L'ABSENCE D'EAU POTABLE ENTRAÎNE TOUS LES JOURS LA MORT DE PLUSIEURS JEUNES CONGOLAIS AU FLEUVE CONGO. JEUNESSE CONGOLAISE, PRENONS CONSCIENCE - Le ROC
DESSERRER L’ÉTAU SOCIAL AU CONGO BRAZZAVILLE.
« A force de trop serrer un boulon, il finit par casser. A force de trop appauvrir et opprimer un peuple, on éveille sa conscience. Cette même conscience rassemblera le peuple et les énergies, ce qui rassemble le peuple devient alors plus fort que ce qui le divise. Cette conscience vivante finit toujours par trouver un exutoire. Il faut desserrer l’étau de la pauvreté et canaliser les énergies pour éviter l’explosion. » Louis-Modeste ZOUBABELA NGABANKA II.
PÉNURIE D'EAU POTABLE AU CONGO.
A cause de cette pénurie d’eau dans la ville de Brazzaville, ayant pourtant totalisé plus de 120 ans d’existence, on assiste à un phénomène désolant des populations qui transportent de bidons vides à la recherche de l’eau partout et dans tous les quartiers. Certains Brazzavillois commencent même à invoquer le mystère de Dieu afin que la pluie tombe et de permettre à la population de se procurer de l’eau, pour subvenir à leurs besoins quotidiens. En effet, les canicules de ces derniers temps mêlés aux moustiques qui investissent les maisons, empêchent les gens de bien dormir, constate-t-on. Au moment où l’on parle de la décennie de l’eau dans le monde, affirment-ils, des pays qui ne disposent pas d’une bonne hydrographie font beaucoup de progrès dans la réalisation des projets d’approvisionnement d’eau potable, tandis que ceux qui en disposent souffrent encore. D’ailleurs avec les changements climatiques observés ces derniers temps, et devant ces fortes chaleurs, des spécialistes recommandent à l’homme de consommer suffisamment d’eau, notamment cinq litres d’eau par jour. Ceci pour permettre de lutter contre certaines maladies dont l’hypertension artérielle, la déshydratation et autres.
A Brazzaville, la SNDE dispose d’un réseau d’approvisionnement en eau alimenté par deux usines installées l’une à Kinsoundi, dans l’arrondissement 1 Makélékélé et l’autre à Djiri dans l’arrondissement 9. Ces usines connaissent une extension en vue d’augmenter la capacité de production d’eau pour la ville capitale dont la population est estimée actuellement à environ 2 millions d’habitants. En dépit de cette extension assurée par des partenaires chinois, l’eau ne coule pas régulièrement au robinet de la SNDE, alors que des quittances sont toujours livrées tous les deux mois aux abonnés. Les populations qui se disent abusées par les services de cette société, sont obligées de faire recours à l’eau de forage et à l’eau minérale.
DESSERRER L’ÉTAU SOCIAL AU CONGO BRAZZAVILLE.
« A force de trop serrer un boulon, il finit par casser. A force de trop appauvrir et opprimer un peuple, on éveille sa conscience. Cette même conscience rassemblera le peuple et les énergies, ce qui rassemble le peuple devient alors plus fort que ce qui le divise. Cette conscience vivante finit toujours par trouver un exutoire. Il faut desserrer l’étau de la pauvreté et canaliser les énergies pour éviter l’explosion. » Louis-Modeste ZOUBABELA NGABANKA II.
PÉNURIE D'EAU POTABLE AU CONGO.
A cause de cette pénurie d’eau dans la ville de Brazzaville, ayant pourtant totalisé plus de 120 ans d’existence, on assiste à un phénomène désolant des populations qui transportent de bidons vides à la recherche de l’eau partout et dans tous les quartiers. Certains Brazzavillois commencent même à invoquer le mystère de Dieu afin que la pluie tombe et de permettre à la population de se procurer de l’eau, pour subvenir à leurs besoins quotidiens. En effet, les canicules de ces derniers temps mêlés aux moustiques qui investissent les maisons, empêchent les gens de bien dormir, constate-t-on. Au moment où l’on parle de la décennie de l’eau dans le monde, affirment-ils, des pays qui ne disposent pas d’une bonne hydrographie font beaucoup de progrès dans la réalisation des projets d’approvisionnement d’eau potable, tandis que ceux qui en disposent souffrent encore. D’ailleurs avec les changements climatiques observés ces derniers temps, et devant ces fortes chaleurs, des spécialistes recommandent à l’homme de consommer suffisamment d’eau, notamment cinq litres d’eau par jour. Ceci pour permettre de lutter contre certaines maladies dont l’hypertension artérielle, la déshydratation et autres.
A Brazzaville, la SNDE dispose d’un réseau d’approvisionnement en eau alimenté par deux usines installées l’une à Kinsoundi, dans l’arrondissement 1 Makélékélé et l’autre à Djiri dans l’arrondissement 9. Ces usines connaissent une extension en vue d’augmenter la capacité de production d’eau pour la ville capitale dont la population est estimée actuellement à environ 2 millions d’habitants. En dépit de cette extension assurée par des partenaires chinois, l’eau ne coule pas régulièrement au robinet de la SNDE, alors que des quittances sont toujours livrées tous les deux mois aux abonnés. Les populations qui se disent abusées par les services de cette société, sont obligées de faire recours à l’eau de forage et à l’eau minérale.
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