Ffkk aliéné (j'accuse)
Aliéné (j'accuse)
J’accuse le silence d'or dans sa splendeur,
Car il préserve par doute le peu d’honneur,
Qu’il reste à ces huns, pitoyables héros,
Se targuant d’être les grands maîtres du troupeau.
J’accuse le bruit de toujours vouloir courir,
Sans relâche, dans le sens hasardeux du vent.
Nourrissant ainsi la laideur des ouï-dire,
Enflammant les sentiments les plus écoeurants.
J’accuse le bien de ne pas choisir de camp,
Etant même trop souvent l’apôtre du mal.
On peut se demander s'ils ne sont pas amants,
Se jouant de tout dans un vaste dédale.
J’accuse la morale d’être une vile chouette,
Aux reliques nostalgiques d’un fier passé,
Toujours prête à bannir sans pudeur la bête
Qu’elle est, qu’elle sera, et qu’elle a toujours été.
J'accuse tout ce qui peut nous...
Aliéner
J’accuse aussi la mansuétude médiatique
De changer la charité en cathodique.
Quand la saison des laissés-pour-compte venue
On porte pour l’occasion l’audience aux nues.
J’accuse la société d’être fille de joie.
Bien loin de moi vouloir offenser ces dames
Mais elle répond aussi à la même loi,
Malheureux qui ne possède nul sésame.
J’accuse les races de ne pas exister,
Excepté dans l’esprit torturé de certains,
Qui pour expier leur illustre médiocrité,
Jugent sans vergogne inférieur leur prochain.
J’accuse l’ingérence qui prône l’ordre,
Et sème la graine violente du chaos;
De ne ressembler qu’à une vulgaire horde,
Animée par un obscur dessein de corbeau.
J’accuse dieu d’avoir élu domicile
Dans l’esprit tourmenté de quelques débiles,
Aux néfastes aspirations meurtrières,
Prêchant la mort comme ultime lumière.
J’accuse la mort d’être l’ultime phobie.
Elle n’est que le fruit de vastes spéculations,
Où se cultivent les pires supercheries,
Entraînant l’hégémonie des superstitions.
J’accuse le silence d'or dans sa splendeur,
Car il préserve par doute le peu d’honneur,
Qu’il reste à ces huns, pitoyables héros,
Se targuant d’être les grands maîtres du troupeau.
J’accuse le bruit de toujours vouloir courir,
Sans relâche, dans le sens hasardeux du vent.
Nourrissant ainsi la laideur des ouï-dire,
Enflammant les sentiments les plus écoeurants.
J’accuse le bien de ne pas choisir de camp,
Etant même trop souvent l’apôtre du mal.
On peut se demander s'ils ne sont pas amants,
Se jouant de tout dans un vaste dédale.
J’accuse la morale d’être une vile chouette,
Aux reliques nostalgiques d’un fier passé,
Toujours prête à bannir sans pudeur la bête
Qu’elle est, qu’elle sera, et qu’elle a toujours été.
J'accuse tout ce qui peut nous...
Aliéner
J’accuse aussi la mansuétude médiatique
De changer la charité en cathodique.
Quand la saison des laissés-pour-compte venue
On porte pour l’occasion l’audience aux nues.
J’accuse la société d’être fille de joie.
Bien loin de moi vouloir offenser ces dames
Mais elle répond aussi à la même loi,
Malheureux qui ne possède nul sésame.
J’accuse les races de ne pas exister,
Excepté dans l’esprit torturé de certains,
Qui pour expier leur illustre médiocrité,
Jugent sans vergogne inférieur leur prochain.
J’accuse l’ingérence qui prône l’ordre,
Et sème la graine violente du chaos;
De ne ressembler qu’à une vulgaire horde,
Animée par un obscur dessein de corbeau.
J’accuse dieu d’avoir élu domicile
Dans l’esprit tourmenté de quelques débiles,
Aux néfastes aspirations meurtrières,
Prêchant la mort comme ultime lumière.
J’accuse la mort d’être l’ultime phobie.
Elle n’est que le fruit de vastes spéculations,
Où se cultivent les pires supercheries,
Entraînant l’hégémonie des superstitions.
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