La isla de los niños perdidos (L'île des enfants perdus)
- il y a 11 ans
Un film de Florence Jaugey
2001 - Nicaragua - 82 minutes - Vidéo
Produit par : Fundación Cinematográfica Camila Films, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
"Ils ont vingt ans. La bagarre, la drogue et la mort font partie de leur vie ; des vies réduites aux frontières de leur "barrio", un monde qui a ses propres lois et qui ne laisse que peu de chances. Parce qu'ils ont enfreint nos lois, ils ont été condamnés ; et s'ils regrettent leurs actes aujourd'hui, c'est que le prix à payer est plus lourd qu'ils ne l'imaginaient, jusqu'à 30 ans de réclusion. Les voilà à nouveau dans un univers marginal qui ne connaît d'autres lois que la survie. Nous sommes restés deux mois dans la plus grande prison du Nicaragua, en compagnie d'un groupe de dix jeunes détenus avec qui nous avons monté un atelier vidéo. Nous leur avons donné des caméras, quelques conseils techniques de base et, avec l'accord de l'administration pénitentiaire, ils ont eu carte blanche pour réaliser leurs propres films à l'intérieur du centre de détention. Tout au long de l'atelier, nous les avons accompagnés pendant que notre propre caméra captait ce qui se passait autour de nous et entre eux." (Florence Jaugey)
Distinction(s)
2002 : Cinéma du réel - Paris (France) - Prix international de la Scam
2001 - Nicaragua - 82 minutes - Vidéo
Produit par : Fundación Cinematográfica Camila Films, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
"Ils ont vingt ans. La bagarre, la drogue et la mort font partie de leur vie ; des vies réduites aux frontières de leur "barrio", un monde qui a ses propres lois et qui ne laisse que peu de chances. Parce qu'ils ont enfreint nos lois, ils ont été condamnés ; et s'ils regrettent leurs actes aujourd'hui, c'est que le prix à payer est plus lourd qu'ils ne l'imaginaient, jusqu'à 30 ans de réclusion. Les voilà à nouveau dans un univers marginal qui ne connaît d'autres lois que la survie. Nous sommes restés deux mois dans la plus grande prison du Nicaragua, en compagnie d'un groupe de dix jeunes détenus avec qui nous avons monté un atelier vidéo. Nous leur avons donné des caméras, quelques conseils techniques de base et, avec l'accord de l'administration pénitentiaire, ils ont eu carte blanche pour réaliser leurs propres films à l'intérieur du centre de détention. Tout au long de l'atelier, nous les avons accompagnés pendant que notre propre caméra captait ce qui se passait autour de nous et entre eux." (Florence Jaugey)
Distinction(s)
2002 : Cinéma du réel - Paris (France) - Prix international de la Scam