Les fidèles supporters de foot ne manquent jamais un seul match et encore moins les grands rendez-vous footballistiques comme l’Euro ou la Coupe du monde.
Mais selon une étude française menée par le CHU de Dijon entre 1986 et 2012 (soit 4 Coupes du monde et 4 Euros durant cette période), les soirs de matchs augmenteraient le nombre d’AVC avec une hausse de 5 à 15% lors des grands événements.
"Notre hypothèse de départ était qu’il y a un plus fort taux d’AVC pendant les compétitions. Or, notre étude a montré que les accidents étaient particulièrement nombreux après les compétitions.
Ce qui est finalement logique puisque les AVC surviennent après l’accumulation d’émotions dont les effets néfastes sont différés." Professeur Maurice Giraud, auteur principal de l’étude.
En effet, les supporters sont tellement absorbés et investis par les matchs, que de telles émotions peuvent nuire à leur santé.
Cette conclusion va dans le même sens qu’une étude allemande menée durant la Coupe du monde 2006 qui avait démontré qu’il y avait 3 fois plus d’infarctus les soirs où l’équipe nationale jouait.
Un pic avait d’ailleurs été atteint lors du match Allemagne-Argentine lors de la séance de tirs aux buts.
Mais en réalité, si l’on regarde les profils des victimes d’AVC, il s’agit majoritairement de personnes âgées de plus de 69 ans, avec une mauvaise hygiène de vie (tabagisme, consommation d’alcool, alimentation grasse….) ou de personnes souffrant d’hypertension, de diabète ou de cholestérol.
Les AVC survenaient généralement dans le mois qui suivait la compétition (au-delà de 15 jours).
Mais selon une étude française menée par le CHU de Dijon entre 1986 et 2012 (soit 4 Coupes du monde et 4 Euros durant cette période), les soirs de matchs augmenteraient le nombre d’AVC avec une hausse de 5 à 15% lors des grands événements.
"Notre hypothèse de départ était qu’il y a un plus fort taux d’AVC pendant les compétitions. Or, notre étude a montré que les accidents étaient particulièrement nombreux après les compétitions.
Ce qui est finalement logique puisque les AVC surviennent après l’accumulation d’émotions dont les effets néfastes sont différés." Professeur Maurice Giraud, auteur principal de l’étude.
En effet, les supporters sont tellement absorbés et investis par les matchs, que de telles émotions peuvent nuire à leur santé.
Cette conclusion va dans le même sens qu’une étude allemande menée durant la Coupe du monde 2006 qui avait démontré qu’il y avait 3 fois plus d’infarctus les soirs où l’équipe nationale jouait.
Un pic avait d’ailleurs été atteint lors du match Allemagne-Argentine lors de la séance de tirs aux buts.
Mais en réalité, si l’on regarde les profils des victimes d’AVC, il s’agit majoritairement de personnes âgées de plus de 69 ans, avec une mauvaise hygiène de vie (tabagisme, consommation d’alcool, alimentation grasse….) ou de personnes souffrant d’hypertension, de diabète ou de cholestérol.
Les AVC survenaient généralement dans le mois qui suivait la compétition (au-delà de 15 jours).
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