Réfugiée à Istanbul, la pop star afghane Aryana Saeed raconte comment elle a quitté Kaboul déguisée, dans la hantise d'être reconnue par les extrémistes qui la menacent depuis si longtemps.
« Ne les laisse pas m'attraper, tue-moi d’abord » , a-t-elle supplié son fiancé en route pour l'aéroport, raconte-t-elle, encore émue par le souvenir de cette sombre nuit.
Aryana Saeed, la plus populaire des chanteuses afghanes avec 1,4 million d'abonnés à son compte Instagram, dont l'allure rappelle celle de la reine de la téléréalité Kim Kardashian, s'est attirée de longue date les foudres des religieux et des conservateurs de son pays pour ses chansons défendant les droits des femmes et dénonçant la violence à leur encontre.
Présidente du jury de The Afghan Star, un télécrochet de jeunes talents organisé par une chaîne de télévision, Tolo News, elle-même dans le viseur des fondamentalistes, la star de 36 ans ne pouvait plus marcher librement dans Kaboul et vivait dans sa ville sous haute protection, limitant ses déplacements.
« Ne les laisse pas m'attraper, tue-moi d’abord » , a-t-elle supplié son fiancé en route pour l'aéroport, raconte-t-elle, encore émue par le souvenir de cette sombre nuit.
Aryana Saeed, la plus populaire des chanteuses afghanes avec 1,4 million d'abonnés à son compte Instagram, dont l'allure rappelle celle de la reine de la téléréalité Kim Kardashian, s'est attirée de longue date les foudres des religieux et des conservateurs de son pays pour ses chansons défendant les droits des femmes et dénonçant la violence à leur encontre.
Présidente du jury de The Afghan Star, un télécrochet de jeunes talents organisé par une chaîne de télévision, Tolo News, elle-même dans le viseur des fondamentalistes, la star de 36 ans ne pouvait plus marcher librement dans Kaboul et vivait dans sa ville sous haute protection, limitant ses déplacements.
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