Un nouveau lien de causalité entre le football et la démence a été prouvé.
D’après une étude de l’Université de Glasgow, les risques de démence augmentent chez les footballeurs en raison des coups de tête répétés.
En moyenne, un joueur professionnel réalise 600 têtes par an (soit 12 par semaine).
Or, les jeux de tête constituent une répétition de traumatismes crâniens qui peuvent avoir des effets à long terme.
Les défenseurs seraient les plus exposés avec un risque de démence 5 fois plus élevé que la normale.
À l’inverse, les gardiens de but ont un risque de maladie neurodégénérative quasi-équivalent à celui du reste de la population.
Ainsi, l’étude montre que les risques de démence dépendent du poste des joueurs ainsi que de la durée de leur carrière.
Déjà en 2019, une étude britannique montrait que les footballeurs professionnels avaient environ 3,5 fois plus de chance d’être victimes d’une maladie neurodégénérative par rapport au reste de la population.
- Ils ont 5 fois plus de chance de développer la maladie d’Alzheimer.
- 4 fois plus de chance de développer une maladie neuro-motrice.
- 2 fois plus de chances de développer la maladie de Parkinson.
Preuves à l’appui, plusieurs cas de démence ont été rapportés chez des ex-footballeurs.
3 membres de l’équipe d’Angleterre championne du monde en 1966 étaient ainsi frappés par la maladie d’Alzheimer.
Dès l’année suivant la parution de cette étude, la fédération britannique de football a décidé d’interdire le jeu de tête durant les entraînements des enfants de moins de 12 ans.
Néanmoins, la pratique d’un sport reste tout de même bénéfique pour la santé : elle prévient notamment des cancers et des maladies cardiovasculaires.
D’après une étude de l’Université de Glasgow, les risques de démence augmentent chez les footballeurs en raison des coups de tête répétés.
En moyenne, un joueur professionnel réalise 600 têtes par an (soit 12 par semaine).
Or, les jeux de tête constituent une répétition de traumatismes crâniens qui peuvent avoir des effets à long terme.
Les défenseurs seraient les plus exposés avec un risque de démence 5 fois plus élevé que la normale.
À l’inverse, les gardiens de but ont un risque de maladie neurodégénérative quasi-équivalent à celui du reste de la population.
Ainsi, l’étude montre que les risques de démence dépendent du poste des joueurs ainsi que de la durée de leur carrière.
Déjà en 2019, une étude britannique montrait que les footballeurs professionnels avaient environ 3,5 fois plus de chance d’être victimes d’une maladie neurodégénérative par rapport au reste de la population.
- Ils ont 5 fois plus de chance de développer la maladie d’Alzheimer.
- 4 fois plus de chance de développer une maladie neuro-motrice.
- 2 fois plus de chances de développer la maladie de Parkinson.
Preuves à l’appui, plusieurs cas de démence ont été rapportés chez des ex-footballeurs.
3 membres de l’équipe d’Angleterre championne du monde en 1966 étaient ainsi frappés par la maladie d’Alzheimer.
Dès l’année suivant la parution de cette étude, la fédération britannique de football a décidé d’interdire le jeu de tête durant les entraînements des enfants de moins de 12 ans.
Néanmoins, la pratique d’un sport reste tout de même bénéfique pour la santé : elle prévient notamment des cancers et des maladies cardiovasculaires.
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