Coline Levaux - août 2014 - "Lettre à Valérian Renault"
- il y a 10 ans
"Lettre à Valérian Renault" , Extrait du concert de COLINE LEVAUX, artiste belge, en solo, aux WEEK-ENDS DE LA CHAPELLE (2e édition), Chapelle Ste Croix, Josselin (56) 02/08/2014
Artiste Belge, ayant participé aux Francofolies de Spa, Coline nous propose des textes en français, mélodieux et sensuels. Ancienne élève du conservatoire, elle s'accompagne au piano.
« Un trouble qui nait, une mélodie sur un piano, enlacés, noir et blanc juxtaposés »
"Noir et blanc", un projet musical en quelques pixels pianistiques.
Noir et blanc ne sont pas 2 petites boîtes chacune dans leur coin. Non. Noir et blanc ne sont pas que les pôles extrêmes. Non. Noir et blanc s'attirent, jouent, se regardent. Oui. Puis comme dans les pubs, il y a blanc et plus blanc que blanc. Et il y a noir et noir, le noir gris, le noir dense, le noir noir, celui où plus rien ne vit, mais le bout du noir est sûrement encore au-delà. Au-delà des mots, au-delà des sens. Le noir extrême ne se dit pas. On n'arrive jamais aux pôles les yeux ouverts, jamais...
Entre les deux ce n'est qu'une oscillation, un trouble qui nait, une mélodie sur un piano, enlacés, noir et blanc juxtaposés. Entre les deux ce sont les notes qui apparaissent sur le papier. Entre les deux c'est nous, mélangés, entre peaux, et c'est chacun, mélange, "d'entre" peaux.
Et c'est bon de se sentir dessinés, en plus ou moins contrastés, plus ou moins saturés, d'un noir et blanc personnel. C'est dans la faille de la rencontre que ça vit, que ça charme, que ça s'exprime, que tout se "révèle"...
www.youtube.com/colinemusique www.facebook.com/colinemusique
Artiste Belge, ayant participé aux Francofolies de Spa, Coline nous propose des textes en français, mélodieux et sensuels. Ancienne élève du conservatoire, elle s'accompagne au piano.
« Un trouble qui nait, une mélodie sur un piano, enlacés, noir et blanc juxtaposés »
"Noir et blanc", un projet musical en quelques pixels pianistiques.
Noir et blanc ne sont pas 2 petites boîtes chacune dans leur coin. Non. Noir et blanc ne sont pas que les pôles extrêmes. Non. Noir et blanc s'attirent, jouent, se regardent. Oui. Puis comme dans les pubs, il y a blanc et plus blanc que blanc. Et il y a noir et noir, le noir gris, le noir dense, le noir noir, celui où plus rien ne vit, mais le bout du noir est sûrement encore au-delà. Au-delà des mots, au-delà des sens. Le noir extrême ne se dit pas. On n'arrive jamais aux pôles les yeux ouverts, jamais...
Entre les deux ce n'est qu'une oscillation, un trouble qui nait, une mélodie sur un piano, enlacés, noir et blanc juxtaposés. Entre les deux ce sont les notes qui apparaissent sur le papier. Entre les deux c'est nous, mélangés, entre peaux, et c'est chacun, mélange, "d'entre" peaux.
Et c'est bon de se sentir dessinés, en plus ou moins contrastés, plus ou moins saturés, d'un noir et blanc personnel. C'est dans la faille de la rencontre que ça vit, que ça charme, que ça s'exprime, que tout se "révèle"...
www.youtube.com/colinemusique www.facebook.com/colinemusique