Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter quelqu’un d’un peu particulier. Kamal Mouzawak n’est pas un chef, plutôt un food activiste qui se sert de la cuisine comme d’un medium capable de répandre son message de paix. « Faites des falafels, pas la guerre », titrait d’ailleurs le New York Times dans un long portrait qui lui était consacré et c’est à cela qu’il s’attache depuis des années, en développant ses différents projets – un marché de producteurs, des tables et des maisons – au Liban, et bientôt à Paris. Ce touche-à-tout, ancien graphiste, se sert donc du pouvoir de la cuisine pour réunir les gens, les faire cuisiner et/ou manger ensemble, au-delà des confessions, des origines et des courants politiques, et tout en préservant les traditions ancestrales. Avec Kamal, nous avons parlé de s’améliorer chaque jour (14:06), de naître en pleine guerre civile (18:50), des souks libanais (24:30), d’avoir envie de baisser les bras (31:45), de cuisine familiale, privée et de cuisiner pour les autres (42:20), de rencontres (54:02) et de découvrir son propre pays (56:15). Où goûter ce qu’il a dans la poêle ?Au Souk el Tayeb et chez Tawlet à Beyrouth, et très bientôt à Paris, dans le Marais. Pour en savoir plus : soukeltayeb.com Où le suivre ?www.instagram.com/kamalmouzawak/ Cet épisode a été monté par Garance Muñoz Musique par Santiago Walsch A dans deux semaines pour un nouvel épisode d’A Poêle…
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