• il y a 4 ans
On examine les armes du crime, leurs ravages sur la victime. On présente cette malle grise et rouge, dans laquelle on ne peut concevoir faire entrer un corps, et qui pourtant renfermait celui d'Eva Bourseau, rongé par l'acide et retrouvé dans son petit studio, une semaine après le meurtre. Et l'on regarde ses proches, le cœur tordu par tant d'horreur, essuyer leurs larmes. De cette noirceur absolue a pourtant commencé à poindre jeudi une lumière, celle d'Eva, dont les amis sont venus raconter à quel point la jeune femme était « pétillante », « merveilleuse », « solaire ».

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