Je serai le président qui portera la confiance et l’exigence pour l’école.
Je conduirai comme président de la République la réflexion sur la refondation de l’école. Je la conduirai dès le mois de juillet en un Grenelle de l’éducation, pour une fois justement nommé, car la rue de Grenelle, c’est le ministère de l’éducation nationale.
Je défendrai les principes suivants :
Je demanderai de concentrer sur la langue française, sur la lecture, l’écriture et le calcul, la moitié du temps scolaire à l’école primaire.
Je demanderai que tout élève entrant en sixième soit assuré de la lecture. S’il ne l’était pas, il recevrait une formation adaptée en vue du retour le plus rapide possible dans le cursus normal.
Je demanderai de simplifier les programmes, dans un délai d’une année, en liaison avec les enseignants.
Je demanderai que la chronologie soit consacrée en histoire à tous les degrés de l’école et que l’histoire retrouve sa place en terminale scientifique.
Je demanderai que le niveau du baccalauréat ne soit plus défini en fonction de pourcentages de résultats, mais en fonction des connaissances nécessaires à la fin d’études secondaires et à l’entrée dans l’enseignement supérieur. Ces connaissances devront être simples, mais maîtrisées.
Je garantirai la protection effective des moyens de l’éducation nationale. Je ne crois pas une minute aux sornettes sur les 60 000 postes annoncés par le PS. Mais un effort continu doit garantir les moyens actuels sur le long terme.
Je fixerai comme objectif devant les Français que l’école française se retrouve en cinq ans dans les dix premières écoles du monde par ses résultats en compréhension de l’écrit, en calcul, en lutte contre les inégalités scolaires.
Je conduirai comme président de la République la réflexion sur la refondation de l’école. Je la conduirai dès le mois de juillet en un Grenelle de l’éducation, pour une fois justement nommé, car la rue de Grenelle, c’est le ministère de l’éducation nationale.
Je défendrai les principes suivants :
Je demanderai de concentrer sur la langue française, sur la lecture, l’écriture et le calcul, la moitié du temps scolaire à l’école primaire.
Je demanderai que tout élève entrant en sixième soit assuré de la lecture. S’il ne l’était pas, il recevrait une formation adaptée en vue du retour le plus rapide possible dans le cursus normal.
Je demanderai de simplifier les programmes, dans un délai d’une année, en liaison avec les enseignants.
Je demanderai que la chronologie soit consacrée en histoire à tous les degrés de l’école et que l’histoire retrouve sa place en terminale scientifique.
Je demanderai que le niveau du baccalauréat ne soit plus défini en fonction de pourcentages de résultats, mais en fonction des connaissances nécessaires à la fin d’études secondaires et à l’entrée dans l’enseignement supérieur. Ces connaissances devront être simples, mais maîtrisées.
Je garantirai la protection effective des moyens de l’éducation nationale. Je ne crois pas une minute aux sornettes sur les 60 000 postes annoncés par le PS. Mais un effort continu doit garantir les moyens actuels sur le long terme.
Je fixerai comme objectif devant les Français que l’école française se retrouve en cinq ans dans les dix premières écoles du monde par ses résultats en compréhension de l’écrit, en calcul, en lutte contre les inégalités scolaires.
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