NOTRE AMOUR

  • il y a 13 ans
2009 - documentaire sur la création chorégraphique de Christian Rizzo mon amour. Une production Les Films de la Liberté, DVCPro, 45 min

Avec : Philippe Chosson, Christine Bombal, Pep Garrigues, Kerem Gelebek, Wouter Krokaert, I-fang Lin, Tamar Shelef, Mark Tompkins
Musique originale : Didier Ambact, Bruno Chevillon, Gérôme Nox
Chorégraphie, scénographie et costumes : Christian Rizzo
Répétitions du spectacle MON AMOUR créé à l'Opéra de Lille le 28 février 2008.
Filmé au CNDC d'Angers, à la Chaufferie de Saint-Denis, à l'Opéra de Lille - janvier - mars 2008
Avec l'aimable participation de Barbara Carlotti
Monologue de Wouter Julien Thèves
Image, montage : Arnold Pasquier
Prise de son musique & montage son : Greg Le Maître
Mixage : Nicolas Joly (Centre Pompidou)
Conformation : Florent Le Duc (Le Fresnoy)
Réalisé avec l'aide de l'Association Fragile, Catherine Meneret, Marie Fourcin, de Vidéodanse, Michèle Bargues, Évelyne Boutevin, Camille Rouzé, du Centre Pompidou et du Fresnoy, Studio national des arts contemporain.
Une production de Arnold Pasquier en association avec Les Films de la Liberté, Nathalie Joyeux, Vladimir Léon, Harold Manning, avec le soutien de Agathe Berman • Les Films d'Ici.

Arnold Pasquier filme les répétitions et les représentations d’un spectacle de Christian Rizzo, Mon amour. Des corps qui marchent, s’enlacent et s’entrelacent, se cherchent, expérimentent ; des visages au travail, beaux, concentrés et rieurs, peinturlurés de paillettes, masqués d’un tulle de couleur tombant des capuches ; des plantes en pot, de la fumée, des sphères noires : tout un monde mystérieux d’actions insensées qui s’enchaînent. Feignant d’y mettre bon ordre, surgit ici et là le chorégraphe, artisan de cette communauté possible dont les membres se frôlent et cherche à se retrouver. On entend le chant de Mark Tompkins, sérieux comme un prédicateur, qui nous entraîne vers l’issue merveilleuse, la fable, surgissant des volutes. Un danseur interpelle, lui-même ? ses amis ? nous ? C’est au creux des solitudes que Notre amour se pose, bercé par une chanson murmurée, « oh mon amour, oh mon amour… ».