soudainement devenu complémentaire, tout a cliqué.
17:44 Et pourtant, il faut se l'avouer, le début de saison catastrophique,
17:48 et l'enchaînement des coachs chez C'est Nuggets ne semblait laisser aucune chance à cette équipe.
17:53 Au final, il aura juste fallu que George Carle débarque, trouve la formule magique, et fasse jouer tout le monde ensemble, c'est très fort.
17:59 D'ailleurs, en playoff, en remportant le premier match de la série à l'extérieur face aux Spurs,
18:02 beaucoup se sont mis à juste titre à croire en C'est Nuggets,
18:05 mais le collectif de coach Popovic était bien mieux huilé, et surtout bien plus expérimenté.
18:09 Denver échoua en 5 matchs, et ne vit pas le jour lors des 4 rencontres suivantes.
18:13 La belle histoire alors écrite par Carle et ses troupes s'arrêtait alors de façon très brutale à ce stade là de la compétition.
18:19 Il aura donc manqué cette petite cerise sur le gâteau des playoff pour valider, pour C'est Nuggets, une immense remontada réalisée en saison régulière.
18:26 C'est ainsi que la première place leur échappe pour cette raison,
18:29 mais tout de même, avec un total global de 12 étoiles, cette deuxième place dans le classement du jour me semble complètement méritée.
18:35 Et du coup, pour la première place, est-ce que vous l'aviez prévue ?
18:38 Je dois avouer que moi je m'en doutais fort, avec des Celtics 2022, qui eux, l'année dernière,
18:43 ont définitivement validé leur comeback en accédant carrément au final NBA.
18:47 Pour la première saison de Hime Udoka aux commandes, l'équipe a mis du temps à rouler, c'est le moins que l'on puisse dire,
18:51 vu qu'au bout de 35 matchs, cette team qui pourtant débordait de talent,
18:55 avec son duo Jason Tatham, Jylen Brown, n'affichait à son compteur que 16 petites victoires.
18:59 Et on s'en rappelle là maintenant, en prenant un peu de recul, c'était compliqué à voir le jeu des Celtics sur le terrain.
19:04 Tatham était en mode gros forceur, après l'élimination précipitée l'année passée au premier tour face aux Nets,
19:09 il voulait prouver des choses et ne laissait pas le jeu venir à lui,
19:12 tandis que Jylen Brown, à ses côtés, galérait à trouver sa place.
19:15 Heureusement, un déclic dû à un coup de gueule de Marcus Smart,
19:18 qui d'un coup s'affichait comme un pro du playmaking,
19:20 ainsi qu'à l'arrivée de Derrick White, qui a fait un bien énorme en sortie de banc,
19:24 à la place d'un Josh Richardson ultra décevant, a tout à coup remis tous les éléments à leur place de façon incroyable.
19:30 Le bilan de 34-26 au moment du All-Star Game était déjà bien meilleur pour cette team de Boston,
19:36 mais ce n'était que le début.
19:37 L'équipe s'est mise à jouer ensemble, et surtout autour de son duo d'intérieur à l'orfhord Robert Williams,
19:41 elle s'est mise à défendre de façon acharnée, défonçant tout sur son passage,
19:45 pour remporter 17 de ses 22 matchs post-All-Star break.
19:48 Bon, ce différentiel ne leur donne que 3 étoiles, vu que le comeback en réalité a commencé 3 semaines avant la pause,
19:53 mais quand même, on assistait à une vraie remontada.
19:56 Boston a ainsi terminé à la 2ème place de la Conférence Est, alors qu'il faut le dire,
20:00 en début de saison, personne ne les attendait si haut.
20:03 Ça leur donne 3 étoiles de plus.
20:04 En parallèle, Tatum a été élu en First Team, Rob Williams en Defensive Second Team,
20:08 et Marcus Marth, élu en Defensive First Team de son côté, a même reçu le trophée de Deep Oil.
20:12 Les awards pleuvaient, et ça, ça fit à Boston encore 3 étoiles supplémentaires.
20:17 Mais surtout, contrairement à toutes les équipes que l'on a abordées jusque-là,
20:20 la vraie différence s'est faite en Play-Off, où cette remontada a définitivement été validée.
20:25 Cette team, tout au long de la saison, avait réussi à se créer un cœur, une âme,
20:28 et un jeu collectif incroyable qui leur a permis de sweeper les nets au premier tour
20:31 avant de venir à bout des bucks, et du 8, dans des séries complètement épiques
20:35 qui sont allées jusqu'au match 7.
20:37 Autant être honnête, ce parcours a fait rêver tous les fans de Boston.
20:40 A chaque match, vous pouvez chercher, tout le monde était impliqué,
20:43 de Peyton Pritchard jusqu'à Grant Williams, on trouvait un nouveau héros.
20:46 Hime Udoka avait juste réussi à sublimer le niveau de ses stars
20:49 tout en taillant un costume sur mesure à tous ses roleplayers,
20:52 et eux, ils adoraient ça, c'était juste super beau à voir sur le terrain.
20:56 Malheureusement pour eux, l'aventure s'arrêta en finale, en 6 matchs,
20:58 face aux Warriors d'un Stephen Curry intouchable,
21:00 contre une team bien plus expérimentée pour ce qui était des gros rendez-vous.
21:04 Mais ce n'était pas grave, les Celtics avaient complètement réussi à marquer cette saison de leur empreinte.
21:08 En menant 2-1 même dans la série, ils ont même pu croire brièvement au titre,
21:12 et vu les difficultés connues au début de la saison, chapeau à eux pour ça.
21:16 Pendant cet exercice, un vrai groupe s'est créé, solidifiant des liens entre les joueurs
21:20 qui permettait d'être vraiment optimiste pour la suite.
21:22 Ça d'ailleurs, on en a la preuve actuellement,
21:24 et même la nomination de Joe Mazzuola pour succéder à Hime Udoka,
21:27 suite à ses déboires, n'y a rien changé.
21:29 Au moment où je tourne cette vidéo, les 6 continuent sur leur lancée,
21:31 en présentant tout simplement le meilleur bilan de la NBA,
21:34 et en s'affichant comme l'une des teams favorites pour le titre 2023.
21:37 Comme quoi, c'est dans la difficulté qu'on soude un groupe,
21:39 et ces Celtics, qui s'affichent à la première place de mon ranking d'aujourd'hui,
21:42 nous l'ont bien prouvé la saison passée.
21:44 Pour moi, quand on se rappelle du contexte,
21:46 autour de cette équipe du Massachusetts l'an dernier,
21:48 cette première place est amplement méritée.
21:50 Alors voyons maintenant si cette saison,
21:52 ils arriveront à aller au bout de leurs rêves.
21:54 L'aventure serait belle.
21:56 Mais bref, là, si je fais le bilan un petit peu,
21:58 je me rends compte que je suis plutôt content de mon top 6.
22:00 Bien sûr, j'aurais pu simplifier les choses,
22:02 et juste calculer la différence de win
22:04 pré All-Star break et post All-Star break,
22:06 mais moi ça ne me convenait pas.
22:07 Dans ce cas, c'est vrai, les Nuggets de 2005 seraient arrivés à la première place,
22:10 mais pour moi, le fait qu'ils n'aient pas su concrétiser en playoff,
22:13 rendait leur aventure moins marquante.
22:14 Bon, ils finissent à la deuxième quand même, c'est extrêmement bien,
22:17 mais à mes yeux, pour qu'une remontada soit vraiment valable,
22:20 soit vraiment marquante, oui, il faut la concrétiser,
22:22 et la valider en post-season.
22:24 Après, ouais, je dois le dire, ces chiffres m'ont apporté quelques surprises,
22:27 avec certaines teams que je ne m'attendais pas à voir si haut,
22:29 ou encore d'autres que j'imaginais dans le classement,
22:31 et qui ne sont pas apparues.
22:32 Sauf qu'au final, si on prend du recul,
22:34 et qu'on étudie le contexte, qu'on se rappelle des critères aussi,
22:36 je trouve que ces 6 premiers, ça a du sens de les mettre dans cet ordre-là,
22:39 et de les faire apparaître dans ce top.
22:41 Maintenant, je le sais, j'ai l'habitude, je sais,
22:43 il y aura toujours des râleurs, ou des curieux,
22:45 qui vont me dire "mais pourquoi il n'y a pas cette équipe,
22:47 il y a un truc qui ne va pas, etc, etc."
22:49 Voilà pourquoi maintenant, je vous affiche quand même le top 25,
22:51 que mes données ont créé, et là encore,
22:53 je suis content de retrouver finalement la plupart des équipes que j'attendais.
22:55 Est-ce que pour vous, il manque quelqu'un ?
22:57 Y a-t-il des blasphèmes ? Auriez-vous pris d'autres critères ?
22:59 Vous me direz ça.
23:01 En tout cas, moi, mon top 25, avec ces critères-là,
23:03 il est présent ici.
23:04 Observons désormais, cette saison,
23:06 si des Lakers, des Warriors,
23:08 ou même une autre équipe qui aurait mal commencé,
23:10 arrivera à atteindre ce top 25.
23:12 Et perso, j'ai très hâte d'observer ça.
23:14 Voilà pour ce qui est des plus grosses remontades à All Time,
23:18 voilà pour ce qui est de ce nouvel Overtime.
23:20 Vous en pensez quoi, vous, de ce top 6 ?
23:22 Et personnellement, quel est le comeback
23:24 qui vous a le plus marqué dans toute l'histoire
23:26 post-All-Star Break ?
23:27 Dites-moi tout ça en commentaire, ça m'intéresse toujours autant.
23:29 Et pour finir, vous connaissez les bails,
23:31 on s'abonne à la chaîne, on active la cloche pour recevoir les notifications,
23:33 on lâche un maximum de pouces bleus,
23:35 et on rédige ces meilleurs codes.
23:37 Big up en tout cas à tous ceux qui sont restés jusque-là dans la vidéo,
23:39 c'est super utile pour le watchtime, pour le référencement
23:41 et la mise en avant sur YouTube,
23:43 et merci à tous ceux qui continuent à soutenir sur Twitch et sur Tipeee.
23:45 Comme je vous l'expliquais tout à l'heure,
23:47 en ce moment, pour la plupart des créateurs,
23:49 les temps sont durs sur YouTube.
23:51 Voilà pourquoi votre soutien est le bienvenu.
23:53 Alors pour ça, bien sûr, toutes les infos seront dans la description.
23:55 A très vite !
23:57 [Musique]