Cérémonie du soleil est un poème que j’ai écrit il y a plus de 15 ans, qui n’a jamais trouvé preneur dans une revue et que j’ai très peu dit en public.
Je dois avoir (ou il existe) un enregistrement de ce poème réalisé lors d’un spectacle sur le toit du Corbusier en compagnie de Raymond Boni (guitare) et Claude Tchamitchian (contrebasse).
Je recherche cet enregistrement dans mon bazar, mais je ne l’ai toujours pas retrouvé.
Je me souviens avoir dit le texte un peu trop vite, peut-être parce qu’il est long et que j’avais peur que ma mémoire flanche !
C’est un poème effectivement assez long et cela doit jouer dans la difficulté qu’ont les éditeurs de revue à le retenir. On pourrait lui reprocher aussi (on me l’a fait) un côté prosaïque : vous n’écrivez pas de la poésie !
Je n’attache plus aucune importance à cela. Oui, mes poèmes sont longs, oui mes phrases sont longues aussi, oui il y a du récit là dedans, du récit poétique (?), appelez ça comme vous voulez. J’ai les cheveux noirs (mais ils blanchissent !) et les yeux verts aussi. Je n’y peux rien.
Pour la vidéo, j’ai fait un montage à partir de récup : quelques images vidéos découpée »s, quelques photos. Parfois c’est bêtement illustratif (mais quand on le fait exprès, ce n’est pas ça qu’on appelle le style ?), parfois ça n’a aucun rapport, mais alors ça interroge.
Je pense que ces petits clips poétiques que je fabrique sans technique sont de l’art naïf ou plutôt singulier comme on dit aujourd’hui.
Voilà je suis un poète singulier, on peut me ranger dans cette case qui est celle qu’on a trouvée pour ceux qu’on ne savait pas où mettre.
Les poètes sont à l’écart, font des écarts, mais ils vivent et travaillent et produisent de petites choses qu’ils offrent à qui en veut.
Je dois avoir (ou il existe) un enregistrement de ce poème réalisé lors d’un spectacle sur le toit du Corbusier en compagnie de Raymond Boni (guitare) et Claude Tchamitchian (contrebasse).
Je recherche cet enregistrement dans mon bazar, mais je ne l’ai toujours pas retrouvé.
Je me souviens avoir dit le texte un peu trop vite, peut-être parce qu’il est long et que j’avais peur que ma mémoire flanche !
C’est un poème effectivement assez long et cela doit jouer dans la difficulté qu’ont les éditeurs de revue à le retenir. On pourrait lui reprocher aussi (on me l’a fait) un côté prosaïque : vous n’écrivez pas de la poésie !
Je n’attache plus aucune importance à cela. Oui, mes poèmes sont longs, oui mes phrases sont longues aussi, oui il y a du récit là dedans, du récit poétique (?), appelez ça comme vous voulez. J’ai les cheveux noirs (mais ils blanchissent !) et les yeux verts aussi. Je n’y peux rien.
Pour la vidéo, j’ai fait un montage à partir de récup : quelques images vidéos découpée »s, quelques photos. Parfois c’est bêtement illustratif (mais quand on le fait exprès, ce n’est pas ça qu’on appelle le style ?), parfois ça n’a aucun rapport, mais alors ça interroge.
Je pense que ces petits clips poétiques que je fabrique sans technique sont de l’art naïf ou plutôt singulier comme on dit aujourd’hui.
Voilà je suis un poète singulier, on peut me ranger dans cette case qui est celle qu’on a trouvée pour ceux qu’on ne savait pas où mettre.
Les poètes sont à l’écart, font des écarts, mais ils vivent et travaillent et produisent de petites choses qu’ils offrent à qui en veut.
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Art et design