Un petit outil créé à la fin de l’année dernière en région parisienne fait son retour sur les réseaux sociaux. En nous interrogeant sur le comportement de notre conjoint, le violentomètre permet de mesurer la toxicité d’une relation avec son partenaire.
Cette petite réglette colorée n’est pas nouvelle. « Le violentomètre » a été créé fin 2018 en région parisienne. Mais l’instrument de mesure fait son retour ces jours-ci sur les réseaux sociaux avec la mise en place par le gouvernement d’un compte Twitter @Arrêtonsles, dédié à la lutte contre les violences faites aux femmes.
Cet outil présente une grille graduée des violences que l’on peut subir de la part de son conjoint. L’arc-en-ciel de couleur est divisé en trois zones : 1- Profite, en vert ; 2- Vigilance, dis stop ! en orange et 3- Protège toi demande l’aide, en rouge vif.
Dans chacune des zones, un peu à la manière d’un test, l’utilisatrice est invitée à s’interroger sur le comportement de son conjoint. « Te fais du chantage si tu refuses de faire quelque chose » ou encore « Rabaisse tes opinions et tes projets » font ainsi partie des premiers signaux d’alerte.
Dans la zone rouge, la plus grave, le violentomètre décrit les violences physiques dont peuvent être victimes les femmes : attouchements non consentis, relations sexuelles forcées, coups, menaces avec une arme…
« Le violentomètre, ça permet à une victime d’abus sexuels, de violences ou de chantages au sein de son couple de se protéger en demandant de l’aide ou en signalant les faits parce qu’elle ou il est clairement en danger », écrit ainsi Youssef Badr, porte-parole du ministère de la Justice sur Twitter.
Cet outil, rappelle Marie-Claire, a été imaginé par Hélène Bidard, adjointe à la mairie de Paris et chargée des questions relatives à l’égalité femmes-hommes, en collaboration avec l’observatoire de la Seine-Saint-Denis des violences faites aux femmes et l’association En Avant Toute(s).
Cette petite réglette colorée n’est pas nouvelle. « Le violentomètre » a été créé fin 2018 en région parisienne. Mais l’instrument de mesure fait son retour ces jours-ci sur les réseaux sociaux avec la mise en place par le gouvernement d’un compte Twitter @Arrêtonsles, dédié à la lutte contre les violences faites aux femmes.
Cet outil présente une grille graduée des violences que l’on peut subir de la part de son conjoint. L’arc-en-ciel de couleur est divisé en trois zones : 1- Profite, en vert ; 2- Vigilance, dis stop ! en orange et 3- Protège toi demande l’aide, en rouge vif.
Dans chacune des zones, un peu à la manière d’un test, l’utilisatrice est invitée à s’interroger sur le comportement de son conjoint. « Te fais du chantage si tu refuses de faire quelque chose » ou encore « Rabaisse tes opinions et tes projets » font ainsi partie des premiers signaux d’alerte.
Dans la zone rouge, la plus grave, le violentomètre décrit les violences physiques dont peuvent être victimes les femmes : attouchements non consentis, relations sexuelles forcées, coups, menaces avec une arme…
« Le violentomètre, ça permet à une victime d’abus sexuels, de violences ou de chantages au sein de son couple de se protéger en demandant de l’aide ou en signalant les faits parce qu’elle ou il est clairement en danger », écrit ainsi Youssef Badr, porte-parole du ministère de la Justice sur Twitter.
Cet outil, rappelle Marie-Claire, a été imaginé par Hélène Bidard, adjointe à la mairie de Paris et chargée des questions relatives à l’égalité femmes-hommes, en collaboration avec l’observatoire de la Seine-Saint-Denis des violences faites aux femmes et l’association En Avant Toute(s).
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