Depuis près de quarante ans, les touchers vaginaux et rectaux sans consentement sont toujours d’actualité dans les cabinets des gynécologues.
Une situation qui implique notamment les étudiants et étudiantes en médecine.
Ils sont parfois invités à ausculter des patients endormis, malgré une prescription pourtant claire et inscrite dans le code de la déontologie.
Amina Yamgnane, gynécologue explique : « je ne connais aucun étudiant de ma promo qui n’ait appris autrement à faire du toucher vaginal que sous anesthésie ».
À aucun moment, dans le dossier, il n’est précisé que l’étudiant en question doit impérativement demander le consentement de la patiente.
Des pratiques qui mettent relief le sexisme lattant de la profession, et les difficultés des patientes à faire entendre leur voix.
Certains centres hospitaliers ont décidé de réagir en développant l’apprentissage par simulation, notamment sur des mannequins.
Une situation qui implique notamment les étudiants et étudiantes en médecine.
Ils sont parfois invités à ausculter des patients endormis, malgré une prescription pourtant claire et inscrite dans le code de la déontologie.
Amina Yamgnane, gynécologue explique : « je ne connais aucun étudiant de ma promo qui n’ait appris autrement à faire du toucher vaginal que sous anesthésie ».
À aucun moment, dans le dossier, il n’est précisé que l’étudiant en question doit impérativement demander le consentement de la patiente.
Des pratiques qui mettent relief le sexisme lattant de la profession, et les difficultés des patientes à faire entendre leur voix.
Certains centres hospitaliers ont décidé de réagir en développant l’apprentissage par simulation, notamment sur des mannequins.
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