Mise sous tutelle, "confrontation".

  • il y a 10 ans
J'ai oublié des détails sur le sujet. C'était hier au Palais de Justice de ROUEN.

Une précision quand je dis que je n'ai que 60€ par semaine, c'est la stricte vérité. L'UDAF qui détient mon capital relatif à la vente d'un terrain, perçoit les intérêts qui doivent donc arriver sur mon compte.

Je ne sais pas comment ni pour quelle raison, je n'ai droit qu'à cette somme. Je le précise simplement pour signifier que ça n'est pas parce que je suis pauvre véritablement, que je suis dans cette situation de pauvreté mais uniquement parce qu'il en est décidé ainsi en haut lieu.

Je précise enfin que compte tenu de mes responsabilités, sur le plan politique relativement à certaines causes que je défends, je me suis engagée il y a bien longtemps dans l'hypothèse où ma tutelle serait levée, à informer, la gendarmerie du moindre de mes déplacements de telle sorte que je reste facilement joignable quel qu'en soit la raison....

Cette précision a été formulée, auprès du juge des tutelles par écrit depuis bien des mois et je l'ai redit encre récemment.

Pour cette raison, je considère moi que de maintenir sous tutelle, pour raison d'état, constitue une preuve absolument indubitable du fait que l'on ne me fasse aucunement confiance, dans les plus hautes sphères de l'Etat.

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