L'Assemblée nationale a approuvé un nouveau texte de loi concernant l'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) en France.
Parmi les points importants de cette loi, la prolongation du délai maximum de 12 à 14 semaines.
Après un débat clivant, le texte a récolté 63 voix pour et 30 voix contre.
"Cette mesure n'est pas une lubie de militante féministe, elle est inspirée par des rencontres sur le terrain." Albane Gaillot, co-rapporteure de la loi.
"Le sujet n'est pas technique, le sujet c'est le droit des femmes à disposer de leur corps." Albane Gaillot, co-rapporteure de la loi.
Autre mesure importante de ce texte, le délai de 48 heures entre l'entretien psycho-social et le recueil du consentement à une IVG qui a été supprimé.
Les sages-femmes pourraient également acquérir le droit de pratiquer une IVG chirurgicale alors qu'aujourd'hui elles ne sont qu'en droit de délivrer que des médicaments.
Finalement, la transformation de la double clause, qui permet aux médecins de refuser de pratiquer un avortement sera, elle aussi, débattue à l'Assemblée.
Parmi les points importants de cette loi, la prolongation du délai maximum de 12 à 14 semaines.
Après un débat clivant, le texte a récolté 63 voix pour et 30 voix contre.
"Cette mesure n'est pas une lubie de militante féministe, elle est inspirée par des rencontres sur le terrain." Albane Gaillot, co-rapporteure de la loi.
"Le sujet n'est pas technique, le sujet c'est le droit des femmes à disposer de leur corps." Albane Gaillot, co-rapporteure de la loi.
Autre mesure importante de ce texte, le délai de 48 heures entre l'entretien psycho-social et le recueil du consentement à une IVG qui a été supprimé.
Les sages-femmes pourraient également acquérir le droit de pratiquer une IVG chirurgicale alors qu'aujourd'hui elles ne sont qu'en droit de délivrer que des médicaments.
Finalement, la transformation de la double clause, qui permet aux médecins de refuser de pratiquer un avortement sera, elle aussi, débattue à l'Assemblée.
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