Après l'annonce du rachat de Ouibus en novembre, BlaBlaCar a lancé ce mardi BlaBlabus sa compagnie de bus depuis Lyon, avec l'ambition d'offrir d'ici la fin de l'année 400 villes-destinations en Europe à prix "low cost".
Ce mardi, BlaBlacar a lancé ses bus avec comme objectif de rallier 400 villes en Europe d'ici la fin 2019. Pour la plate-forme de covoiturage française, qui a annoncé le rachat de Ouibus en novembre, il y a une vraie « logique » à se lancer dans l'autocar. « Le covoiturage va aller desservir le point à point, très précis, très granulaire quand le bus va être l'arme low-cost entre les grandes villes », explique à l'AFP Nicolas Brusson, cofondateur et directeur général de BlaBlaCar.
Ces BlaBlabus se veulent aussi complémentaires du train, avec des horaires décalés par rapport aux lignes ferroviaires, ou des lignes sans correspondance comme, par exemple, sur le Clermont-Lille ou Bruxelles, qui nécessite en train un changement de gare à Paris, souligne Roland de Barbentane, directeur général d'Ouibus.
Ce mardi, BlaBlacar a lancé ses bus avec comme objectif de rallier 400 villes en Europe d'ici la fin 2019. Pour la plate-forme de covoiturage française, qui a annoncé le rachat de Ouibus en novembre, il y a une vraie « logique » à se lancer dans l'autocar. « Le covoiturage va aller desservir le point à point, très précis, très granulaire quand le bus va être l'arme low-cost entre les grandes villes », explique à l'AFP Nicolas Brusson, cofondateur et directeur général de BlaBlaCar.
Ces BlaBlabus se veulent aussi complémentaires du train, avec des horaires décalés par rapport aux lignes ferroviaires, ou des lignes sans correspondance comme, par exemple, sur le Clermont-Lille ou Bruxelles, qui nécessite en train un changement de gare à Paris, souligne Roland de Barbentane, directeur général d'Ouibus.
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