• l’année dernière
En assurant que certaines mères choisissaient d’être AESH « pour avoir les mercredis et vacances scolaires », la suppléante de Gabriel Attal s’est attirée les foudres de la gauche. Avant de s’expliquer et revenir sur ses propos ce samedi.

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Transcription
00:00 Je voulais prendre la parole au sujet des AESH.
00:02 Vous oubliez, chers collègues, que la vie, elle est faite de choix.
00:05 Et que moi, personnellement, je connais beaucoup d'AESH.
00:07 Ce sont des mères qui ont arrêté de travailler à une époque
00:10 pour s'occuper de leurs enfants.
00:11 Elles choisissent ce statut pour avoir les mercredis,
00:14 les vacances scolaires et elles assument.
00:16 C'est un choix. Voilà.
00:18 Et elles sont heureuses de ce qu'elles font.
00:20 Arrêter de victimiser les professions.
00:21 C'est tout. La vie est faite de choix.
00:25 Je ne pensais pas réagir sur les AESH,
00:27 mais je crois qu'on va aller en voir ensemble, chers collègues.
00:29 Parce que la grande revendication des AESH aujourd'hui,
00:32 c'est que leur métier soit pris en considération,
00:34 y compris qu'on considère que ça puisse être des métiers
00:37 de fonctionnaires et non pas des métiers partiels,
00:40 payés très mal.
00:41 Et je pense qu'au moins, au moins,
00:43 il me semble que dans les débats que nous avons eus précédemment,
00:46 on a tous admis cette situation.

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