Le coup d'envoi de la Coupe du monde 2014 a été réalisé par un homme équipé d'une étrange combinaison : Juliano Pinto, 29 ans, paraplégique, a pu taper dans le premier ballon du tournoi à l'aide d'un exosquelette.
Cet exosquelette robotique, développé par une équipe de plus de 150 chercheurs, est relié à un casque développé aux Etats-Unis. Composé d'électrodes, il permet à la personne équipée de contrôler par la pensée ses mouvements. « C'est la première fois qu'un exosquelette est contrôlé par l'activité cérébrale et offre un feedback aux patients », affirme le neurologue Miguel Nicolelis, en charge du projet « Walk Again » de l'université de Duke.
Cet exosquelette robotique, développé par une équipe de plus de 150 chercheurs, est relié à un casque développé aux Etats-Unis. Composé d'électrodes, il permet à la personne équipée de contrôler par la pensée ses mouvements. « C'est la première fois qu'un exosquelette est contrôlé par l'activité cérébrale et offre un feedback aux patients », affirme le neurologue Miguel Nicolelis, en charge du projet « Walk Again » de l'université de Duke.
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