Les employées de maison, en majorité éthiopiennes, au Liban, se retrouvent une nouvelle fois livrées à leur triste sort.
Déjà esclavagisées par un système qui ne leur accorde aucune protection, la pandémie les laisse à l’abandon.
Tous les jours, des familles libanaises abandonnent leur employée de maison devant l’ambassade d’Éthiopie.
Le calvaire des employées de maison éthiopiennes au Liban n’est pas nouveau.
Il est encouragé par la kafala, qui permet à un employeur de devenir le parrain légal de son employée.
Ce système ouvre la voie à de multiples abus (séquestration, salaires impayés, rémunérations trop faibles…)
Pour l’instant, environ une trentaine d’entre elles ont été logées provisoirement par les autorités libanaises dans un hôtel.
Déjà esclavagisées par un système qui ne leur accorde aucune protection, la pandémie les laisse à l’abandon.
Tous les jours, des familles libanaises abandonnent leur employée de maison devant l’ambassade d’Éthiopie.
Le calvaire des employées de maison éthiopiennes au Liban n’est pas nouveau.
Il est encouragé par la kafala, qui permet à un employeur de devenir le parrain légal de son employée.
Ce système ouvre la voie à de multiples abus (séquestration, salaires impayés, rémunérations trop faibles…)
Pour l’instant, environ une trentaine d’entre elles ont été logées provisoirement par les autorités libanaises dans un hôtel.
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