Changement climatique, COP 21… Un accord, et après ?
Conférence de Denez L’Hostis, président de l’association nationale FNE (Fédération française des associations de protection de la nature).
La dernière Cop 21 s’est traduit par un accord pour tenter de maîtriser le changement climatique. Mais le plus dur reste à faire pour encourager -sinon contraindre- les pays, les différents secteurs d’activité et même les populations à modifier leurs habitudes de consommation et limiter ainsi les dégâts prévisibles d’un réchauffement de la planète.
Denez L’Hostis est depuis avril 2014 président de l’association nationale FNE (Fédération française des associations de protection de la nature).
Après avoir travaillé comme économiste des pêches (INRA, Ifremer), Denez L’Hostis a occupé plusieurs postes de direction d’organismes comme la SEM du Port-Musée de Douarnenez ou la Cité de la mer à Cherbourg. Militant écologiste de longue date, il a également été élu local à Quimper.
Le dernier accord de Paris sur le changement climatique lors de la COP 21 est plutôt une bonne surprise. Il engage officiellement 195 pays à respecter un certain nombre d’objectifs pour les années à venir, en termes de gestion des ressources énergétiques, d’émission de gaz à effet de serre (GES) et plus largement de modèles de développement.
Avec Denez L’Hostis, nous avons cherché à mieux comprendre les enjeux du changement climatique à l’échelle internationale et les portées de l’accord.
Pourquoi l’accord a-t-il été possible après plusieurs échecs ?
-* Quels ont été les freins et les motivations des pays (voire de groupes de pays) et des acteurs économiques pour aboutir à cet accord ?
-* Quelle place et quel poids pour les ONG, la société civile ?
-* Que contient réellement l’acord de Paris ?
-* Quelles sont les avancées ? les principales lacunes ?
Conférence de Denez L’Hostis, président de l’association nationale FNE (Fédération française des associations de protection de la nature).
La dernière Cop 21 s’est traduit par un accord pour tenter de maîtriser le changement climatique. Mais le plus dur reste à faire pour encourager -sinon contraindre- les pays, les différents secteurs d’activité et même les populations à modifier leurs habitudes de consommation et limiter ainsi les dégâts prévisibles d’un réchauffement de la planète.
Denez L’Hostis est depuis avril 2014 président de l’association nationale FNE (Fédération française des associations de protection de la nature).
Après avoir travaillé comme économiste des pêches (INRA, Ifremer), Denez L’Hostis a occupé plusieurs postes de direction d’organismes comme la SEM du Port-Musée de Douarnenez ou la Cité de la mer à Cherbourg. Militant écologiste de longue date, il a également été élu local à Quimper.
Le dernier accord de Paris sur le changement climatique lors de la COP 21 est plutôt une bonne surprise. Il engage officiellement 195 pays à respecter un certain nombre d’objectifs pour les années à venir, en termes de gestion des ressources énergétiques, d’émission de gaz à effet de serre (GES) et plus largement de modèles de développement.
Avec Denez L’Hostis, nous avons cherché à mieux comprendre les enjeux du changement climatique à l’échelle internationale et les portées de l’accord.
Pourquoi l’accord a-t-il été possible après plusieurs échecs ?
-* Quels ont été les freins et les motivations des pays (voire de groupes de pays) et des acteurs économiques pour aboutir à cet accord ?
-* Quelle place et quel poids pour les ONG, la société civile ?
-* Que contient réellement l’acord de Paris ?
-* Quelles sont les avancées ? les principales lacunes ?
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