Jusqu'à présent, le quasi-candidat se plaisait à répondre
que ces sondages « l'encouragent plutôt» à concourir à la prochaine
présidentielle, et dissertait volontiers sur le profil des sondés se disant
prêts à voter pour lui. Il faut dire que jamais dans l'histoire des sondages
électoraux, un possible candidat à la présidentielle n'avait connu une progression aussi fulgurante. Mais deux études
publiées par Odoxa et Elable ce 11 novembre annoncent un tassement, pour ne
pas dire une légère baisse, des intentions de vote en faveur de l'ancien
chroniqueur télé. Interrogé sur cette légère baisse évaluée entre 1% à 2%
selon les configurations, Éric Zemmour a curieusement abandonné sa casquette
d'analyste politique... pour endosser son rôle de polémiste. « Vous savez, je ne suis pas un spécialiste des
sondages. Je lis ce qu'on m'explique, comme tout le monde. Je ne connaissais
pas - je vous avoue - les instituts Oxoda et Elabe », a assuré l'ancien
journaliste politique en marge d'un déplacement à Bordeaux, ce vendredi 12
novembre. Et de poursuivre : « Donc pour moi, c'est une découverte
(...) Moi, je connais Ifop, Harris, la Sofres. Les grands instituts, quoi (...)
C'est comme au foot, il y a des grands joueurs et des petits joueurs »,
a-t-il conclu sur un ton sarcastique. Mais après plus de trente ans de
carrière à suivre les politiques, faut-il vraiment croire que l'ancien
chroniqueur télé-radio-magazine ne connaît pas du tout ces deux sondeurs ?
Pas vraiment. Comme vous pouvez le découvrir dans notre montage vidéo, Eric
Zemmour s'est même emparé, en juin 2020 sur CNews, d'une étude réalisée par Oxoda sur la popularité des policiers afin d'infirmer le
slogan « tout le monde déteste la police ». Quant à l'autre société
de sondage, Elabe, qu'il affirme ne pas connaître, son directeur des
études politiques a pourtant débattu avec lui sur le plateau de la
chaîne Paris Première… début 2016.
que ces sondages « l'encouragent plutôt» à concourir à la prochaine
présidentielle, et dissertait volontiers sur le profil des sondés se disant
prêts à voter pour lui. Il faut dire que jamais dans l'histoire des sondages
électoraux, un possible candidat à la présidentielle n'avait connu une progression aussi fulgurante. Mais deux études
publiées par Odoxa et Elable ce 11 novembre annoncent un tassement, pour ne
pas dire une légère baisse, des intentions de vote en faveur de l'ancien
chroniqueur télé. Interrogé sur cette légère baisse évaluée entre 1% à 2%
selon les configurations, Éric Zemmour a curieusement abandonné sa casquette
d'analyste politique... pour endosser son rôle de polémiste. « Vous savez, je ne suis pas un spécialiste des
sondages. Je lis ce qu'on m'explique, comme tout le monde. Je ne connaissais
pas - je vous avoue - les instituts Oxoda et Elabe », a assuré l'ancien
journaliste politique en marge d'un déplacement à Bordeaux, ce vendredi 12
novembre. Et de poursuivre : « Donc pour moi, c'est une découverte
(...) Moi, je connais Ifop, Harris, la Sofres. Les grands instituts, quoi (...)
C'est comme au foot, il y a des grands joueurs et des petits joueurs »,
a-t-il conclu sur un ton sarcastique. Mais après plus de trente ans de
carrière à suivre les politiques, faut-il vraiment croire que l'ancien
chroniqueur télé-radio-magazine ne connaît pas du tout ces deux sondeurs ?
Pas vraiment. Comme vous pouvez le découvrir dans notre montage vidéo, Eric
Zemmour s'est même emparé, en juin 2020 sur CNews, d'une étude réalisée par Oxoda sur la popularité des policiers afin d'infirmer le
slogan « tout le monde déteste la police ». Quant à l'autre société
de sondage, Elabe, qu'il affirme ne pas connaître, son directeur des
études politiques a pourtant débattu avec lui sur le plateau de la
chaîne Paris Première… début 2016.
Category
🗞
NewsRecommandations
Donald Trump veut stopper le "délire transgenre" dès son premier jour à la Maison-Blanche
Le Parisien
"France", "homme", "guerre", "race" : les mots d'Eric Zemmour décryptés par une sémiologue
franceinfo