Le savon de Marseille a beau exister depuis des centaines d’années, avec notamment l’édit de Colbert datant de 1866 et réglementant sa fabrication, des nouveautés diverses et variées ne cessent d’être lancées et créées par les savonniers provençaux, tout en respectant la "recette" de base.
"Il faut être créatif pour conserver l’aspect tradition. Paradoxalement, les gens ont beaucoup innové dans la pédagogie, avec une vague de création d’ateliers et de musées ces dernières années. Cela a renforcé la demande pour le produit traditionnel authentique", constate Jean-Baptiste Jaussaud, à la tête de la Grande Savonnerie et fondateur du "MuSaMa", le Musée du Savon de Marseille.
"Il faut qu’on innove pour rester dans l’ère du temps. Le savon de Marseille est un produit de qualité, aujourd’hui, car nos prédécesseurs ont su innover et être avant-gardistes. L’innovation est une évolution positive du savon", souligne de son côté Serge Bruna, qui dirige la savonnerie marseillaise de la Licorne, qui compte trois boutiques à Marseille et une à Turin.
Le maître artisan savonnier a ainsi récemment dévoilé plusieurs nouveautés. "En plus de la gamme traditionnelle et compte tenu d’une demande forte sur les cadeaux originaux, nous avons créé la sardine qui bouche le port en savon, qui est vendue dans un petit étui racontant son histoire. Nous avons également mis au point une boule de pétanque au parfum pastis, qui connaît un beau succès", explique ce professionnel référencé par la Chambre de métiers et de l’artisanat Paca dans sa "Route des Arts et des Gourmandises de Provence", qui propose une sélection des meilleurs artisans de la région.
"Nous envisageons, désormais, de faire une boite de savon "luxe" comptant quatre savonnettes et représentant la ville de Marseille. Nous travaillons actuellement sur des moules, avec des artistes, dans cette perspective. Nous envisageons aussi, compte tenu de notre nom, de faire un savon en forme de corne de licorne, qui devrait être commercialisé dans une boite en bois", confie Serge Bruna.
"Il faut être créatif pour conserver l’aspect tradition. Paradoxalement, les gens ont beaucoup innové dans la pédagogie, avec une vague de création d’ateliers et de musées ces dernières années. Cela a renforcé la demande pour le produit traditionnel authentique", constate Jean-Baptiste Jaussaud, à la tête de la Grande Savonnerie et fondateur du "MuSaMa", le Musée du Savon de Marseille.
"Il faut qu’on innove pour rester dans l’ère du temps. Le savon de Marseille est un produit de qualité, aujourd’hui, car nos prédécesseurs ont su innover et être avant-gardistes. L’innovation est une évolution positive du savon", souligne de son côté Serge Bruna, qui dirige la savonnerie marseillaise de la Licorne, qui compte trois boutiques à Marseille et une à Turin.
Le maître artisan savonnier a ainsi récemment dévoilé plusieurs nouveautés. "En plus de la gamme traditionnelle et compte tenu d’une demande forte sur les cadeaux originaux, nous avons créé la sardine qui bouche le port en savon, qui est vendue dans un petit étui racontant son histoire. Nous avons également mis au point une boule de pétanque au parfum pastis, qui connaît un beau succès", explique ce professionnel référencé par la Chambre de métiers et de l’artisanat Paca dans sa "Route des Arts et des Gourmandises de Provence", qui propose une sélection des meilleurs artisans de la région.
"Nous envisageons, désormais, de faire une boite de savon "luxe" comptant quatre savonnettes et représentant la ville de Marseille. Nous travaillons actuellement sur des moules, avec des artistes, dans cette perspective. Nous envisageons aussi, compte tenu de notre nom, de faire un savon en forme de corne de licorne, qui devrait être commercialisé dans une boite en bois", confie Serge Bruna.
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