D’ici 2060, nous serons 10 milliards d’êtres humains sur terre. Mais comment s’y prendre pour nourrir 10 milliards d’êtres humains tout en préservant notre planète ?
Les chercheurs ont examiné la superficie des terres nécessaires pour chaque culture ou élevage de bétail, ainsi que la production d’émissions de gaz à effet de serre.
Ils ont aussi analysé l’accumulation de nutriments, l’acidification des terres et l’utilisation de l’eau douce.
Ainsi, l’élevage de bétail ne peut pas produire la quantité équivalente de protéine de la culture de légumes, sans causer un plus grand impact environnemental.
Les chercheurs ont estimé qu’un monde végétalien produirait 49% moins d’émissions de gaz à effet de serre, 50% moins d’acidification sur terre…
Si le fait de ne pas consommer de viande a des impacts positifs pour l’environnement, il entraine un risque d’anémie, lié au carences en fer.
Pour assurer un avenir plus sain, à la fois pour la planète et pour la santé, il faudrait réduire sa consommation de viande sans l’arrêter.
Les chercheurs ont examiné la superficie des terres nécessaires pour chaque culture ou élevage de bétail, ainsi que la production d’émissions de gaz à effet de serre.
Ils ont aussi analysé l’accumulation de nutriments, l’acidification des terres et l’utilisation de l’eau douce.
Ainsi, l’élevage de bétail ne peut pas produire la quantité équivalente de protéine de la culture de légumes, sans causer un plus grand impact environnemental.
Les chercheurs ont estimé qu’un monde végétalien produirait 49% moins d’émissions de gaz à effet de serre, 50% moins d’acidification sur terre…
Si le fait de ne pas consommer de viande a des impacts positifs pour l’environnement, il entraine un risque d’anémie, lié au carences en fer.
Pour assurer un avenir plus sain, à la fois pour la planète et pour la santé, il faudrait réduire sa consommation de viande sans l’arrêter.
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