Une start-up bretonne vient de créer une application anti-agression qui pourrait changer les habitudes des femmes. Le téléphone enregistre puis efface en permanence ce qui se passe autour. Une solution pour aider les victimes d'agression à franchir la porte des commissariats et gendarmeries de France.
Septembre 2020 : à la sortie d'un bar de Nantes, Margot, 25 ans, et son amie font face à un homme trop pressant qui déverse sur elles des torrents d'insultes. Mais comme 95% des victimes d'injures, elle ne portera pas plainte.
C'est pour apporter une solution à ce défaut de preuves que Jean-Phillippe Tible a créé «Qui vive», une application qui enregistre en permanence l'environnement sonore. Quand on la déclenche après une agression, elle restitue les 20 dernières minutes d'enregistrement. C'est un véritable fichier audio qui peut être transféré à un avocat et à la police.
Ce professionnel de la sécurité estime que si son application est très largement diffusée, la peur pourrait alors changer de camp.
Septembre 2020 : à la sortie d'un bar de Nantes, Margot, 25 ans, et son amie font face à un homme trop pressant qui déverse sur elles des torrents d'insultes. Mais comme 95% des victimes d'injures, elle ne portera pas plainte.
C'est pour apporter une solution à ce défaut de preuves que Jean-Phillippe Tible a créé «Qui vive», une application qui enregistre en permanence l'environnement sonore. Quand on la déclenche après une agression, elle restitue les 20 dernières minutes d'enregistrement. C'est un véritable fichier audio qui peut être transféré à un avocat et à la police.
Ce professionnel de la sécurité estime que si son application est très largement diffusée, la peur pourrait alors changer de camp.
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