« J'écris ton nom, Liberté « un poème qui a conclu la marche -hommage aux victimes de Charlie Hebdo à Martigues le samedi10 Janvier 2015
Le poème de Paul Eluard a été lu par un lycéen martégal devant dix mille personnes : un moment fort que Gildas BINARD n'oublie pas et porte encore pour faire face à l' horreur : parler, échanger, et s'approprier les belles choses, la dimension artistique aide à dépasser la peur et à vivre ensemble. Gildas BINARD se félicite d'ailleurs du livre qui sort aujourd'hui « je dessine «, la jeunesse dessine pour Charlie Hebdo après le 7 janvier.
La jeunesse qui bouge qui s'amuse et défends cet art de vivre, c'est un élan à cultiver en respectant les différences sociales et ethniques pour ce lycéen qui vit concrètement dans son établissement ( le lycée Langevin ) les bienfaits du dialogue.
Le racisme, les discriminations existent mais elles sont limitées selon Gildas et les réticences du mois de janvier quant au « on est tous Charlie » sont depuis dépassées par la suite des événements : « Maintenant on est tous concernés » conclut Gildas BINARD, un lycéen qui a ajouté une corde à son arc : le théâtre et ses camarades de jeu , jeu dans tous les sens du terme ! ...
Vidéo publiée le : 07/01/2016 à 17:47:01
Lien vers l'article de Maritima.info :
http://www.maritima.info/depeches/societe/martigues/39793/un-lyceen-un-an-apres-la-marche-des-martegaux-pour-charlie.html
Le poème de Paul Eluard a été lu par un lycéen martégal devant dix mille personnes : un moment fort que Gildas BINARD n'oublie pas et porte encore pour faire face à l' horreur : parler, échanger, et s'approprier les belles choses, la dimension artistique aide à dépasser la peur et à vivre ensemble. Gildas BINARD se félicite d'ailleurs du livre qui sort aujourd'hui « je dessine «, la jeunesse dessine pour Charlie Hebdo après le 7 janvier.
La jeunesse qui bouge qui s'amuse et défends cet art de vivre, c'est un élan à cultiver en respectant les différences sociales et ethniques pour ce lycéen qui vit concrètement dans son établissement ( le lycée Langevin ) les bienfaits du dialogue.
Le racisme, les discriminations existent mais elles sont limitées selon Gildas et les réticences du mois de janvier quant au « on est tous Charlie » sont depuis dépassées par la suite des événements : « Maintenant on est tous concernés » conclut Gildas BINARD, un lycéen qui a ajouté une corde à son arc : le théâtre et ses camarades de jeu , jeu dans tous les sens du terme ! ...
Vidéo publiée le : 07/01/2016 à 17:47:01
Lien vers l'article de Maritima.info :
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