Leïla Slimani : "J’ai une grande admiration pour Christiane Taubira, c’est une femme qui a un amour immense pour la littérature"

Leïla Slimani : "Je n’ai pas envie de passer mon temps à être un juge, juste essayer modestement de comprendre. L’indulgence est une valeur importante."

Leïla Slimani, écrivaine : "Le Maroc est un territoire romanesque absolument passionnant""

Leïla Slimani : "On est dans une sorte de révolution culturelle, choisir son camp là c’est dire : ça n’est plus comme avant, le silence c’est terminé"

Leïla Slimani, : "Le métissage est une damnation, le métis est condamné à ne pas savoir qui il est, ce sont toujours les autres qui le lui disent"

Leïla Slimani sur les César : "Une société est malade quand la justice n’est pas rendue"

Christiane Taubira sur le mot "ensauvagement" : "Ce mot-là en dit davantage sur le ministre de l'Intérieur qui l'utilise que sur les gens qu'il prétend viser."

Christiane Taubira : "La jeunesse est au cœur de ce roman. Je lui propose deux messages : celui de la lucidité qui consiste à voir un monde qui ne lui permet pas de s'épanouir, et celui qu'aucune trajectoire n'est jamais désespérée."

Laure Adler : "Il n'y a rien à comprendre dans les œuvres de Boltanski. Il y a à ressentir, à se laisser porter (...). Il se passe quelque chose entre l'oeuvre qui est regardée et son regardeur, quelque chose de magique."

"J'ai un Covid long qui m'amène à certaines précautions" (Roselyne Bachelot)

Anne Sinclair à Andrée, auditrice émue : "Votre voix me touche et me fait du bien"

Évidemment que la culture est essentielle, elle est au cœur du projet politique français" (Roselyne Bachelot)

Lola Lafon : "La première chose pour mes deux personnages féminins, c'est de savoir quelles sont leurs désirs à elles : est-ce que c'est l'ambition des parents ?"

Laure Adler : "Christian Boltanski a découvert sur le tard une faculté qu'il avait, une propension à raconter des histoires. C'était un être qui, par son imaginaire, créait des fictions incroyables."

Eva Bettan, sur les débats du Livre Inter 2020, faits pendant le confinement : "Le petit miracle a eu lieu" : "Ma hantise c'était que ce soit mou (..)

Lola Lafon : "Moi comme romancière, ce qui m'intéresse c'est les positions compliquées, ambiguës : on collabore tous à des choses qui nous détruisent"

Michel Wieviorka : "On a besoin des médias, mais parfois ça va trop fort et trop vite"

"Il n’y a eu aucune prise de conscience, dans notre haute fonction publique, qu’il était nécessaire de faire passer un message en arabe" (Gilles Kepel)

Marie Gariazzo (IFOP) sur le confinement : "C'était totalement inédit, on s'est tout de suite dit que c'était intéressant de suivre ça"

La traductrice Christine Laferrière : "Toni Morrison a réussi à analyser tous les problèmes de l’Amérique, à toutes les époques, sous toutes les formes. Pour elle, l'art était politique"

Nicole Belloubet : "Je ne parlerais pas d'un climat insurrectionnel mais certains concitoyens vont trop loin"

François Sureau, avocat et écrivain : "La libido bureaucratique nous gouverne"

François Sureau, avocat et écrivain : "Je ne désespère pas de voir l'amour de la liberté reprendre le dessus après une période de trouille généralisée"

Marie Gariazzo : "Tous les ingrédients étaient réunis pour rajouter de la défiance aux gens qui ne faisaient déjà pas confiance aux médias"

Emmanuel Macron "aime le tragique" et à partir de là "tracer le chemin", estime Corinne Lhaïk, journaliste à l'Opinion

Solène Chalvon Fioriti : "Toutes ces femmes qui se trouvent avec la double peine d'être des femmes et des fonctionnaires, vous imaginez le sort qu'ils leurs réservent"