Clip 3 Ta Mère en Mieux
« Ta Mère en Mieux » 3ème épisode (création 2007)
« Ta mère en mieux » est un portrait-bilan de 3 brins de demoiselles qui n’ont plus 20 ans. Après les stratagèmes de « Ta Gueule et Danse » pour séduire à tous prix, le marathon de« Ta Femme en Kit » pour en être une vraie bonne, la blonde, la brune et la rousse reviennent avec d’autres recettes. Alors à table et place au dessert…
Pour la tarte au suprême de dinde il nous faudra :
du chocolat
du formica
de la dentelle mais pas de bretelles
du saucisson / des cornichons
quelques tampons
du concombre et du gingembre
de l’aspirine,
Temps de cuisson : 55 mn
Dessert pour les grands
A déguster goulûment !
Libérées des dilemmes de jeunesse, des questions superficielles, libérées du serment d’allégeance, où en sont elles de leur nature, leurs rêves et idéaux ont ils pâli, se sont elles épanouies ? Ont-elles d’autres complexes, sont-elles perplexes ?…
GENESE
Cette 3ème et dernière pièce de « la trilogie des T » vient poser nos 3 femmes dans un décor intimiste, commun, quotidien.
Entre la cuisine, la salle de bain et la chambre, les interrogations, les tabous font surface.
Après en avoir fini avec l'image, l'éducation, l'application des "bonnes tâches" pour être une "bonne femme", chacune se pose face à elle même : quelles sont elles en réalité ? Vivent elles en accord avec ce à quoi elles ont rêvé ? Ont elles des regrets ?
Qu'en est il de leur plaisir personnel ? Sont elles épanouies, ont elles des vices cachés, assumés, refoulés ?...
Dans un décor à 3 facettes, tournent les questions... Les plaisirs de la chair, de la table, de la sieste viennent teindre leur portrait idéal fabriqué, monté, bricolé de tout ce qu'elles s'étaient imaginé.
Les danseuses de la compagnie Bobaïnko évolueront dans un décor tournant, passant d'une pièce à l'autre comme on retourne sa veste, comme on enfile une seconde peau, comme on peut engouffrer un second dessert, comme on se cache parfois pour échapper à sa propre réalité, pour assouvir des pulsions cachées.
Utilisant le mobilier, les murs, plus ou moins perméables à leur idéal, les 3 danseuses dresseront les 3 portraits de 3 femmes comme on peut en croiser partout, avec leurs doutes, leurs forces, leurs vices et leur charme... dans cette quête intemporelle de se trouver soi-même et de s'accepter telle quelle.
« Ta mère en mieux » est un portrait-bilan de 3 brins de demoiselles qui n’ont plus 20 ans. Après les stratagèmes de « Ta Gueule et Danse » pour séduire à tous prix, le marathon de« Ta Femme en Kit » pour en être une vraie bonne, la blonde, la brune et la rousse reviennent avec d’autres recettes. Alors à table et place au dessert…
Pour la tarte au suprême de dinde il nous faudra :
du chocolat
du formica
de la dentelle mais pas de bretelles
du saucisson / des cornichons
quelques tampons
du concombre et du gingembre
de l’aspirine,
Temps de cuisson : 55 mn
Dessert pour les grands
A déguster goulûment !
Libérées des dilemmes de jeunesse, des questions superficielles, libérées du serment d’allégeance, où en sont elles de leur nature, leurs rêves et idéaux ont ils pâli, se sont elles épanouies ? Ont-elles d’autres complexes, sont-elles perplexes ?…
GENESE
Cette 3ème et dernière pièce de « la trilogie des T » vient poser nos 3 femmes dans un décor intimiste, commun, quotidien.
Entre la cuisine, la salle de bain et la chambre, les interrogations, les tabous font surface.
Après en avoir fini avec l'image, l'éducation, l'application des "bonnes tâches" pour être une "bonne femme", chacune se pose face à elle même : quelles sont elles en réalité ? Vivent elles en accord avec ce à quoi elles ont rêvé ? Ont elles des regrets ?
Qu'en est il de leur plaisir personnel ? Sont elles épanouies, ont elles des vices cachés, assumés, refoulés ?...
Dans un décor à 3 facettes, tournent les questions... Les plaisirs de la chair, de la table, de la sieste viennent teindre leur portrait idéal fabriqué, monté, bricolé de tout ce qu'elles s'étaient imaginé.
Les danseuses de la compagnie Bobaïnko évolueront dans un décor tournant, passant d'une pièce à l'autre comme on retourne sa veste, comme on enfile une seconde peau, comme on peut engouffrer un second dessert, comme on se cache parfois pour échapper à sa propre réalité, pour assouvir des pulsions cachées.
Utilisant le mobilier, les murs, plus ou moins perméables à leur idéal, les 3 danseuses dresseront les 3 portraits de 3 femmes comme on peut en croiser partout, avec leurs doutes, leurs forces, leurs vices et leur charme... dans cette quête intemporelle de se trouver soi-même et de s'accepter telle quelle.