Tryptik version définitive
Un film de maxime taccardi et benjamin champenois.
2007
Réalisé a 2 sans moyens!!!
Sans trucages!!!
L’atmosphère du court-métrage faisant office de panneau central y est intemporelle, un personnage semble errer au milieu de nulle part en quête de ce dont il ne saisit pas encore. Il fait un songe dans lequel il découvre une boîte qu’il s’empresse d’ouvrir (en référence à la boîte de pandore, menant, par son ouverture, au chaos et à la mort), celle-ci contient un œil, sa vision, le monde, son monde, il s’agit d’une mise en abîme, le personnage reconnaît cet œil comme étant celui à travers lequel il perçoit sa réalité. Dès lors, comme happé par une force irrésistible, il se retrouve à affronter son double, symbole d’une lutte que l’homme s’évertue à perpétuer envers lui-même. A travers cette spirale infernale, rien n’est épargné, l’absence de réponses profondément déstabilisante, entraîne une unique échappatoire…
Ainsi, cette partie du triptyque, s’organise tel un chemin de croix, le spectateur subit la chute du personnage sans pouvoir y renoncer. Les questions posées ne trouvent aucunes réponses, il s’agit d’une ode à la souffrance pour la souffrance. Un néant destructeur, symbolisé par le temps et la folie, où rien n’existe, ni même la fin ou le commencement.
2007
Réalisé a 2 sans moyens!!!
Sans trucages!!!
L’atmosphère du court-métrage faisant office de panneau central y est intemporelle, un personnage semble errer au milieu de nulle part en quête de ce dont il ne saisit pas encore. Il fait un songe dans lequel il découvre une boîte qu’il s’empresse d’ouvrir (en référence à la boîte de pandore, menant, par son ouverture, au chaos et à la mort), celle-ci contient un œil, sa vision, le monde, son monde, il s’agit d’une mise en abîme, le personnage reconnaît cet œil comme étant celui à travers lequel il perçoit sa réalité. Dès lors, comme happé par une force irrésistible, il se retrouve à affronter son double, symbole d’une lutte que l’homme s’évertue à perpétuer envers lui-même. A travers cette spirale infernale, rien n’est épargné, l’absence de réponses profondément déstabilisante, entraîne une unique échappatoire…
Ainsi, cette partie du triptyque, s’organise tel un chemin de croix, le spectateur subit la chute du personnage sans pouvoir y renoncer. Les questions posées ne trouvent aucunes réponses, il s’agit d’une ode à la souffrance pour la souffrance. Un néant destructeur, symbolisé par le temps et la folie, où rien n’existe, ni même la fin ou le commencement.
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Art et design