Reportage moyennement intéressant.
1:03 Interview à La Varenne (répétition de "En avril à Paris"), la voix de Charles Trenet [Hélène Hazera]
4:14 Chansons gaies et tristes à la fois ("La folle complainte") [Guillaume de Chassy, HH]
7:51 Le pensionnat, "Les enfants s'ennuient le dimanche") [Pierre Barillet]
10:10 la précocité de Charles Trenet, Albert Bausil, qui lui permet de côtoyer des gens des Lettres, comme le poète Max Jacob [Martin Pénet, HH]
12:12 Charles Trenet raconte les conditions de sa rencontre avec Max Jacob, qu'il lit et aime depuis l'âge de 12 ans, chez l'éditeur Denoel (à partir de son texte "Les rois fainéants")
13:08 Grâce à Paul Léautaud, Charles Trenet publie un texte dans la prestigieuse revue "Le Mercure de France", "Jeunesse" [HH]
13:46 Charles Trenet raconte sa première rencontre avec Max Jacob : "He bien, répond Max Jacob, qu'il me voie, qu'il me voie", s'écria-t-il en mettant son monocle!
"Et depuis ce jour, je le revis pendant 2 ans, presque tous les soirs. Il habitait alors rue St-Romain (Paris 6e), où il peignait des gouaches dont le ciel gris m'enchantait."
Pour distraire Max Jacob, celui-ci lui dictait une chanson, qu'ils terminaient bien souvent ensemble, notamment sur le pape! (chansons pleines d'un mysticisme mêlé d'un peu d'humour absurde)
Exemple : à partir de la chanson de Jean Tranchant "Il existe encore des bergères", devenue "Il existe encore chez Pie XI"!
15:08 Ses amitiés littéraires, avec Max Jacob (qui était encore peu connu du grand public), Jean Cocteau qui a toujours beaucoup soutenu Charles Trenet, dès ses débuts (sa fameuse affiche de Trenet avec des ailes, qui s'envole) [HH, PB, GC]
16:37 "La route enchantée"
par Victor Macé de Lepinay. Avec :
Hélène Hazera, journaliste (pas très intéressante, mais bon, c'est elle la spécialiste de la chanson française sur France Culture, donc il faut bien faire avec, même si on s'en passerait bien...)
Guillaume de Chassy, pianiste de jazz et compositeur
Pierre Barillet, auteur dramatique
Martin Pénet, historien de la chanson
1:03 Interview à La Varenne (répétition de "En avril à Paris"), la voix de Charles Trenet [Hélène Hazera]
4:14 Chansons gaies et tristes à la fois ("La folle complainte") [Guillaume de Chassy, HH]
7:51 Le pensionnat, "Les enfants s'ennuient le dimanche") [Pierre Barillet]
10:10 la précocité de Charles Trenet, Albert Bausil, qui lui permet de côtoyer des gens des Lettres, comme le poète Max Jacob [Martin Pénet, HH]
12:12 Charles Trenet raconte les conditions de sa rencontre avec Max Jacob, qu'il lit et aime depuis l'âge de 12 ans, chez l'éditeur Denoel (à partir de son texte "Les rois fainéants")
13:08 Grâce à Paul Léautaud, Charles Trenet publie un texte dans la prestigieuse revue "Le Mercure de France", "Jeunesse" [HH]
13:46 Charles Trenet raconte sa première rencontre avec Max Jacob : "He bien, répond Max Jacob, qu'il me voie, qu'il me voie", s'écria-t-il en mettant son monocle!
"Et depuis ce jour, je le revis pendant 2 ans, presque tous les soirs. Il habitait alors rue St-Romain (Paris 6e), où il peignait des gouaches dont le ciel gris m'enchantait."
Pour distraire Max Jacob, celui-ci lui dictait une chanson, qu'ils terminaient bien souvent ensemble, notamment sur le pape! (chansons pleines d'un mysticisme mêlé d'un peu d'humour absurde)
Exemple : à partir de la chanson de Jean Tranchant "Il existe encore des bergères", devenue "Il existe encore chez Pie XI"!
15:08 Ses amitiés littéraires, avec Max Jacob (qui était encore peu connu du grand public), Jean Cocteau qui a toujours beaucoup soutenu Charles Trenet, dès ses débuts (sa fameuse affiche de Trenet avec des ailes, qui s'envole) [HH, PB, GC]
16:37 "La route enchantée"
par Victor Macé de Lepinay. Avec :
Hélène Hazera, journaliste (pas très intéressante, mais bon, c'est elle la spécialiste de la chanson française sur France Culture, donc il faut bien faire avec, même si on s'en passerait bien...)
Guillaume de Chassy, pianiste de jazz et compositeur
Pierre Barillet, auteur dramatique
Martin Pénet, historien de la chanson
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