L'assassin présumé des quatre membres de la famille Troadec, Hubert Caouissin, a participé pendant cinq heures dans la nuit de lundi à mardi à la reconstitution du drame survenu le 16 février 2017 à Orvault, près de Nantes.
« M. Caouissin a été coopératif comme toujours et a répondu à toutes les questions », a déclaré à l'AFP Loïc Cabioch l'avocat de Lydie Troadec, compagne du suspect mise en examen pour « modification de l'état des lieux d'un crime » et « recel de cadavres ».
Sous contrôle judiciaire, elle n'avait pas été convoquée sur les lieux mais son conseil a assisté à la reconstitution. Elle s'est terminée « à 2h », a-t-il ajouté. Seul M. Caouissin, mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Nantes, a été amené sur les lieux dans un fourgon blanc, à 20H49.
Pendant cinq heures, le quadragénaire sans antécédent judiciaire a été interrogé sur les gestes qui l'ont conduit, il y a deux ans, à tuer à coups de pied de biche, selon sa version, son beau-frère Pascal Troadec, son épouse Brigitte, (49 ans tous les deux) ainsi que leurs enfants Sébastien (21 ans) et Charlotte (18 ans).
La reconstitution devait permettre « d'éclairer la compréhension des faits matériels », selon Patrick Larvor, l'un des avocats du suspect, qui a reconnu le quadruple meurtre.
Lundi soir, un périmètre de sécurité avait été installé par la police autour de la demeure des Troadec, une maison pavillonnaire blanche entourée d'un petit jardin, dans un quartier résidentiel d'Orvault. Une dépanneuse avait amené la Peugeot 308 du fils, qui aurait servi au suspect à transporter les corps.
Hormis la police judiciaire et les avocats des différentes parties, Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, et Charlotte Gazzera, procureure en charge du dossier, ont participé à cette étape cruciale de l'instruction.
De nombreuses énigmes planent toujours sur l'affaire : mobile flou sur fond de guerre d'héritage, arme du crime volatilisée, corps des victimes démembrés puis disséminés par le suspect à plus de 240 km du lieu des faits, dans sa propriété à Pont-de-Buis-lès-Quimerch (Finistère).
Des restes avaient été découverts peu après les faits. Mais d'autres parties, notamment les crânes des victimes, demeurent introuvables.
« M. Caouissin a été coopératif comme toujours et a répondu à toutes les questions », a déclaré à l'AFP Loïc Cabioch l'avocat de Lydie Troadec, compagne du suspect mise en examen pour « modification de l'état des lieux d'un crime » et « recel de cadavres ».
Sous contrôle judiciaire, elle n'avait pas été convoquée sur les lieux mais son conseil a assisté à la reconstitution. Elle s'est terminée « à 2h », a-t-il ajouté. Seul M. Caouissin, mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Nantes, a été amené sur les lieux dans un fourgon blanc, à 20H49.
Pendant cinq heures, le quadragénaire sans antécédent judiciaire a été interrogé sur les gestes qui l'ont conduit, il y a deux ans, à tuer à coups de pied de biche, selon sa version, son beau-frère Pascal Troadec, son épouse Brigitte, (49 ans tous les deux) ainsi que leurs enfants Sébastien (21 ans) et Charlotte (18 ans).
La reconstitution devait permettre « d'éclairer la compréhension des faits matériels », selon Patrick Larvor, l'un des avocats du suspect, qui a reconnu le quadruple meurtre.
Lundi soir, un périmètre de sécurité avait été installé par la police autour de la demeure des Troadec, une maison pavillonnaire blanche entourée d'un petit jardin, dans un quartier résidentiel d'Orvault. Une dépanneuse avait amené la Peugeot 308 du fils, qui aurait servi au suspect à transporter les corps.
Hormis la police judiciaire et les avocats des différentes parties, Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, et Charlotte Gazzera, procureure en charge du dossier, ont participé à cette étape cruciale de l'instruction.
De nombreuses énigmes planent toujours sur l'affaire : mobile flou sur fond de guerre d'héritage, arme du crime volatilisée, corps des victimes démembrés puis disséminés par le suspect à plus de 240 km du lieu des faits, dans sa propriété à Pont-de-Buis-lès-Quimerch (Finistère).
Des restes avaient été découverts peu après les faits. Mais d'autres parties, notamment les crânes des victimes, demeurent introuvables.
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