Covid-19 : la cinquième vague franchit enfin son pic en France

  • il y a 3 ans
Bien que les nouvelles infections aient officiellement diminué depuis le 1er février, la propagation du virus reste élevée, avec plus de 315 000 nouveaux cas par jour.

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Nous pensions l'avoir vu à la mi-janvier, mais il a mis du temps à se manifester. En fait, la crête n'a été franchie que deux semaines plus tard. Si la date exacte est difficile à cerner, l'événement a été certifié le mardi 1er février.

Bien sûr, ce pic est le pic de la vague actuelle de Covid-19. Des vagues anormalement gonflées, ou plutôt des tsunamis, emportés par des variantes d'Omicron : En fait, cette incarnation du virus SARS-CoV-2 est extrêmement contagieuse. Il est arrivé en France début décembre 2021, entraînant plus de 400 000 nouvelles infections quotidiennes un mois plus tard. n'ai pas vu. Non seulement cette variante se propage à un rythme sans précédent, mais elle apparaît également au-dessus d'une autre vague associée à la variante Delta, qui approche de son apogée entre la mi-décembre 2021 et décembre 2021.

Comment dit-on que la crête est passée ? "L'évolution du nombre de nouveaux cas détectés chaque jour, à elle seule, ne justifie pas cela, rappelle Mircea Sofonea, épidémiologiste à l'université de Montpellier. "Il peut en effet y avoir un effet de surdépistage ou de sous-dépistage, de sorte que ce la détection crée un biais et ajoute un décalage dans le temps. « Il faudrait avoir une politique de dépistage aléatoire, effectué régulièrement sur un échantillon représentatif de la population française. Mais ce choix n'a pas été fait, c'est dommage. Il y a donc une incertitude sur l'évolution en temps réel de la quantité de nouveaux polluants. .

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Selon le ministère français de la Santé publique (SPF), le pic de nouvelles infections semble avoir culminé le 25 janvier : dans la semaine précédant ce jour, l'incidence est passée à 3 775 cas pour 100 000 habitants. Mercredi 2 février, le taux était tombé à 3 460 cas pour 100 000 habitants. Mahmoud Zureik, professeur d'épidémiologie et de santé publique à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Evelyn, a noté que "le taux de tests positifs n'a pas changé de manière significative".

"Une baisse de sept jours est un bon signe"

Au total, 315 363 nouvelles infections ont été détectées à travers le pays le 2 février, contre 428 008 une semaine plus tôt. "Une séquence de sept jours de défaites est un bon signe", a déclaré Mahmoud Zureik. Le taux de ce reflux s'accélère même, passant de 5 à 10 % il y a une semaine à 10 à 20 % aujourd'hui.

Sur la base de cette décrue, on a pu calculer le fameux « nombre de reproduction » du virus : en clair, le nombre moyen d’individus infectés par une personne contagieuse aujourd’hui. « Depuis le 1er février, ce nombr

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