La demande de pétrole est désormais supérieure à l’offre : c’est ce qu’affirme Goldman Sachs dans une note qui a fait passer le Brent au-dessus des 49 dollars le baril en séance ce lundi.
La banque d’affaires américaine base son analyse sur une forte demande mondiale combinée à des ruptures d’approvisionnement inattendues à travers le monde : incendies au Canada, faillites dans le pétrole de schiste aux Etats-Unis, perturbations au Venezuela, et bien sûr au Nigeria, où une série de sabotages a fait tomber la production au plus bas en vingt ans.
Goldman Sachs s’attendait bien à un rééquilibrage du marché pétrolier, mais pas avant septembre.
Goldman says the oil glut is vanishing because of unexpected supply disruptions https://t.co/q0EXvoRXM7 pic.twitter.com/HGNB6TK0kz— Bloomberg TV (@BloombergTV) 16 maggio 2016
Jeremy Batstone-Carr, chef économiste chez Charles Stanley, relativise cependant. “Beaucoup s’attendent à une possible hausse des livraisons de pétrole iranien,“ rappel
La banque d’affaires américaine base son analyse sur une forte demande mondiale combinée à des ruptures d’approvisionnement inattendues à travers le monde : incendies au Canada, faillites dans le pétrole de schiste aux Etats-Unis, perturbations au Venezuela, et bien sûr au Nigeria, où une série de sabotages a fait tomber la production au plus bas en vingt ans.
Goldman Sachs s’attendait bien à un rééquilibrage du marché pétrolier, mais pas avant septembre.
Goldman says the oil glut is vanishing because of unexpected supply disruptions https://t.co/q0EXvoRXM7 pic.twitter.com/HGNB6TK0kz— Bloomberg TV (@BloombergTV) 16 maggio 2016
Jeremy Batstone-Carr, chef économiste chez Charles Stanley, relativise cependant. “Beaucoup s’attendent à une possible hausse des livraisons de pétrole iranien,“ rappel
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