« Un succès ». Le président des Républicains, Éric Ciotti, et les chefs des groupes parlementaires Olivier Marleix et Bruno Retailleau ont échangé avec la Première ministre au sujet de la réforme des retraites ce jeudi 12 janvier. À sa sortie, Éric Ciotti a annoncé « qu’il y aurait une revalorisation des petites retraites, pour 1 800 000 retraités ».
« C’est un gain social, de justice, que nous avons obtenu » et « ce succès (...) est dû aux Républicains », a affirmé Eric Ciotti, soucieux de souligner le poids de LR dans la négociation du texte. « Nous sommes venus aujourd’hui avec Bruno Retailleau et Olivier Marleix pour confirmer, étayer notre demande. Et à titre principal - on a évoqué plusieurs sujets - de la revalorisation des petites retraites. Pour nous, c’était un point important » a-t-il détaillé.
« Les bases d’un accord sont posées car l’architecture de la réforme est l’amendement que nous votions chaque année » au Sénat, mais « on a des exigences », a insisté Bruno Retailleau.
Dès l’annonce du projet de la réforme par la première ministre ce mardi, les trois chefs des Républicains s’étaient félicités d’avoir été « entendus » tout en demandant des garanties. L’exécutif compte sur le parti de droite pour faire passer le projet sans devoir recourir à un 49.3. Mais plusieurs voix de l’aile modérée du parti s’étaient élevées pour exprimer des réticences.
« Un sujet déterminant »
Avant leur réunion avec la Première ministre, Olivier Marleix avait fait savoir que la question de « la revalorisation des petites retraites » pour l’ensemble des retraités, futurs et actuels, était « un sujet déterminant, impératif ».
Les Républicains n’ont cessé de demander des garanties sur les petites pensions. Le gouvernement assure qu’il va les relever à près de 1 200 euros, ce qui correspond à 85 % du Smic net, pour les futurs et actuels retraités. Mais comme il s’agit d’un montant brut, donc avant prélèvements sociaux, tous ne sont pas dans la même situation.
Le président du groupe à l’Assemblée, Olivier Marleix, s’est également félicité de la « garantie » que « l’argent des cotisations ira exclusivement aux retraites » sans « hold-up de l’Etat sur les réserves des caisses de retraites ».
Il a répété que LR « déposera(ait) un amendement » pour que, une fois atteint les 63 ans d’âge de départ à la retraite, « on fasse le bilan de la réforme » notamment pour les séniors. « D’autres points seront débattus dans l’hémicycle » comme les carrières longues ou le nombre d’annuités, a assuré Éric Ciotti.
« C’est un gain social, de justice, que nous avons obtenu » et « ce succès (...) est dû aux Républicains », a affirmé Eric Ciotti, soucieux de souligner le poids de LR dans la négociation du texte. « Nous sommes venus aujourd’hui avec Bruno Retailleau et Olivier Marleix pour confirmer, étayer notre demande. Et à titre principal - on a évoqué plusieurs sujets - de la revalorisation des petites retraites. Pour nous, c’était un point important » a-t-il détaillé.
« Les bases d’un accord sont posées car l’architecture de la réforme est l’amendement que nous votions chaque année » au Sénat, mais « on a des exigences », a insisté Bruno Retailleau.
Dès l’annonce du projet de la réforme par la première ministre ce mardi, les trois chefs des Républicains s’étaient félicités d’avoir été « entendus » tout en demandant des garanties. L’exécutif compte sur le parti de droite pour faire passer le projet sans devoir recourir à un 49.3. Mais plusieurs voix de l’aile modérée du parti s’étaient élevées pour exprimer des réticences.
« Un sujet déterminant »
Avant leur réunion avec la Première ministre, Olivier Marleix avait fait savoir que la question de « la revalorisation des petites retraites » pour l’ensemble des retraités, futurs et actuels, était « un sujet déterminant, impératif ».
Les Républicains n’ont cessé de demander des garanties sur les petites pensions. Le gouvernement assure qu’il va les relever à près de 1 200 euros, ce qui correspond à 85 % du Smic net, pour les futurs et actuels retraités. Mais comme il s’agit d’un montant brut, donc avant prélèvements sociaux, tous ne sont pas dans la même situation.
Le président du groupe à l’Assemblée, Olivier Marleix, s’est également félicité de la « garantie » que « l’argent des cotisations ira exclusivement aux retraites » sans « hold-up de l’Etat sur les réserves des caisses de retraites ».
Il a répété que LR « déposera(ait) un amendement » pour que, une fois atteint les 63 ans d’âge de départ à la retraite, « on fasse le bilan de la réforme » notamment pour les séniors. « D’autres points seront débattus dans l’hémicycle » comme les carrières longues ou le nombre d’annuités, a assuré Éric Ciotti.
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