L'application "Garde ton corps" arrive à Paris pour limiter le harcèlement de rue.
L'objectif de cette application, née à Aix-en-Provence est d'aider les femmes et hommes qui ne se sentiraient plus en sécurité dans la rue.
Elle permet d'envoyer rapidement un message d'alerte et de trouver un endroit où se mettre à l'abri en cas d'urgence.
3 options principales seront disponibles sur l'application :
Je rentre, Votre géolocalisation est transmise à l'application et à des contacts choisis en cas de problème.
Lâche-moi, Cette option permet de trouver rapidement un endroit où se mettre à l'abri aux alentours.
Aide-moi, Avec cette fonction, un SMS sera envoyé à certains contacts qui seront informés de la situation ainsi que de votre localisation et de votre niveau de batterie.
Sa créatrice, Pauline Vanderquand, avait lancé le projet après un énième témoignage de harcèlement de la part d'une de ses amies.
"J'ai eu un vrai ras-le-bol, le lendemain je lançais le projet de l'appli, trop d'histoires de harcèlement me revenaient aux oreilles." Pauline Vanderquand.
Avec le confinement, le développement de l'application vers la capitale avait été endigué.
Mais elle s'y implante désormais avec déjà deux contrats dans des bars du XXème qui deviendraient des refuges pour les personnes en détresse.
L'objectif de cette application, née à Aix-en-Provence est d'aider les femmes et hommes qui ne se sentiraient plus en sécurité dans la rue.
Elle permet d'envoyer rapidement un message d'alerte et de trouver un endroit où se mettre à l'abri en cas d'urgence.
3 options principales seront disponibles sur l'application :
Je rentre, Votre géolocalisation est transmise à l'application et à des contacts choisis en cas de problème.
Lâche-moi, Cette option permet de trouver rapidement un endroit où se mettre à l'abri aux alentours.
Aide-moi, Avec cette fonction, un SMS sera envoyé à certains contacts qui seront informés de la situation ainsi que de votre localisation et de votre niveau de batterie.
Sa créatrice, Pauline Vanderquand, avait lancé le projet après un énième témoignage de harcèlement de la part d'une de ses amies.
"J'ai eu un vrai ras-le-bol, le lendemain je lançais le projet de l'appli, trop d'histoires de harcèlement me revenaient aux oreilles." Pauline Vanderquand.
Avec le confinement, le développement de l'application vers la capitale avait été endigué.
Mais elle s'y implante désormais avec déjà deux contrats dans des bars du XXème qui deviendraient des refuges pour les personnes en détresse.
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