Arnaud Desplechin, sur son dernier film, "Roubaix, une lumière" : "Là on est avec les gens démunis, un Roubaix que je connais moins bien, que je n’avais jamais filmé"

Arnaud Desplechin monte "Angels in America" au théâtre :"Ça faisait longtemps que j'avais envie de raconter des histoires d'amour entre hommes"

Arnaud Desplechin : "C’est le dialogue avec les spectateurs qui m’apprend le film suivant que je ferai"

Arnaud Desplechin : "J’ai fait des films dont j’aimais penser qu’ils débordaient de fiction. Là, j’ai eu envie de faire un film où tout soit basé sur des faits vrais"

Arnaud Desplechin : "Cela me tenait à cœur d'embrasser un film plus brutal"

Arnaud Desplechin sur la politique culturelle d'Emmanuel Macron : "Un seul mot me vient : l'atonie. J'ai l'impression qu'on ne les intéresse pas du tout"

Dans "Tromperie", "Léa Seydoux envahit, dévore le film", souligne le réalisateur Arnaud Desplechin

Bouder les César 2021 : "C'est pas de l'arrogance ou du dédain, c'est très gentil, mais, à titre personnel, je suis en porte à faux avec moi-même"(Albert Dupontel)

Arnaud Montebourg : "Les 34 plans industriels que j'avais laissés derrière moi nous auraient fait gagner de nombreuses années, tout ce qui aujourd'hui est fait en retard"

Arnaud Desplechin monte "Angels in America" au théâtre et explique que le détonateur a été "l'election de Trump"

Arnaud Desplechin, les espions qu'il aimait

Arnaud Desplechin : "C’est admirable de construire quelque chose qui est plus grand que soi"

James Cameron : "Je crois dans la capacité de l'Homme à résoudre les problèmes par la compassion"

"Nous avons un appareil policier et un appareil judiciaire qui sont délabrés" (Arnaud Montebourg)

Vincent Lindon : "Il n'y a plus de gêne : on starifie l'indécence des inégalités"

Arnaud Fontanet : "L'exponentielle, elle existe déjà, simplement quand on est tout en bas, elle n'est pas visible. Mais le moment où on redoute que le variant devienne majoritaire, c'est le mois de mars."

"On ne peut pas réussir une vie sans dire 'je t'aime' à quelqu'un" (Albert Dupontel)

François Hollande : "Ça nous a rappelé que nous étions tous vulnérables."

Fabrice Luchini : "Chirac avait une telle ambition d'être gentil qu'il m'a dit une des choses les plus perturbantes que j'aie jamais entendue au théâtre : 'vous, avec le bottin en anglais, y'aurait autant de succès'."

Pr Arnaud Fontanet : "Le scénario du pire s’éloigne, le pic des infections au Covid-19 a été dépassé"

Albert Dupontel, réalisateur prépare une fable politique "sur la difficulté de prendre la parole"

Entretien exceptionnel avec Quentin Tarantino

François Sureau rend hommage à Bertrand Tavernier : "J'ai eu ce sentiment de tristesse hier : quand Tavernier était mort, je me suis rendu compte que la liste de ses films était close. Des phrases de ses films me sont revenus en foule."

Arnaud Montebourg : "C'est le rôle de l'Europe de nous décoloniser du numérique américain ou de l'industrie chinoise"

Alain Mabanckou : "Le mouvement Black Lives Matter prend son assise dans la population. (...) C'est l'expression de la rue. Quand le peuple est en train de parler, tous ceux qui paradent avec leur célébrité doivent se mettre sur le côté."

Emmanuel Carrère : "Bernard Maris, je l'ai connu à la fin de sa vie. Il y avait quelque chose d'extraordinairement chaleureux et vivant chez lui. Dans la sidération générale de Charlie, il y avait aussi ce deuil particulier."