• il y a 8 ans
Eroiq se définit comme un "cabinet de conseil en stratégie UX et design de services". Il regroupe des psychologues, sociologues, ingénieurs web, marqueteurs, créatifs, stratèges ou data scientists pour concevoir des expériences utilisateurs novatrices et digitalisées dans une approche multidisciplinaire. Et si l'UX était autre chose que ce qu'on imagine souvent en France ? Rencontre avec Stéphane Picavet, cofondateur d'Eroiq.

Il semble qu'en France, beaucoup cofondent encore l'UI (User Interface) avec L'UX (User Experience). Le premier ne se réduit pourtant qu'à l'aspect visuel de l'expérience. L'UX n'est pas qu'une affaire de graphisme ou d'ergonomie sur un site ou dans une application. L'UX n'est pas qu'une affaire de monde numérique. Il s'agit, selon Eroiq de "saisir les opportunités issues du digital" pour penser des expériences client séduisantes pour les consommateurs et surtout, porteuses de R.O.I pour les entreprises. En clair, proposer un parcours multicanal dont la conception s'appuie autant sur les sciences molles que dures. C'est ainsi que le cabinet de conseil se nourrit des apports d'un sociologue ou d'un data scientist.

Eroiq accompagne aussi bien des startups que des grands groupes : du service pour les joggeurs de Jogg.in à la création d'une application shopping pour Carrefour en passant par la création d'une plateforme communautaire pour Mr Bricolage. "Eroiq" est un acronyme composé à partir du "e" numérique, du R.O.I et d'"IQ", le quotient intellectuel. Rencontre, dans la boutique du sentier transformée en espace de travail, avec Stéphane Picavet, cofondateur d'Eroiq. @eroiq

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