Le réalisateur a suivi pendant un an Sasha, petite fille assignée garçon à la naissance.
Sacha a 7 ans, Sébastien Lifshitz montre son combat mais aussi celui sa maman, une mère courage qui s'épuise pour que sa fille puisse avoir la vie à laquelle elle aspire.
"J'ai rencontré la maman de Sasha sur un forum consacré aux parents qui ont des enfants en dysphorie de genre" explique le réalisateur "beaucoup de ces parents sont complètement démunis par rapport à cette situation."
Sébastien Lifshitz raconte sa première rencontre avec Karine la maman de Sasha "Au début elle était très méfiante, ce que je comprends : c'est laisser une caméra entrer dans son intimité pendant une année. Comme dans le film, cette femme est sans filtre, avec une émotion à fleur de peau."
Dans le cas de Sasha, la dysphorie de genre arrive à 4 ans : "ce que j'ai réalisé en tournant ce film c'est qu'il n'y a pas de règle, la dysphorie peut se déclarer à tous les âges, même les plus jeunes" explique le réalisateur du documentaire.
A l'hôpital Sasha est reconnue comme une enfant transgenre pourtant à l'école elle n'est pas acceptée en tant que fille. Les instituteurs, l'équipe pédagogique dans son ensemble, les professeurs de danse : tout le monde s'oppose à ce qu'elle puisse changer d'apparence. Sébastien Lifshitz a une explication "c'est à l'image de la société : il y a une ignorance absolue et des jugements crasses, une forme de cruauté même, c'est de la maltraitance".
Le film raconte ce combat avec l'école et les institutions.
"Je pense que des enfants vivent cette différence dans des familles plus hostiles ou qui ont plus de mal à l'accepter. Sasha vit dans une bulle d'amour inconditionnel que j'ai ressenti physiquement en entrant dans cette maison."
Sacha a 7 ans, Sébastien Lifshitz montre son combat mais aussi celui sa maman, une mère courage qui s'épuise pour que sa fille puisse avoir la vie à laquelle elle aspire.
"J'ai rencontré la maman de Sasha sur un forum consacré aux parents qui ont des enfants en dysphorie de genre" explique le réalisateur "beaucoup de ces parents sont complètement démunis par rapport à cette situation."
Sébastien Lifshitz raconte sa première rencontre avec Karine la maman de Sasha "Au début elle était très méfiante, ce que je comprends : c'est laisser une caméra entrer dans son intimité pendant une année. Comme dans le film, cette femme est sans filtre, avec une émotion à fleur de peau."
Dans le cas de Sasha, la dysphorie de genre arrive à 4 ans : "ce que j'ai réalisé en tournant ce film c'est qu'il n'y a pas de règle, la dysphorie peut se déclarer à tous les âges, même les plus jeunes" explique le réalisateur du documentaire.
A l'hôpital Sasha est reconnue comme une enfant transgenre pourtant à l'école elle n'est pas acceptée en tant que fille. Les instituteurs, l'équipe pédagogique dans son ensemble, les professeurs de danse : tout le monde s'oppose à ce qu'elle puisse changer d'apparence. Sébastien Lifshitz a une explication "c'est à l'image de la société : il y a une ignorance absolue et des jugements crasses, une forme de cruauté même, c'est de la maltraitance".
Le film raconte ce combat avec l'école et les institutions.
"Je pense que des enfants vivent cette différence dans des familles plus hostiles ou qui ont plus de mal à l'accepter. Sasha vit dans une bulle d'amour inconditionnel que j'ai ressenti physiquement en entrant dans cette maison."
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