Organisé une fois par an dans la capitale par le syndicat agricole Modef, ce marché propose une vente directe pour défendre un prix juste « pour les consommateurs et les agriculteurs ». « Par exemple nous vendons un kilo de tomates à 2,70 , alors que dans la grande distribution à Paris, elles seront vendues à 3,50 euros voir 4 euros le kilo », illustre Raymond Girardi, vice-président du Modef. Pour Nadine, ce marché est l’occasion de faire davantage d’achats que d’habitude… Et de refaire son stock de pommes de terre pour l’hiver. Car avec la hausse des prix des fruits et légumes, cette retraitée se restreint sur ces aliments. « Parfois on n’en achète pas, on doit faire très attention », abonde Gérard, un autre client. Selon l’association de consommateurs « Famille rurales », les prix des fruits et légumes ont bondi en moyenne de 11 % en l’espace d’un an. Reportage. Organisé une fois par an dans la capitale par le syndicat agricole Modef, ce marché propose une vente directe pour défendre un prix juste « pour les consommateurs et les agriculteurs ». « Par exemple nous vendons un kilo de tomates à 2,70 euros, alors que dans la grande distribution à Paris, elles seront vendues à 3,50 euros voir 4 euros le kilo », illustre Raymond Girardi, vice-président du Modef. Pour Nadine, ce marché est l’occasion de faire davantage d’achats que d’habitude… Et de refaire son stock de pommes de terre pour l’hiver. Car avec la hausse des prix des fruits et légumes, cette retraitée se restreint sur ces aliments. « Parfois on n’en achète pas, on doit faire très attention », abonde Gérard, un autre client. Selon l’association de consommateurs « Famille rurales », les prix des fruits et légumes ont bondi en moyenne de 11 % en l’espace d’un an . Reportage.
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