Un collaborateur qui tape fort sur son clavier ou encore des collègues un peu trop expressifs. C'est un fait, le bruit au bureau dérange.
Depuis la création des bureaux ouverts en 1904, la frustration auditive n'a fait qu'augmenter. Pour certains, c'est un véritable calvaire.
Parmi les plus gênants, les échanges de ragots entre collègues, les conversations téléphoniques bruyantes et les toux/reniflements.
Si ces nuisances occasionnent généralement une frustration, il peuvent être sources d'anxiété voire de rage. C'est la misophonie.
Une étude britannique a tenté d'expliquer cette difficulté que l'on rencontre à travailler dans un environnement bruyant.
En faisant exécuter des tâches dans le bruit à un panel de lycéennes, les scientifiques ont constaté une donnée inattendue.
Les plus extraverties avaient un meilleur rendement quand elles étaient soumises à un environnement bruyant.
Le niveau d'introversion est donc aussi responsable de la capacité à supporter les nuisances sonores. Deux hypothèses s'ouvrent alors :
Premièrement, les bruits extérieurs feraient concurrence à ceux dans notre tête, nous faisant perdre le fil de nos pensées.
Enfin, le cerveau entrerait en conflit lorsqu'il doit à la fois accomplir une tâche et analyser des bruits de fond
Depuis la création des bureaux ouverts en 1904, la frustration auditive n'a fait qu'augmenter. Pour certains, c'est un véritable calvaire.
Parmi les plus gênants, les échanges de ragots entre collègues, les conversations téléphoniques bruyantes et les toux/reniflements.
Si ces nuisances occasionnent généralement une frustration, il peuvent être sources d'anxiété voire de rage. C'est la misophonie.
Une étude britannique a tenté d'expliquer cette difficulté que l'on rencontre à travailler dans un environnement bruyant.
En faisant exécuter des tâches dans le bruit à un panel de lycéennes, les scientifiques ont constaté une donnée inattendue.
Les plus extraverties avaient un meilleur rendement quand elles étaient soumises à un environnement bruyant.
Le niveau d'introversion est donc aussi responsable de la capacité à supporter les nuisances sonores. Deux hypothèses s'ouvrent alors :
Premièrement, les bruits extérieurs feraient concurrence à ceux dans notre tête, nous faisant perdre le fil de nos pensées.
Enfin, le cerveau entrerait en conflit lorsqu'il doit à la fois accomplir une tâche et analyser des bruits de fond
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