• il y a 6 ans
Alors que le sud de la France se relève à peine d’un épisode de terribles inondations, Philippe Maso explique le dispositif mis en place par MMA: «Nous sommes habitués à ces événements et nous déployons des dispositifs qui sont désormais très rodés. Cellule de crise, dispositif local, dispositif national… Une mobilisation de toutes les ressources pour accompagner, à la fois psychologiquement et tous les dispositifs nécessaires pour traiter les sinistres avec la célérité nécessaire». 

Au niveau du coût estimé de ce sinistre, Philippe Maso explique: «Les épisodes de vents qui se produisent sont ce qu’il y a de moins coûteux par sinistre mais les épisodes tels que ceux que nous vivons en ce moment sont les plus coûteux. L’inondation sinistre plus et plus durablement». 

Et comment MMA intègre les effets des changements climatiques dans ses prévisions ? «C’est la nature même de nos activités que d’intégrer ce type de risques. Je me garderai d’être trop dans la statistique sur la répétition, l’intensité et la comparaison historique. Il est évident que ces derniers temps nous avons une succession d’événement, explique-t-il, leur intensité varie, notre métier c’est de tenir compte de la masse assurable.»

Au sujet des primes d’assurance, Philippe Maso précise: «Elles évoluent en fonction de la sinistralité observée sur le marché, en général il y a une augmentation, l’inflation qui pèse sur l’ensemble de l’économie pèse également sur les primes d’assurance».  

Sur le risque entreprise, Philippe Maso ajoute: «Nous avons environ 15 de parts de marché, le groupe Covea a décidé de dédier MMA, marque très connue, au risque d’entreprise.

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